jeudi 12 juin 2014

(blog à finir et à corriger)

Et, oui, mes chers cinq lecteurs, le football, la FIFA, est une multinationale corruptrice et agit comme telle. Vous voyez, il n'y a pas que Mosanto et compagnie.

(source : Europe 1)

Cette "loi Fifa" qui ligote le Brésil

Par Pauline Hofmann
Publié le 10 juin 2014 à 19h59Mis à jour le 10 juin 2014 à 20h48
     
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Un manifestant écoute un discours devant une cohorte de policiers brésiliens (illustration)

  • Mondial-2014 : la Fifa confiante malgré la grève
  • Japon: nouvelle génération de robots-jouets au Tokyo Toy Show
  • Afghanistan: dernier round pour la présidentielle
  • Turquie: début du procès des meneurs de la fronde anti-Erdogan
Un manifestant écoute un discours devant une cohorte de policiers brésiliens (illustration) © Reuters

TOUTE PUISSANTE - Brasilia a dû voter la "loi générale de la Coupe", qui dédouane la Fifa de toute responsabilité et préserve les sponsors de la Coupe du monde.
Le Brésil doit gérer une fronde sociale et l’organisation de la Coupe du monde de football au même moment. 42 employés du métro de Sao Paulo ont été licenciés lundi pour avoir fait grève, en vertu d'une législation mise en place pour la Fifa, estiment les signataires d'une tribune dans Libération. La Fédération, elle, n’est pas très inquiète, puisqu’elle a assuré ses arrières en mars 2012 en faisant voter la Lei geral da Copa, la loi générale de la Coupe.
Le Fifa protège ses deniers. Cet appareil législatif imposé par l’instance internationale du football bouleverse fortement l’économie brésilienne. Quand la Seleçao jouera, la Fifa a ordonné un jour férié dans les villes.
Plus grave : porter atteinte à l’image de la Fifa ou à ses sponsors est désormais un crime fédéral, tout comme l’utilisation sans autorisation de l’image de la Coupe du monde. Des employés de métro de Sao Paulo ont été licenciés après leur grève justement dans le cadre de cette loi. "C’est une grave atteinte à la liberté d’expression", estime pour Europe 1 Marc Perelman, chercheur en esthétique philosophique à Nanterre, signataire de la tribune.
La tradition du football populaire en prend également pour son grade, puisque la Fifa a imposé la fin des prix réduits. Le gouvernement a malgré tout voulu maintenir des tarifs seniors.
Cette "loi Fifa" qui ligote le Brésil
© Reuters
La libre-concurrence, connais pas. Mais les vrais protégés de la Fifa avec cette Lei geral da Copa controversée, ce sont ses sponsors. Fini l’interdiction de boire de l’alcool dans les stades brésiliens. Peu importe la violence engendrée par la consommation d’alcool, la Fifa veut préserver ses relations avec un de ses plus gros sponsors, Anheuser-Busch, qui fabrique la bière Budweiser. La fédération a également assuré de gros cadeaux aux entreprises engagées dans l’organisation de la compétition, notamment les entreprises de travaux publics, grâce à des exonérations fiscales, des réductions de délais dans l’obtention de permis, ...
Comme le remarque pour Europe 1 le sociologue Patrick Vassort, la Fifa a réussi à mettre la libre-concurrence entre parenthèses le temps de la compétition. Elle se réserve le privilège de toute activité commerciale sur certains produits aux abords des stades. Les 300.000 vendeurs installés dans un périmètre de 2km autour des stades devront baisser leur rideau s’ils ont l’intention de vendre des produits de sponsors de la Fifa.
Cette "loi Fifa" qui ligote le Brésil
© Reuters
Des tribunaux spéciaux. Pour juger si les Brésiliens respectent ou non cette loi Fifa, l’instance internationale de football a bien l’intention de créer des tribunaux d'exception, comme cela a été le cas en Afrique du Sud, totalement anticonstitutionnels dans un pays qui assure l’égalité de ses citoyens devant la justice. Pourtant, le Tribunal fédéral suprême a débouté une action contre la Loi générale de la Coupe.
De plus, la Fifa se dédouane par avance d’éventuels incidents : "Le gouvernement fédéral assumera la responsabilité" d’un incident "lié à la sécurité" et "objectivement attribué à la Fifa, à moins que la Fifa elle-même contribuera à cet incident", explique l’Etat.


