jeudi 2 février 2012

Salut à Venise. A quoi sert de dépenser tant d'argent pour la conserver alors que la majorité des habitants d'origine est déjà partie. Pour la satisfaction de quelques commerçants ?

Oh, là, là, là, là, mes quatre chers lecteurs, hier, encore fiu (y'en a marre en tahitien).
Bon, j'ai encore, vous me direz travailler sur le tout petit, petit dallage qui commence à ressembler à un vrai.
En tout cas, j'ai regardé l'ordinateur découragé.
Mais, passons.
Par contre, quelqu'un qui ne passe pas sur le sujet, c'est bien Obama. Il va nous déclarer une guerre commerciale avec la Chine, histoire de prouver qu'il a des biscotos.
Ben, alors, qu'est-ce qui se passe, on ne respecte plus la liberté du commerce.
Qu'est-ce que cela veut dire monsieur le président Obama, on pousse le monde entier à la dérégulation et dès qu'un autre pays fait mieux, on remet des barrières douanières sous une forme ou une autre pour bloquer l'entrée de ses marchandises.
C'est pas gentil, ça.
Mais, alors, tout ce cinéma de la MONDIALISATION, de la libre circulation des marchandises, des personnes et des biens et tutti quanti, tout cela n'était qu'un gros bidonnage à votre seul profit.
Tiens, je viens d'évoquer ce mot "PROFIT".
Ah, oui, c'est vrai, maintenant le rêve américain, c'est le "PROFIT". Social, humanisme, même capitalisme ont disparu de cette notion de rêve qui incluait la réussite personnelle. Alors que les dictatures incluaient la soumission du peuple, le rêve américain supposait l'épanouissement de la personnalité.
Maintenant, avec toutes les lois liberticides qui sont sorties après le 11 septembre, le rêve américain est en passe de devenir un cauchemar.
A moins que les américains se lèvent tellement nombreux que les autorités fédérales ne puissent aller contre.
Sauf, qu'ils paraient que des régiments sont prêts à intervenir dans ce cas de figure. Pas seulement la garde nationale, mais, de l'armée.
Mais, revenons à nos moutons.

(source : le Quotidien du Peuple, Mise à jour 02.02.2012)

"Commerce : Pourquoi en 2012, l'attitude des Etats-Unis se durcit avec la Chine ?

Pour 2012, année des élections présidentielles, l'attitude des Etats-Unis sur le commerce avec la Chine a tendance de se durcir. Récemment, le Président américain Obama a annoncé la création d'un organe exécutif du commerce, qui se chargera d'enquêter sur des soi-disantes transactions injustes venant notamment de la Chine.
« Afin d'ouvrir de nouveaux marchés pour les produits américains, je peux aller n'importe où dans le monde. Lorsque nos adversaires n'agissent pas selon les règles, je ne vais pas rester indifférent. Le nombre de procès que nous avons intentés est deux fois plus important que le gouvernement précédent, et cela a porté des fruits. » a dit Obama.
Toujours selon lui, le gouvernement ne va pas retirer la promesse de l'énergie propre à cause des pressions. Les Etats-Unis ne vont pas laisser à la Chine ou à l'Allemagne toutes les opportunités dans les industries éoliennes, d'énergie scolaire ou de piles (haute technologie).
Selon les analyses, comme les élections présidentielles auront lieu cette année aux Etats-Unis, certains candidats du Parti républicain ont déjà commencé à utiliser le sujet de la Chine.
(...) Selon Martin Hutchinson, le célèbre analyste américain des finances et stratège d'investissement mondial, la création d'un nouvel organe exécutif du commerce, charger des enquêtes sur les transactions injustes des autres pays pour protéger l'exportation américaine, pourrait entraîner une guerre commerciale mondiale plutôt dangereuse. Selon lui, il s'agit là de protectionnisme et cela entraînera des vengeances."

Quand, nous avons des nouvelles de notre ancienne ministre de l'économie qui n'a réussit à l'époque qu'à regarder la France plonger sans réagir. Et, pour cause, elle n'y entend pas vraiment en économie. Elle était avocate d'affaire, pas économiste.
Par contre au FMI, elle va suivre ce que les "experts" lui diront de faire.
En tout cas, elle est pas bien vue en Argentine.

(source : Amérique 24, Jeudi 2 Février 2012)

"Nouvelles tensions entre l’Argentine et le FMI

Les tensions reprennent de plus belle entre le gouvernement argentin et le FMI concernant les statistiques sur le taux d’inflation.
l'Argentine va t-elle céder face à la pression du FMI?
Christine Lagarde est en train de se faire des amis en Argentine puisque la présidente du FMI et son comité directeur viennent d’avertir l’Argentine « d’un manque de transparence sur les chiffres nationaux concernant le taux d’inflation ». Le FMI a sorti hier le communiqué de presse suivant : « le comité directeur regrette l’absence de progrès à s’adapter aux statistiques internationales et prend note des intentions des autorités argentines à adopter les mesures adéquates pour améliorer la qualité des données. »
Le FMI ne semble cependant pas prêt à adopter des sanctions contre l’Argentine. L’organisation monétaire insiste « sur les obligations de tous les pays membres de fournir des informations pertinentes sur leurs données économiques, notamment au niveau de l’inflation et du PIB. » Le FMI demande à l’Argentine de se mettre à jour au niveau de ses données sur l’inflation d’ici 6 mois.
Selon des avocats travaillant pour l’opposition en Argentine, le vrai taux d’inflation serait de 23%, le plus important des membres du G20. Des chiffres contestés par le gouvernement de Cristina Kirchner puisque les statistiques nationales indiquent un taux d’inflation annuel de 9,5%. Depuis 2007, les économistes argentins publient leurs propres chiffres, ne faisant plus confiance au gouvernement depuis que Nestor Kirchner décida de changer l’ensemble du personnel en charge de publier les statistiques nationales."
Les relations entre l’Argentine et le FMI ont été houleuses ces 10 dernières années. Depuis 2006, le gouvernement argentin refuse que le FMI analyse ses données financières après avoir réglé sa dette de 9,8 milliards de dollars la même année. Le couple Kirchner a toujours accusé le FMI d’être le responsable de la crise économique de 2001 qui plongea le pays dans la banqueroute, avec une dette colossale de 95 milliards de dollars."

Ah, là, là, ce FMI qui pourrait bientôt intervenir en France. Ce qui d'ailleurs fait partie de ses scénarios.
Alors, Christine Lagarde sera-t-elle plus sympa avec nous que ne l'a été strauss kahn avec la Grèce à son époque.
Cela m'étonnerait et sans doute a-t-elle des comptes à régler avec sarko.
Mais, que dis-je, ce ne sera pas sarko, mais, soit Bayrou ou Hollande ou même, celui pour qui je vais voter Mélenchon.
C'est peut-être le cadeau de départ que nous a réservé sarko en accentuant joyeusement la dette tout en faisant croire qu'il faisait des efforts sur le déficit public.
Nous livrer au Fmi, quelle belle vengeance pour un type comme lui.
Et, sur cette parole qui, à mon avis, s'approche de la vérité, je vous salue et bien le bonjour chez vous.
René.

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