jeudi 6 juin 2013

Salut à nos salopards de la commission européenne qui nous concoctent un fameux accord de libre échange.

Punaise, cela bouge partout et de tout cela ressort que certains commencent à en avoir marre de la pression industrio-financière des Etats-Unis.
Nous parlons là de zone de libre échange que veut imposer à son seul bénéfice les Etats-Unis pour promouvoir l'hégémonie de ses multinationales, mais, en condamnant par la même tout son tissu de petites et moyennes entreprises.
A mon avis, ce n'est pas comme cela qu'Obama va régler le problème du chômage.
Mais, comme il est au ordre de Goldman Sachs, de Rockeffeller, Mosanto et autres, sans doute, n'en a-t-il rien à faire.
Sauf que, les pays ailleurs commencent à en avoir marre de Goldman Sachs, Mosanto et autres. Et, ils ont largement la capacité de s'organiser sans ces prédateurs "criminels".
Criminels de mon point de vue, naturlïch.

(source : www.romandie.com)

Asie/Pacifique: ouverture de négociations pour une zone de libre-échange

Bandar Seri Begawan (awp/afp) - Les négociations en vue de créer --sans Washington-- une immense zone de libre-échange en Asie-Pacifique, censée couvrir la moitié de la population mondiale, devraient s'ouvrir en mai à Brunei, révèle un document officiel consulté mardi par l'AFP.
Seize pays - dont la Chine et le Japon - souhaitent signer un "partenariat économique intégral régional" (RCEP), potentiellement la plus importante zone de libre-échange au monde, hors l'Organisation mondiale du commerce.
Outre la Chine et le Japon, le RCEP réunirait l'Association des nations d'Asie du sud-est (Asean: Bruneï, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Birmanie, Philippines, Singapour, Thaïlande et Vietnam), la Corée du Sud, l'Inde, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.
Soit, sur le papier, un marché unique de 3,5 milliards d'habitants au produit intérieur brut de 23'000 milliards de dollars, un tiers du PIB mondial. Et une zone qui réduirait la dépendance des pays membres par rapport aux économies occidentales en crise.
"Nous nous réjouissons d'élargir et d'approfondir les (accords de libre-échange) existants et nous concevons le RCEP comme une plateforme pour le commerce et l'intégration des investissements en Asie et le reste du monde", affirme le projet de déclaration d'une réunion de l'Asean qui se tient jeudi et vendredi à Brunei.
Les pays concernés devront toutefois surmonter leurs nombreuses querelles territoriales.
Le Japon et la Chine s'opposent à propos d'un archipel en mer de Chine orientale, tandis que Tokyo et Séoul se disputent des îlots isolés entre leurs deux pays.
Pékin et Hanoï se disputent les Spratleys et les Paracels, archipels supposés être riches en hydrocarbures. Et les Spratleys sont aussi revendiquées notamment par les Philippines.
Ce projet de RCEP, lancé l'an dernier à Phnom Penh, ferait contrepoids à celui que défend Washington.
Les Etats-Unis ont en effet lancé, avec le Japon mais sans la Chine, des négociations pour l'Accord commercial trans-Pacifique (TPP) impliquant également Australie, Brunei, Chili, Canada, États-Unis, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour, Vietnam, soit 40% du PIB mondial.

(AWP / 23.04.2013 10h45)
 

Parce qu'entre-nous, mes chers lecteurs, la zone de libre échange entre les Etats_Unis est une grosse arnaque à sens unique. Pourquoi, le commissaire européen fait du zèle pour faire passer cet accord, sans qu'aucune précaution ne soient prises pour protéger les citoyens.
Déjà, les multinationales se positionnent et lorsque l'accord sera officialisé, elles n'auront aucune difficulté pour liquider la concurrence dans les secteurs qu'elles auront investis.

(source : Actuwiki)

Les sociétés Goldman sachs et JP Morgan sont les fournisseurs de gaz pour la France.

La France est engagée depuis 1996, dans un processus de construction d’un marché européen de l’énergie, prévoyant notamment l’ouverture à la concurrence des marchés du gaz naturel et de l’électricité. La dernière étape de cette ouverture à la concurrence était le 1er juillet 2007. Depuis cette date, les consommateurs particuliers, près de onze millions de foyers alimentés en gaz naturel et vingt sept millions en électricité, peuvent, s’ils le souhaitaient, changer de fournisseurs d’énergie, et accéder ainsi à de nouvelles offres.
130320125339-jp-morgan-goldman-sachs-620xb