Mais le Brésil le promet, l’Etat garde sa souveraineté, puisqu’"aucun amendement ne va à l’encontre de la Constitution fédérale ou de l’ordre légal du pays." Ce n’est pas l’avis des deux signataires de la tribune deLibération, qui estiment, comme l’ancien joueur brésilien Romario, que la Fifa sera le temps du Mondial "la vraie présidente du Brésil". Cette loi temporaire, dans tous les cas, sera supprimée cinq jours après la compétition.

Et, dans la rubrique, "On n'est pas des chiens !".

(source : NordPresse.fr)

De la viande de chien retrouvé dans des plats préparés vendus en France

viande-de-chien
       
Après le scandale de la viande de cheval, de la viande de chien de provenance chinoise et bien entendu interdite à la vente en France a été retrouvée dans les plats préparés de plusieurs enseignes de grande distribution française annonce ce matin l’AFP.
Près de deux ans après le scandale des plats cuisinés de l’entreprise Spanghero21 personnes ont été interpellées ce mercredi 11 juin dans le nord de la France dans le cadre d’une nouvelle enquête sur un trafic international de viande de chien.
Cette enquête était ouverte depuis 3 mois suite aux découvertes effectuées quelques semaines plus tôt par les autorités sanitaires. Des steaks hachés certifiés pur bœuf produits en Irlande et vendu en France dans différents plats préparés avaient fait l’objet d’analyses en laboratoire. Les résultats définitifs sont tombés il y a quelques jours : 91,4% des échantillons testés contiennent de la viande canine en quantités variables.
L’enquête de l’agence française anti-fraudes (la DGCCRF) révèle que ce sont 1750 tonnes de viande de chien faussement étiquetées bœuf qui sont entrées illégalement en France et qui ont fini sur les étalages de plusieurs enseignes de grande distribution françaises après être passé par les usines de transformation de la région.
La polémique sur la traçabilité des produits agro-alimentaires semble sans fin. Après l’affaire de la viande de cheval dans les plats préparés, le scandale des poissons vendus aux Etats-Unis et qui ne sont souvent pas ce que décrit leur étiquette, ou encore les 57 tonnes d’agneaux prohibés retrouvés chez Spanghero,… cette nouvelle affaire sordide de viande de chien vient donc s’ajouter aux dernières polémiques sur l’origine de la viande que nous consommons, semant encore davantage le trouble sur la qualité et la traçabilité de notre alimentation.
Le porte parole de l’usine de transformation Cold Food déclare : 
« [Le plat] contenait bien de la viande, mais cette viande n’était ni de l’agneau, ni du porc, ni du poulet ni du bœuf. De la viande c’est de la viande, nous avons décidé d’utiliser des chiens pour diminuer drastiquement les coûts de production. Nous pouvions économiser jusqu’à 62,3% de cette façon! En chine tout le monde en mange sans se plaindre, nous sommes vraiment étonnés de la tournure que prend cette affaire somme toute assez banale. Spanghero utilise du cheval, d’autres de le truite de rivière au lieu du colin d’Alaska.. Ce n’est plus un secret pour personne.
La plupart des enseignes touchées par la fraude on immédiatement retiré par précaution leurs moussakas, hachis Parmentier et steak hachés dans la quazi totalité de leurs magasins.
30 millions d’amis a d’ores et déjà fait part de son indignation quant à cette sordide affaire alimentaire qui s’abat à nouveau sur l’hexagone.



