jeudi 27 juin 2013

Salut à l'Europe libérale, à mon avis, tu t'entends bien avec la bande de sociaux-libéraux qui gouvernent en France !

Et, lorsque, le gaz de schiste revient par la fenêtre :

(source : le Monde Planète)


Gaz de schiste : la fracturation hydraulique devant le Conseil constitutionnel

Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le

Le rapporteur public du Conseil d'État va recommander mercredi le renvoi au Conseil constitutionnel de la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur la loi de juillet 2011 interdisant la technique controversée de la fracturation hydraulique pour exploiter les gaz de schiste en France, selon un document obtenu par l'AFP.

A l'origine de cette QPC, la compagnie pétrolière américaine Schuepbach, dont deux permis pétroliers avaient été annulés parce qu'elle souhaitait utiliser la fracturation hydraulique. Depuis le 13 juillet 2011, cette technique controversée est interdite en France.
Le gouvernement avait décidé en octobre 2011 d'abroger les deux permis exclusifs de recherche de gaz de schiste dans le sud de la France, attribués à la compagnie américaine Schuepbach alors que cette dernière envisageait d'utiliser la fratcturation hydraulique. Les permis de recherche concernaient des zones autour de Nant (Aveyron, Lozère et Hérault) et Villeneuve-de-Berg (Ardèche).
APPLICATION "TROP STRICTE" DU PRINCIPE DE PRÉCAUTION
La rapporteuse du Conseil d'Etat, Suzanne von Coester, a retenu le caractère nouveau de la demande de la compagnie américaine. C'est en effet la première fois que la question est posée à la justice : la loi du 13 juillet 2011 interdisant la fracturation n'était pas passée devant le Conseil constitutionnel et la QPC de Schuepbach est la première sur le sujet à remonter jusqu'au Conseil d'Etat. L'entreprise texane conteste une application trop stricte, et donc inappropriée, du principe de précaution.
La rapporteuse a souligné que la question se posait : "On peut se demander s'il ne s'agit pas dans ce cas, lorsque les autorités publiques ont pris des mesures jugées trop restrictives, d'une fausse application plutôt que d'une méconnaissance du principe de précaution", a-t-elle dit lors de l'audience.
Elle a notamment cité les arguments évoquant une "absence d'évaluation des risques" de cette technique consistant à fissurer la roche riche en hydrocarbures en injectant un mélange d'eau, de sables et de produits chimiques dans le sous-sol.
LA LOI "PAS MISE EN CAUSE", SELON DELPHINE BATHO
La ministre de l'écologie, Delphine Batho, avait rejeté au début du mois l'idée d'assouplir cette loi qu'elle avait qualifié de "victoire démocratique". Elle a affirmé, mercredi 26 juin, que le bien-fondé de la loi n'était "pas mis en cause" par le possible renvoi de cette QPC devant les sages.
Les compagnies pétrolières et le patronat français critiquent la loi française qui empêche, selon eux, d'exploiter un filon prometteur.
La décision du Conseil d'Etat, qui suit le plus souvent les avis du rapporteur, est attendue d'ici deux semaines en principe. Si la question est bien renvoyée au Conseil constitutionnel, celui-ci devra se prononcer sous trois mois sur la légalité de cette mesure principale contre l'exploitation des gaz de schiste en France.


De toute façon, ils nous prennent pour des cons.
Et, de cela, on s'en aperçoit tous les jours comme les Irlandais.

Irlande: comment les cadres de l’Anglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banque

m Anglo%20Irish%20Logo Irlande: comment les cadres de lAnglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banqueVu sur Express.be
Le peuple irlandais qui a sacrifié sa souveraineté et des milliards d’euros, s’est réveillé hier avec la gueule de bois, compte tenu des révélations de l’Independent. Le journal a publié l’enregistrement sonore d’une conversation téléphonique entre deux cadres de haut niveau de l’Anglo Irish Bank, John Bowe, qui dirigeait le service des marchés de capitaux, et le directeur du département de banque de détail, Peter Fitzgerald. Au cours de la conversation, Bowe, qui a participé aux négociations avec la banque centrale pour le sauvetage de l’Anglo Irish Bank, lui raconte en riant comment l’équipe de direction de la banque a convaincu le gouvernement de se porter à son secours pour des milliards d’euros, n’hésitant pas à employer des chiffres fantaisistes pour s’assurer de son accord (Fitzgerald n’avait pas participé à ces tractations).

