mardi 14 avril 2009

"Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même". Proverbe Iranien. Sans doute parle-t-il de leur président.

Salut aux camarades syndiqués. De tout coeur, je suis présent le 1er mai.

Bon, je matin, j'ai écouté la radio BFM. J'ai été content d'apprendre que la banque américaine Golden Sachs va provisionner cinq milliards de dollars grâce à la vente d'action afin de rembourser le plus vite possible le gouvernement américain. Car, elle ne peut plus spéculer alors la spéculation tout azimut repart et qu'elle veut rétribuer ses dirigeants à des hauteurs toujours sidéral.
Donc, acte !
Il est vrai que la Golden Sachs a fait son fric à travers la spéculation financière.
Et, la moralisation des acteurs financier dans tout ça ?
Ben, oualou !
Et, voilà, tout les salauds vont à nouveau se donner rendez-vous au grand cirque de la spéculation international.
Heureusement que toutes les nouvelles ne sont pas de cet acabit.
Par exemple en Australie, les acteurs économique se préoccupent des malheureux chômeurs, pas comme chez nous, dans la douce France.
Un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Plan de sauvetage pour les endettés licenciés
Le gouvernement et les grandes banques australiennes ont conclu un accord qui devrait permettre aux Australiens qui n’ont plus de travail et qui font face à d’importantes difficultés financières de reporter parfois d’un an le remboursement des mensualités du prêt immobilier ou du prêt pour l’achat d’une voiture par exemple".

En tout cas, ce n'est pas comme la LCL chez nous qui ne nous laisse pas respirer en cas de dépassement même minime du découvert autorisé avant de nous balancer 18% d'intérêt.
Au moins, le gouvernement australien nous prouve que cela est possible. Mais, il est vrai que notre gouvernement est constitué de gens très intelligents à qui une telle idée ne viendrait pas pour soulager la misère de ses citoyens.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse car une stagiaire mauvaise veut prendre l'ordinateur.
Alors, bien le bonjour chez vous.
René.

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