Bon, nous allons parler comme tout le monde de l'Irak.
D'abord, qui est le mouvement djihadhiste qui a conquis le nord de l'Irak dont Mossoul, la deuxième ville la plus importante et se dirige désormais sur Bagdad.

(source : Al watan)

Qui est l’état islamique en Irak et au Levant ?

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le 12.06.14 | 10h00 Réagissez

L’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), qui a pris le contrôle de la province de Mossoul et de secteurs d’autres provinces irakiennes mardi, est un groupe djihadiste radical, également très présent en Syrie, qui est parvenu à recruter des milliers de combattants.

Il s’agit d’une émanation de l’Etat islamique en Irak (ISI), branche irakienne d’Al Qaîda dirigée par Abou Bakr Al Baghdadi. En avril 2013, Baghdadi annonce que l’ISI et le Front Al Nosra, groupe djihadiste présent en Syrie, fusionnent pour devenir l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL). Mais Al Nosra refuse d’adhérer à cette nouvelle entité et les deux groupes commencent à opérer de façon séparée, avant qu’une guerre généralisée ne les oppose à partir de janvier 2014.
L’EIIL a ouvertement contesté l’autorité du chef d’Al Qaîda, Ayman Al Zawahiri, et rejeté sa demande de se concentrer sur l’Irak et de laisser la Syrie à Al Nosra. Mais si l’EIIL n’a jamais fait allégeance au chef d’Al Qaîda, le groupe revendique toutefois la même idéologie djihadiste, et veut installer un Etat islamique dans une région située entre la Syrie et l’Irak.   
Un effectif de 7000 hommes
Charles Lister, chercheur au Brookings Doha Center, estime que l’EIIL compte de 5000 à 6000 combattants en Irak et de 6000 à 7000 combattants en Syrie. Ces chiffres n’ont pu être cependant corroborés par d’autres sources.
En Syrie, la plupart des combattants sur le terrain sont des Syriens, mais ses commandants viennent souvent de l’étranger, et ont fait leurs armes en Irak, Tchétchénie, Afghanistan et sur d’autres fronts. En Irak, la plupart de ses combattants sont irakiens.
Selon l’islamologue Romain Caillet, de l’Institut français du Proche-Orient, nombre de ses chefs militaires sont des Irakiens ou des Libyens, tandis que ses meneurs religieux sont plutôt des Saoudiens ou Tunisiens. Il compterait même dans ses rangs d’anciens membres des services secrets irakiens sous Saddam Hussein.L’EIIL compte aussi des centaines de combattants francophones, dont des Français, des Belges et des Maghrébins.  
Présence sur le terrain
L’EIIL a pris en janvier, avec d’autres groupes insurgés, le contrôle de Fallouja et de secteurs de Ramadi, à l’ouest de Baghdad. Depuis la semaine passée, il a lancé de nombreuses attaques en Irak et est parvenu mardi à prendre avec d’autres djihadistes le contrôle de la province de Ninive, dont fait partie Mossoul (2e ville d’Irak) et de secteurs des provinces de Kirkouk et de Salaheddine. En Syrie, il est considéré comme la force combattante la plus efficace contre le régime du président Bachar Al Assad.
Mais après avoir été initialement bien accueilli par certains rebelles syriens, sa volonté d’hégémonie et les atrocités qui lui sont attribuées, notamment l’enlèvement et l’exécution de civils et de rebelles de mouvements rivaux, ont poussé l’ensemble des coalitions rebelles à retourner leurs armes contre lui. Autre fait à signaler : l’EIIL ne semble pas bénéficier du soutien ouvert d’un Etat, et selon des analystes, le groupe reçoit la majorité de son soutien de la part de donateurs individuels, la plupart dans le Golfe. En Irak, le groupe dépend en outre de personnalités tribales locales."

