mercredi 15 février 2012

Salut à toutes les victimes de notre président national. Rassurez-vous, il a agit pour sa grandeur et pas la grandeur de la France. C'est bien pour cela que ses coups foireux...foirent.

Bon, avant hier, mes quatre chers lecteurs, je saluais les candidats bouffons à l'élection présidentielle français. Evidemment, il fallait comprendre que je parlais des candidats qui issus du parti présidentielle posait leur candidature juste pour négocier une place au sein d'un nouveau gouvernement sarko. Je parlais de Bouttin et de Morin, les fous du roi et seulement de ces deux=là, pas plus, ni moins.
Mais, en attendant l'industrie continue à se porter mal en France. Déjà, nous avions les délocalisations, les faillites de TPE et PME par manque de crédit bancaire, les faillites dues à la concurrence des pays émergents et maintenant, nous avons les fermetures dues à l'élimination de la concurrence comme cela s'est passé à Gandrange avec la fermeture programmée par la famille Mittal du site d'ArcelorMittal de Gandrange.
Maintenant, il se passe la même avec l'industrie de l'Aluminium.

(source : Agoravox)

Le sabotage de l’industrie de l’aluminium en France

On apprend ces jours-ci que l’usine de production d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, risque d’être fermée très prochainement.

Selon Olivier Baud, ancien président d’Aluminium Péchiney, le groupe canadien Alcan qui a racheté Péchiney en 2004 avait prémédité un plan de fermeture de toutes les usines européennes de ce groupe sidérurgique français, en en précisant même les dates. Ainsi, l’usine de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie, était déjà programmée, il y a 8 ans lors du rachat, comme devant être fermée en 2012…(...)"

Bientôt, la France, si, l'état ne fait pas un effort n'aura plus d'industrie lourde, comme cela s'est passé pour le textile dans le nord.
Et, le premier ministre nous parle d'une croissance à 0,5%, « la perspective d'une croissance de 0,5 % minimum en 2012 est acquise ». La dynamique reste très fragile".
Il y a de quoi rigoler, en riant jaune évidemment, les entrepreneurs nationaux désertent le pays pour une question de profit et non pas de survie et la France perd son tissu industriel, sans compter celui dee PME-PMI e TPE.
Il y a de quoi pavoiser, ne pensez-vous pas mes quatre chers lecteurs ?
A Gandrange, sarko avait promis de prendre l'affaire en main, résultat, le site a fermé.
A cause du profit dont il nous a tant battu les oreilles au point de concocter des primes à la méritocratie dans les administrations publiques. Plus, tu travailles, plus, tu touches de prime, mais, en même temps en supprime des milliers de poste.
En URSS, cela s'appelait le Le stakhanovisme.
Et, dire qu'il a annoncé qu'il allait nous rabattre les oreilles avec la valeur travail. A mon avis, il devrait plutôt se préoccuper que l'industrie dans son ensemble ne quitte pas la France.
Parce que dans l'agriculture, il n'y a pas de travail, dans les administrations pareils, dans les services publics, la même et au chômage, il y a déjà trop de monde.
Encore heureux, qu'il n'y ait plus Christine Lagarde au ministre de l'économie parce qu'elle aurait capable de vouloir nous faire avaler qu'en France, finalement, la situation n'est pas si mauvaise pour l'emploi.
Sauf, qu'elle a été sévir au FMI et cela est peut-être pire, pour nous évidemment puisque sa seule vraie compétence est de suivre ce qu'il lui est dit de faire.
Mais, passons, parce qu'au Mali, la crise s'internationalise.

(source : El Watan, le 14.02.12)

"Crise du nord du Mali : l’Union africaine et la France s’en mêlen.

L’Union africaine a décidé de ne pas rester les bras croisés face à l’aggravation de la crise du nord du Mali qui connaît depuis le mois de janvier dernier une résurgence de la rébellion touareg.