Goldman Sachs International

Arrêté du 19 janvier 2010 autorisant la société Goldman Sachs International (GSI) à exercer l’activité de fourniture de gaz
NOR : DEVE1001862A
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 19 janvier 2010, la société Goldman Sachs International (GSI), dont le siège social est situé Peterborough Court, 133 Fleet Street, EC4A 2BB, Londres (Royaume-Uni), est autorisée à exercer l’activité de fourniture de gaz sur le territoire français pour approvisionner la catégorie de clients suivante :
― les fournisseurs de gaz naturel.
voir ici le journal officiel

JP Morgan Markets Limited

Arrêté du 5 janvier 2010 autorisant la société JP Morgan Markets Limited (JPMML) à exercer l’activité de fourniture de gaz naturel
NOR : DEVE1000278A

Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 5 janvier 2010, la société JP Morgan Markets Limited (JPMML), dont le siège social est situé 125 London Wall, EC2Y 5AJ Londres (Royaume-Uni), est autorisée à exercer l’activité de fourniture de gaz sur le territoire français pour approvisionner les catégories de clients suivantes :
― les fournisseurs de gaz naturel ;
― les clients non domestiques n’assurant pas de missions d’intérêt général.
voir ici le journal officiel

Source : legifrance / developpement-durable.gouv.fr


Eh, oui, mes chers lecteurs, la France va devenir une sous colonie des Etats-Unis et les français ne seront pas mieux traités que les citoyens américains. De toute façon, ces gens-là n'ont aucune considération pour leur pays. Tout ce qu'ils veulent, c'est du cash, même si la FED leur a sorti la tête de l'eau, ils sont prêts à jouer contre leur propre pays.

(source : idem)

Warren Buffett, Goldmans Sachs, Bank of America prévoient un véritable ravage dans le compartiment des obligations

A la fois, pour Warren Buffett, Goldmans Sachs, et Bank of America, les investisseurs devraient rapidement se porter vendeurs de leurs obligations souveraines des pays développés et de leurs obligations d’entreprises de qualité de long terme et rester à l’écart de ces segments des marchés financiers.
r-BUFFETT-GOLDMAN-large570
« Il est difficile de croire que la plus grande bulle sur le marché des obligations dans l’histoire se terminera sans carnage » a indiqué Michael Hartnett, responsable de la stratégie d’investissement au sein de Bank of America dans une note publiée ce vendredi 31 mai, destinée aux investisseurs. Pour ce dernier, « le risque d’un krach obligataire est élevé ».
Les investisseurs semblent de plus en plus nerveux face à l’éventualité de voir la Réserve fédérale américaine réduire sensiblement son programme de rachat d’actifs sur le marché. Le président de la Banque centrale, Ben Bernanke, a indiqué la semaine dernière que la Fed pourrait effectivement diminuer ses acquisitions si les membres du comité de la politique monétaire sont suffisamment confiants sur le fait que l’amélioration de la croissance économique américaine est durable.
Le taux à dix ans américain est passé de 15,8% en septembre 1981 à 1,38% en juillet 2012, note Michael Hartnett. Le gap est considérable.
Ce taux a atteint 2,09% ce matin, après 2,17% jeudi. Un pic récent à 2,23% a été touché le 29 mai.
Selon M Hartnett, le taux à dix ans américain devrait évoluer à 2,25% d’ici la fin de l’année. La Fed devrait commencer à amoindrir l’ampleur de ses opérations d’achat en avril 2014.
Le stratégiste recommande alors de s’orienter vers les actions des banques américaines, européennes et japonaises, de même que vers les actions des marchés émergents, comme le Brésil, la Chine, l’Inde, la Turquie, la Russie.
Le point de vue de Goldman Sachs

Pour les analystes fixed income de Goldman Sachs, dans une étude parue jeudi 30 mai, le mouvement de ventes massives des obligations américaines, de même que celles d’autres obligations de longue durée de pays développés, a commencé. Ces derniers conseillent également aux investisseurs de sortir le plus rapidement possible de ce compartiment. «Quiconque a trop d’obligations avec une duration importante va souffrir. Les investisseurs doivent se monter très vigilants sur les fonds lourdement investis dans les obligations de qualité, dites obligations refuges, comme les obligations américaines ou les obligations d’entreprises bien notées [ndlr obligations investment grade] ».
Les raisons invoquées sont la conjoncture économique, la possibilité pour la Fed de sortir progressivement de sa politique d’assouplissement quantitatif et les incertitudes rattachées à la stratégie menée par les autorités budgétaires et monétaires au Japon.
Le taux à dix ans américain est attendu à 2,50% à la fin de cette année et le taux à dix ans allemand à 1,75%.
Goldman Sachs a alors une vue positive sur les actions européennes. « La corrélation entre la performance du marché des actions européennes et la hausse des taux obligataires a été positive depuis 1999. Autrement dit, des taux plus hauts ont été synonymes de bénéfices en hausse ».
La conviction de Warren Buffett
Selon le milliardaire Warren Buffett, fondateur et président de la multinationale Berkshire Hathaway, s’exprimant dans le cadre d’une interview accordée à la CNBC le 6 mai, les obligations constituent un investissement terrible à l’heure actuelle. « A chacun, je conseillerais d’avoir suffisamment de cash sous la main pour se sentir confortable et d’investir le reste en actions raisonnablement pricés ».
Pour M Buffett, le prix de chaque actif détermine son attractivité. Or les obligations ont un prix artificiel du fait du rachat massif de la Réserve fédérale américaine. Cela devrait changer à un moment donné. Et lorsque ce changement aura lieu, les investisseurs pourraient perdre beaucoup d’argent en restant positionnés sur les obligations de long terme.
« Un jour prochain, les taux obligataires seront bien plus élevés qu’aujourd’hui. Je ne sais pas quand est ce que cela se produira mais je sais que cela sera le cas » a déclaré M Buffett.
I.H.
Source : Easybourse