De son côté, l'importance des forces militaires irakiennes serait :

(source : wikipédia)


Avec son effectif de 260 000 militaires au 1er janvier 2009, elle est une des composantes des forces de sécurité de ce pays qui comprend en outre la police nationale, les polices locales et des milices d'autodéfense (80 000 personnes dans ces dernières en février 20081, 92 000 en début avril 2008) et elle soutient actuellement les forces de la Coalition militaire en Irak. Début 2012, les forces de sécurité emploient 900 000 personnes, dont 271 400 militaires et 650 000 dépendant du ministère de l'Intérieur, et leur budget global s'élève en 2012 à 14,6 milliards de dollars, soit 15 % des dépenses de l’État.

Normalement, les carottes sont cuites parce que l'EIIL ne dispose qu'un peu plus de 6000 combattants officiellement.
Mais, n'oublions pas que ce mouvement occupe depuis janvier Fallouja, ville proche de Bagdad et que l'armée irakienne en a été incapable de l'en déloger.
La situation :

(source : idem)

Plusieurs villes du nord de l’Irak sont passées sous son contrôle

Le Daash dicte sa loi à Nouri Al Maliki

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le 12.06.14 | 10h00 Réagissez
 
 Le Premier ministre Nouri Al Maliki ne c’est plus à quel saint ce vouer.
| © D. R.
Le Premier ministre Nouri Al Maliki ne c’est plus à quel...

Pour donner un aperçu de leur force de frappe, les djihadistes de l’EIIL ont pris en otages 48 citoyens turcs au consulat de Turquie à Mossoul, parmi lesquels le consul et des membres des forces spéciales.