L’enregistrement provient du propre système téléphonique de la banque et il date du cœur de la crise financière de 2008. A cette époque, l’Anglo Irish Bank s’était retrouvée en quelques jours au bord du dépôt de bilan. Par la suite, il devrait en coûter 30 milliards d’euros aux contribuables irlandais pour la sauver.
Au cours de la conversation, Bowe explique à son collègue comment la banque a rusé en ne réclamant initialement qu’une somme de 7 milliards d’euros à l’Etat irlandais, alors que ses dirigeants savaient déjà que le montant réellement nécessaire était largement supérieur à cette somme. La stratégie des banquiers était de convaincre l’Etat d’accepter de se porter au secours de la banque, et de faire payer cette charge aux contribuables, en leur expliquant que c’était pour leur propre bien.
Ils ont spéculé qu’une fois que l’Etat aurait commencé à payer, il n’aurait plus été capable de s’arrêter. Ce qui importait donc, c’était de convaincre le gouvernement que ce sauvetage était faisable. Alors qu’on lui demande comment ils ont déterminé le chiffre de 7 milliards d’euros, Bowe se met à rire et il on l’entend dire sur l’enregistrement :  « Comme Drummer [David Drumm, qui était alors le CEO de l’Anglo Irish Bank] le dirait lui-même, il est sorti de mon cul ».
« S’ils [la banque centrale] voient d’emblée l’énormité [des difficultés de la banque], ils vont peut-être décider qu’ils ont un choix à faire. Tu vois ce que je veux dire ? Ils pourraient dire que le coût pour le contribuable est trop élevé… Si ça ne semble pas trop important au début, assez pour être important, mais pas au point de tout remettre en cause, alors je pense que l’on a une chance. Je pense donc qu’il pourra être augmenté sournoisement », explique Bowe. « Ouais », répond Fitzgerald. « Ils mettent leur peau en jeu, et c’est ça, la clé ».
Dans l’enregistrement, on entend également Bowe et Fitzgerald rire ensemble en se disant qu’il serait irréaliste de croire que les prêts accordés à la banque pourraient être remboursés un jour.
« Pour la première fois, les contribuables peuvent avoir un aperçu exclusif des manigances banquières qui ont coûté sa souveraineté à l’Irlande », conclut amèrement le journal. En février de cette année, on a appris que le gouvernement irlandais a procédé en urgence à la liquidation de l’Irish Bank Resolution Corporation (IRBC), qui regroupait l’Anglo Irish Bank (qui avait été nationalisée en 2009) et Nationwide (nationalisée en 2010).
Source: Express.be

Alors, mes chers lecteurs, je me pose la question, "Quelle est la raison qui génère un désaccord entre le FMI et l'Europe, alors que le FMI a reconnu que l'austérité au point où elle a été imposé à la Grèce était une erreur. Ce qui signifie, en fait que c'est l'Europe, l'Allemagne, Godman Sachs (j'insiste) donc le ministre de l'économie française qui impose ce type d'austérité aux grecs.
Ce qui m'amène à penser, "Est-ce que Hollande s'imagine nous faire vivre la même situation que la Grèce ?"
Parce que Moscovici n'ouvre pas sa "gueule" sur la Grèce.....il approuve.
Sans doute, Hollande avec ses conseillers de la banque Rotschild nous prépare la même.
Et, après, ils voudraient que nous ne disions pas que tous les sénateurs, tous les députés, tous les grands fonctionnaires, le président de la commission en tête, Barosso, ne sont pas tous des pourris !
Mais, si, ils le sont, c'est bien pour cela qu'ils chantent à tue tête que ce n'est pas vrai.
Ah, oui, ils disent aussi que dire qu'ils sont tous pourris, c'est faire le champ du Front National.
Alors, quoi, ils sont pourris, point barre, c'est tout. Ceux du Front National aussi et on fait quoi, on dit que les socio-libéraux de Hollande ou l'Ump sont moins pourris que les autres ?
Que nenni, mon prince !
Alors, que faut-il faire, rester chez soi aux prochaines élections municipales. C'est ce que je ferais, si, le Front de gauche ne fait pas des alliances nauséabondes avec les sociaux libéraux de Hollande.
Eux, ils puent, ce n'est pas la gauche. Et, en fait, de la gauche, on s'en fout des leaders qui se battent pour nous et nous protègent de l'Europe de Barosso.
Et, qu'on arrête de nous enfler la zone euro est MORTE !
Si, ils tentent de la faire survivre, c'est juste pour que des prédateurs accumulent encore plus.
Voilà, cela sera tout, parce que je m'énerve et les nerfs sont mauvais pour la réflexion. En tout cas, une chose est sûre, il nous faut trouver des leaders qui nous protège de l'Europe.
René.

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