Et, oui, ma seule conviction, c'est l'argent, dixit le grand turc.
Mais, non, je mens, le grand turc n'a rien à faire là dedans.
En tout cas de conviction la ministre de l'écologie bulgare n'en a pas beaucoup. Elles donnent elle même la preuve, "QU'ILS NOUS MENTENT".
Sauf, qu'ici, en France, maintenant plus personne ne croit le président Hollande. Plus menteur que lui, tu meurs

(source: désolé, le titre est écrit en cyrillique et je n'arrive pas à le copier, journal bulgare)

Bulgares et roumains solidaires contre le fracking

Des dizaines de jeunes bulgares ont protesté à Sofia contre l’intention de la Ministre de l’écologie, Mme Mihailova, d’autoriser l’usage du fracking en Bulgarie. Les manifestants ont brandi le slogan “On ne peut pas boire de l’argent” et ont manifesté leur solidarité avec la société civile roumaine, qui s’oppose à l’usage du fracking en Roumanie. Les deux pays voisins se situent sur le même lac souterrain, le Malm 
Valange, et les sondages des deux côtés de la frontière mettent en danger de pollution les deux pays.
(Visited 59 times, 59 visits today)
 
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.

PS : Mosanto continue à s'organiser en France par le biais de la justice "française".

(source : BEEZ, domination et manipulation)

Le rédacteur en chef d’Inf’OGM interrogé par les gendarmes !

Attention: open in a new window. PDFPrintE-mail
par Frédéric JACQUEMART , novembre 2011
Publié par Inf'OGM
La démocratie impose au minimum que le gouvernement, la justice et l’information soient indépendants les uns des autres. Pour que l’information soit aussi complète et pertinente que possible, les sources des journalistes doivent impérativement être protégées des regards des deux autres institutions, faute de quoi ces sources, bien sûr, seraient taries.
Alors même qu’un peu partout dans le monde, une exigence pour un renouveau démocratique réel s’exprime, on assiste, en France, à un grignotage progressif, mais hautement significatif, des droits fondamentaux à l’information.
Qu’il s’agisse des « fadettes » de l’affaire Bettencourt ou de l’enquête sur les meurtres dans le milieu marseillais, ou des autres violations récentes du secret professionnel des journalistes, notamment du journal Le Monde, le non respect de la protection des sources, pourtant assurée par la loi, devient pratique courante. Le Monde cite M. Dallot, procureur de Marseille, qui, pour se défendre, a déclaré : « J’ai agi en conformité avec la loi, qui autorise la saisie de facturations téléphoniques dans certains cas bien précis, par exemple lors des affaires de criminalité organisée » [1]. Apparemment, le fauchage d’une parcelle OGM serait assimilable à un crime organisé. C’est en effet pour avoir cité les propos d’un faucheur volontaire dans le cadre d’un article sur la destruction d’une parcelle de tournesols mutés tolérants à un herbicide [2] que Christophe Noisette, le rédacteur en chef d’Inf’OGM, a été interrogé, apparemment sur ordre du parquet, par la gendarmerie, pour connaître ses « sources ».
Certes, les pressions pour les révéler sont restées « courtoises », selon le compte-rendu de Christophe et il n’y a pas eu de mise en garde à vue ; le préjudice s’est limité aux désagréments de la situation et à une perte d’une demi-journée de travail pour Inf’OGM. Mais c’est en laissant se banaliser des pratiques contraires aux principes même de la démocratie, que celle-ci, peu à peu, se désagrège. A force, il sera trop tard pour réagir.
 
   

 

Aucun commentaire: