mercredi 22 avril 2009

"La plus grande vertu d'un débiteur, c'est de payer sa dette". Proverbe Russe. A mon avis, les banquiers sont pas prêt de payer la leur.

Salut aux intermittents du spectacle, la lutte continue !

Alors, nous allons commencer par une bonne nouvelle que nous avons trouvé dans le Monde d'hier.

"825 000 euros. L'indemnité de départ versée à l'ex-patron de la banque Dexia.
L'ex-patron de la banque franco-belge Dexia, Axel Miller, démissionnaire après le sauvetage de son établissement par les Etats français et belge en septembre 2008, a finalement reçu une indemnité de départ de 825 000 euros. Celle-ci lui a été accordée par le conseil d'admninistration de la banque, en dépit de l'engagement pris publiquement par M.Miller lors de son départ, sous la pression du gouvernement français, à renoncer à tout dédommagement. Les représentants de la France au conseil ont voté contre l'attribution de cette indemnité. M.Miller a perçu 636 000 euros de salaire fixe sur neuf mois en 2008".

Youppi ! Les banques continuent à nous prendre pour des gros cons. Et, c'est les compte courants de la banque Dexia qui vont payer les 800.000 euros à celui qui a coulé la banque.
Je pensais qu'au moins, la crise allait amener à une moralisation, à une refondation du capitalisme comme nous en rebat les oreilles le père Sarkosy.
Pipo, pipo et encore pipo !
Alors, un seul mot d'ordre le 1er mai, "Tous ensemble à l'ELysée !"
Mais, non, je plaisante. Le seul mot d'ordre qui tienne, c'est "Que ceux qui ne peuvent venir manifester, organisent un pique-nique devant leurs mairies pour que leurs voix soient entendues et comptabilisées".
Bon, en attendant, les scientifiques affirment désormais que le changement climatique va plus vite qu'ils ne le pensaient.
Évidemment, si nous considérons les facteurs du changement A,B,C et la vitesse d'accélération du changement climatique n+1, cela nous donne, (A+B+C+D+E+F)puissance (n+1). Cela signifie que les facteurs évoluent en valeur et change tout le temps, mais, moins vite que les deux termes de la puissance n+1 qui se modifient de seconde en seconde. Exactement comme le décompte mécanique des intérêts de la dette des États Unis.
Donc, là où il faut intervenir, c'est sur les termes de la puissance. Il faut arriver à ralentir la vitesse d'évolution de ses termes.
Bon, vous avez compris ? Bien, parce que moi, je n'ai rien pigé. En fait, c'est le père Noël qui m'a soufflé cette image.
En tout cas, bientôt il n'y aura pas que les scientifiques qui vont se rendre compte de la vitesse du changement, il va y avoir nous. Et, nous allons nous en prendre plein la gueule.
Comme la Californie d'ailleurs qui pense lutter contre les incendies alors qu'elle fait face à une désertification. Et, comme, elle se mobilise contre les incendies, la désertification avance, s'installe en douce et finira par détruire toutes ces cultures irriguées. Car désertification signifie, disparition de l'eau.
Par contre pour passer du coq à l'âne, deux choses.
C'est bien que les musées soient gratuits, sauf que les vieux à faible retraite ne peuvent plus se payer de lunettes.
Ensuite, j'ai vu une émission dimanche sur Canal, Dimanche +, avec Kouchner qui se justifiait pour lui et pour son chef.
Sauf que, sauf que, quand son maître l'a sifflé pour aller aboyé contre Rama Yade, il n'a pas hésité. Alors, son air bonhomme, à mon avis, il peut le balancer.
Et, tant pis, si les français croient que c'est un mec correct. Avec Rama Yade, il a prouvé le contraire.
Et, sur ces bonnes paroles pleines de fiel, je vous salue.
A bientôt.
René.

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