Le Burkina Faso, pays qui a accueilli depuis le début du conflit près de 10 000 réfugiés touareg, a annoncé que l’organisation panafricaine était en train de préparer des «initiatives». L’annonce a été faite en marge d’une rencontre entre le président burkinabé, Blaise Compaoré, et un émissaire du président de l’UA, le Béninois Thomas Boni Yayi. «Un message du président béninois, nouveau patron de l’UA, a été transmis à M. Compaoré samedi par le ministre béninois des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari», a indiqué la présidence burkinabé dans un communiqué.
M. Bako-Arifari a, selon la même source, «fait savoir que la question de la rébellion touareg au Mali a été abordée» avec le président Compaoré. Cette «concertation», précise-t-on encore, fait suite à une mission envoyée par le président Boni Yayi auprès du chef de l’Etat malien, Amadou Toumani Touré, pour «envisager des actions à mener». «D’autres concertations sont en cours et le Conseil de paix et de sécurité de l’UA est en train de prendre des initiatives», a ajouté la présidence du Burkina, sans plus de précision. Cette initiative africaine, précise-t-on, intervient une semaine après la médiation menée entre Bamako et les rebelles touareg par le gouvernement algérien."

Donc, tout le monde se rend compte du danger d'implosion dans la région du Sahel. L'Union Africaine songe sans doute à y envoyer une force d'intervention militaire.
Mais, à mon avis, il n'y a pas que des armes qui sont arrivés avec les mercenaires touaregs de Kadhafi, il y a de l'argent et sans doute, beaucoup d'argent.
Et, n'oublions pas que les touaregs gardent comme base arrière le nord de la Libye où leur alliance avec d'autres tribus restent d'actualité.
Sans compter que la situation y reste confuse.

(source : idem, Jeudi 16 février 2012)

"Six morts dans des violences intertribales.

Six personnes ont été tuées et 20 autres blessées hier dans des combats armés entre tribus libyennes dans le sud-est désertique de la Libye, ont indiqué des responsables et des sources tribales.
Les affrontements entre la tribu des Zwai et celle de Tobu ont éclaté dans la nuit de dimanche à lundi dans la ville de Koufra et cinq personnes y ont péri. Une sixième personne, un membre des Zwai, a été tuée, selon les sources tribales."

Eh, oui, mes chers quatre lecteurs, notre président national est un grand stratège, il l'a prouvé en Côte d'Ivoire où la situation reste explosive. Bref, il aurait mieux fait de s'abstenir.

(source :Ivoirebusiness.net, jeu, 16 févr. 2012 )

"Rébellion armée contre Ouattara : Général Soumaïla Bakayoko « Des combattants armés pullulent à Lopou, dans la forêt de DABOU, prêts à frapper le régime »

Général Soumaïla Bakayoko, chef d'Etat-major des FRCI.Le 16 février 2012 par IvoireBusiness - Une expédition punitive est en train d’être préparée au plus haut niveau par la haute hiérarchie des FRCI dirigée par le général de division Soumaïla Bakayoko, chef d’Etat-major des armées, sur toutes
les régions de Côte d'Ivoire ou pullulent des Combattants armés de tous poils. L’attaque meurtrière d’un convoi FRCI par des soldats non identifiés lui est manifestement passée au travers de la gorge.
La situation est ainsi devenue explosive à Dabou, 27 km de la capitale économique ivoirienne, Abidjan. Le général Bakayoko a mis ses hommes sur les traces de combattants pro-Gbagbo et liberiens, qui selon lui sont dans la forêt de Dabou dans le village de Lopou.
Ils auraient pris position dans les riches forêts de cette localité, attendant ‘’ le feu vert’’ pour déstabiliser le régime d’Alassane Ouattara. Dans le souci d'en savoir un peu plus sur cette présence officiellement évoquée par les autorités militaires de « trouble-fête » dans la région, le confrère L’Inter s’est rendu à Dabou. Sur les traces des combattants…
C’est dans cette veine qu’hier le sous-préfet de Dabou et le secrétaire général de la préfecture ont été arrêtés. Leurs torts : Avoir un penchant pour le Président Laurent Gbagbo.

A SIKENSI, HAMED BAKAYOKO PRÊT A REPRIMER TOUTE REBELLION DANS LE SANG

A Sikensi, la situation est aussi préocupante.
Jeudi 02 février dernier, Hamed Bakayoko, ministre de l’Intérieur était à Sikensi pour des mises au point avec la population.
Il a été très menaçant envers cette dernière. Il a dit que les jeunes de la région prépareraient une rébellion contre le régime de Ouattara.
Il a invité les parents séance tenante à dissuader leurs enfants car il avait les moyens de réprimer toute rébellion dans le sang. Il a dit qu'il est prêt à tuer tout le monde et que personne ne dise APR7S qu'il massacre les civils."

Donc, vive le candidat sarko qui a réussi à mettre tout le monde dans la merde, les français en premier.
Et, chez lui, c'est son incompétence qui est dangereuse.
A bientôt.
René.

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