lundi 19 mars 2007

Un jour, tu verras le soleil à travers le prisme de mon coeur et tu seras éblouie

Salut les intermittents du spectacle.

Je ne sais si vous êtes comme moi, mais j'en ai marre de trimer pour un salaire qui me permet de vivre à la limite de la survie. Eh, oui, maintenant, même avec deux salaires (ce qui n'est pas mon cas), on a des difficultés à finir les fins de mois.
Dur, dur la vie !
Que vaudrait-il faire ? Besancenot et Laguiller l'ont dit, balancer le smig à 1500 euros net. Et non comme d'autres le disent à 1500 euros brut. Hélas, entre le net et le brut, leurs coeurs balancent. Parce que selon des oiseaux de mauvais augure, l'économie ne le supporterait pas. Il fut un temps où l'immigration permettait aux patrons de maintenir les salaires à la limite d'une vie normale, maintenant les délocalisations les maintiennent au niveau de la survie.
Il y aura toujours quelque chose à redire. Même si les salaires et émoluments des patrons du 4/40, eux augmentent d'une manière sidérale.
Évidemment, ce qui est bon pour les salariés ne peut l'être pour ce type de patronnât. Où est la morale me dirait le pape, je ne sais combien . Je lui réponds tout de suite, dans la poche des sans morale, sans justice et surtout sans casier judiciaire.
Alors, que faut-il faire, à part demander le remboursement des aides diverses, ce que entre-nous, ils n'ont pas grand chose à faire ? Peut-êtrel faut-il taxer fortement au niveau européen les produits qui reviennent des pays émergents. A la condition qu'ils soient produits par des entreprises qui auront délocalisés ou dont le capital se sera investi dans des entreprises desdits pays.
De cette façon là, les entreprises locales pourront retrouver une possibilité de faire face à la concurrence et de nouvelles entreprises pourront être créer.
Quant-à Bayrou, pourquoi voter pour lui ? Simplement parce qu'il n'a pas de base et que s'il veut gagner son indépendance, il vaudra qu'il en crée une. A cause de cela, il sera obligé non seulement de tenir ses promesses et en plus d'être à l'écoute de la souffrance de la France.
De toute façon, il ne pourra être pire que les autres. Et pour ceux qui me pointe parce qu'il est de droite, je leur répondrais que le socialisme vient de mourir avec le royalisme.....ou le boulangisme au choix. Et encore, il n'en restait pas grand chose !
Sarkho a pondu un ministère de l'immigration et de l'identité nationale pour faire parler et reprendre la main, Ségo a pondu, ce qui n'est pas neuf, la VI république. A ce rythme là, ils vont nous promettre le ciel.
Si, c'est le ciel, je prends car j'ai toujours rêvé de voler comme un oiseau. Pas n'importe lequel, un aigle plutôt qu'un moineau. Un prédateur comme les deux principaux candidats se rêvent d'être, en prédateur de l'autre.....candidat évidemment. Parce que prédateur de nous, c'est déjà fait, merci !
En tout cas Arlette est bien sympa, maintenant qu'elle se tape son dernier tour de France. Nous la regretterons. J'espère qu'elle nous fera un face à face avec Sarkho avant les élections. Sauf que vu comment les interviews se déterminent, peut-être qu'il n'y aura même pas une confrontation entre les principaux candidats. Parce que parler à des convaincus, c'est une chose, affronter un adversaire tenace, c'est pas la même et cela peut être décisif (voir Mitterand et Chirac).
Cela pourrait être drôle et cela sera sûrement drôle.
Bon, à part ça, le président/premier ministre d'Iran veut aller à l'ONU faire la causette. Tout ça pour revenir dans son pays et dire qu'il a été le meilleur et que les pays émergents le soutiennent et que c'est les méchants américains qui les en empêchent.
Décidément, il a de moins en moins de munitions dans son sac à malice. Entre nous, il ferait mieux de s'occuper de la misère qui est installée chez lui.
Oui, à part ça, je voulais vous dire que je vais bien et que tout baigne. Que je n'ai plus de machine à laver et que je lave mon linge à la main. Je vous dis ça au cas où il y ait une bonne âme qui veuille le faire à ma place. Avant, j'aurais aimé qu'elle soit blonde, mais vu toutes les sales plaisanteries qui courent sur les blondes, je me contenterais d'une brune.
Si vous êtes volontaire et bénévole, téléphonez-moi.
A bien le bonjour chez vous.
René.

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