Les éléments de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daash) sont en passe de réussir en Irak ce qu’ils n’ont pas pu réaliser en Syrie : créer un émirat islamique sunnite dans la zone frontalière entre la Syrie et l’Irak. Et chaque jour qui passe semble les rapprocher de cet objectif. La preuve, mardi, les insurgés ont pris d’assaut et se sont s’emparé de l’ensemble de la province de Ninive, dont dépend la deuxième ville du pays, Mossoul, où les forces de sécurité ont fui en abandonnant uniformes et véhicules.
Durant sa progression, l’EIIL a pris le contrôle de parties de deux autres provinces voisines, Salaheddine et Kirkouk, où 15 membres des forces irakiennes ont été exécutés hier. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), les combats opposant forces de sécurité et insurgés dans la ville de Mossoul et sa région dans le nord de l’Irak ont fait fuir plus de 500 000 civils.  
Des spécialistes de l’Irak soutiennent que la perte de Ninive par Baghdad a, dans tous les cas, créé un immense corridor rebelle entre Anbar, Mossoul et la frontière syrienne qui va, à terme, faciliter l’acheminement d’armes, de financements et de combattants sur les différents fronts. Il faut savoir que la province d’Anbar, au sud de Ninive et frontalière de la Syrie, est déjà un territoire partiellement contrôlé par des combattants anti-gouvernementaux. La tâche leur a été rendue facile par la rébellion syrienne qui s’était emparée d’importantes zones dans l’Est syrien. Dans cette partie de l’Irak, l’Etat est quasiment absent.
Les sunnites marginalisés
Tous ces éléments imbriqués dans les uns les autres permettent de dire que la crise irakienne perdurera dans le temps. Aujourd’hui, l’existence même de l’Irak en tant qu’Etat ne tient qu’à un fil d’autant que le dispositif sécuritaire mis en place par Nouri Al Maliki pour combattre Al Qaîda s’avère inefficace. Sans le parapluie américain, l’Irak risque tout simplement de se désintégrer. Il faut dire aussi que Nouri Al Maliki est en train de payer cash sa politique de marginalisation des sunnites. C’est cette politique qui alimente le terrorisme et le conflit religieux qui oppose les sunnites aux chiites. Pas loin qu’hier, les insurgés se sont encore emparés de la ville de Tikrit, chef-lieu de la province de Salaheddine, située à mi-chemin entre Baghdad et la deuxième ville du pays, Mossoul, tombée mardi aux mains de l’insurrection. Dans un communiqué posté sur Twitter, l’EIIL a prévenu qu’il «n’arrêterait pas cette série d’invasions bénies».
Pour donner un aperçu de leur force de frappe, les djihadistes de l’EIIL ont pris en otages 48 citoyens turcs au consulat de Turquie à Mossoul, parmi lesquels le consul et des membres des forces spéciales. Jusque-là, les Turcs qui soutiennent la rébellion en Syrie avaient été épargnés par les insurgés. «Quarante-huit Turcs, dont le consul, des membres de son équipe, des soldats des forces spéciales et trois enfants ont été enlevés», a déclaré à la presse un responsable turc.
Au moins 28 chauffeurs de poids lourds turcs sont également aux mains des combattants d’EIIL depuis mardi. Une réunion d’urgence était d’ailleurs en cours hier après-midi autour du Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, à laquelle participait le vice-Premier ministre, Besir Atalay, et le patron des services de renseignement (MIT) Hakan Fidan, a ajouté la même source. Que reproche l’EIIL à Istanbul qui l’a pourtant beaucoup aidé ? Mystère !
Le Moyen-Orient en état d’alerte
Face à la crainte de voir toute la région tomber entre les mains de l’EIIL, la Syrie s’est dite prête à coopérer avec l’Irak pour lutter contre les groupes armés activant dans les deux pays. «Le terrorisme soutenu par l’étranger auquel fait face l’Irak frère est le même qui sévit en Syrie», a indiqué un communiqué du ministère syrien des Affaires étrangères. Le gouvernement syrien est «prêt à coopérer avec l’Irak pour faire face au terrorisme, cet ennemi commun», poursuit le texte. «Ce terrorisme menace la paix et la sécurité dans la région et le monde»,  a indiqué le ministère syrien, appelant le Conseil de sécurité de l’ONU «à prendre  des décisions claires condamnant ces actes terroristes et criminels et à agir  contre les pays soutenant ces groupes».
En attendant de voir cette coopération irako-syrienne se concrétiser sur le terrain, le dirigeant chiite Moqtada Sadr a appelé hier à la formation de brigades pour défendre les sites religieux en Irak. «Je ne peux pas rester silencieux et les mains croisées face au danger qui guette les lieux saints. Donc je suis prêt à travailler en coordination avec le gouvernement afin de former des brigades de la paix», a dit ce dirigeant dans un communiqué. Sa proposition intervient au lendemain même de l’annonce par le gouvernement de Nouri Al Maliki qu’il allait fournir des armes à tous les citoyens qui se porteraient volontaires pour combattre les insurgés. «J’annonce que mes partisans et moi sommes prêts à aider à former ces brigades afin de défendre nos lieux sacrés face aux offensives des forces obscurantistes», a dit Moqtada Sadr.
Face à la faillite de la politique sécuritaire mise en place par Al Maliki, l’idée d’armer la population peut être utile. Seulement, dans le cas irakien, elle peut s’avérer être une arme à double tranchant. Il existe un clivage tellement profond entre les sunnites, les kurdes et les chiites qu’une telle initiative peut en effet servir de carburant à la guerre civile et contribuer à accélérer l’éclatement de l’Irak. En clair, la solution risque d’être pire que le problème.
Zine Cherfaoui
Il semblerait que les désertions se soient multipliées dans l'armée irakienne et que nous nous dirigeons vers la grande confrontation Chiites-Kurdes contre les Sunnites.
Pourquoi, les kurdes soutiendront le gouvernement de Bagdad ?
Parce que les maîtres djihadistes seront aussi impitoyables que ne fut Saddam Hussein à leur égard.
Quant-à la Turquie, elle ferait bien de se rappeler que pour ces mouvements l'APK (islamiste) qui gouverne le pays n'est qu'un ramassis de mécréants à éradiquer.
La bataille pour Bagdad a commencé !

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