lundi 3 mars 2014

Salut aux militaires américains qui vont mourir en Ukraine pour sauver les intérêts de Rockefeller !

Enfin, mes chers cinq lecteurs, vous n'avez quand même pas cru que l'Europe et les Etats-Unis s'intéressait à l'Ukraine par simple humanité.
Car, en Ukraine, il n'y a pas que les terres agricoles à piquer, il y a autre chose.

(source : Rianovosti)

Économie

Hydrocarbures de la mer Noire: Kiev signera avec l'américain ExxonMobil

Hydrocarbures de la mer Noire: Kiev signera avec l'américain ExxonMobil
18:31 15/08/2012
KIEV, 15 août - RIA Novosti
L'Ukraine signera un contrat avec un consortium dirigé par l'américain ExxonMobil sur l'exploitation du champ pétrolier et gazier Skifska, en mer Noire, a annoncé le ministre ukrainien de l'Ecologie et des Ressources naturelles Edouard Stavitski.
"Le cabinet des ministres a appuyé la proposition de la commission interdépartementale concernant la signature d'un contrat de partage de production avec le groupe de sociétés dirigé par ExxonMobil, opérateur du projet", a indiqué le ministre.
Le groupe comprend également la société anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell, le groupe roumain OMV et la Société nationale Nadra Ukrainy (Sous-sols d'Ukraine).
La société LUKOIL Overseas Ukraine B.V. a rivalisé avec le consortium dirigé par ExxonMobil lors de cet appel d'offres.
Selon le gouvernement russe, le coût du projet s'élève à 10-12 milliards de dollars. Le champ Skifska, d'une superficie de 16.700 km², produira près de 3 ou 4 milliards de m³ de gaz par an.
L'Ukraine intensifie sa production nationale d'hydrocarbures tout en poursuivant ses négociations avec Moscou sur une révision du prix du gaz russe. L'Ukraine place surtout ses espoirs dans l'exploitation des champs du plateau continental de la mer Noire et dans la production de gaz de schiste. En mai dernier, l'Ukraine a organisé des appels d'offres pour l'exploitation des gisements de gaz de schiste de Yuzovska et d'Olesska, qui contiendraient près de 3.000 milliards de m³ de gaz cumulés. Ces concours ont été remportés respectivement par Shell et Chevron."

Et, oui, mes chers lecteurs, Exxon, Rockefeller, ça vous dit quelque chose ?
Pas étonnant que le gouvernement américain soit furieux et menaçant.
Fallait-il envoyer les GI en Ukraine pour préserver les intérêts de Rockefeller ?
En tout cas, le gisement d'Olesska est le prolongement de celui de Pologne d'où justement Exxon s'est retiré, tout simplement parce que gaz de schiste y était inexploitable.
Mais, que le gouvernement ukrainien autorise l'exploitation du gaz de schiste dans une zone très peuplé de l'ouest du pays comme Olesska n'est pas très sympathique pour sa population.
En attendant, le grand cirque continue et ce n'est pas pour aider les ukrainiens.

(source : wikistrike)

LUNDI 3 MARS 2014
L'OTAN débarque des centaines de soldats à l'ouest de l'Ukraine



Fleet 5 nations



Des troupes de l'OTAN ont atterri dans la région de Lviv, en Ukraine occidentale. Il y aurait des centaines de soldats de l'OTAN dans l'ouest de l'Ukraine. 
La Sixième flotte américaine, l’une des plus grand flotte du monde (1), se déplace vers la Crimée, et des troupes de l'OTAN ont débarqué en Ukraine occidentale
Ces informations proviennent directement du  député du peuple de l'Ukraine Oleg Tsarev. Selon lui,  un débarquement de soldats de l'OTAN se déroule à Lviv. " Il faut préciser qu’en Mars a lieu un exercice programmé d’alliance Ukraine-Atlantique.
D’autre part, des soldats ukrainiens se déplacent aujourd’hui dans des navires de guerre américains. 
Cette situation est critique. Pendant que l’on nous fait croire à des dialogues, à de la diplomatie, deux fronts se rapprochent. 
Depuis plusieurs, notons la présence de chars polonais s'en promenant le long de sa frontière avec l'Ukraine. La Turquie est également présente en Crimée (OTAN) (agents de renseignements, force spéciale).
L'Occident s'affole et leurs dirigeants perdent leur sang-froid. Ce soir, Barack Obama dénonce une violation par Moscou du droit international, jugeant que la Russie est du « mauvais côté de l'hsitoire » en Ukraine.
Une nouvelle réunion de l'OTAN est prévue ce mardi. Avec les révélations D'Oleg, on comprend mieux pourquoi. 

Pour l'histoire, cela fait plusieurs années que UE et USA attaquent indirectement la Russie
-les pays ruinés d'Europe, la Grèce, orthodoxe, l'Italie, Berlusconi et grand ami de Poutine, l'Espagne, fervent soutien de la Russie, oui oui, l'Occident tente depuis plusieurs années de défier Moscou en renversant les gouvernements qui lui sont proches pour y racheter leurs banques et entraîner leurs populations dans la ligne américaine.
-Autre pays a avoir "bénéficié" de ce sort, la Libye, Khadafi ayant été un fervent soutien de la Russie.
-Puis UE et USA ont tenté de renverser la Syrie, pro-russe également. Sans y parvenir évidemment, puisque la Russie y possède une base navale. 
Nous sommes arrivés au terme, sans plus d'argent, sans plus de pays pro-russe à chahuter, nous sommes arrivés à la confrontation finale. Et quand y'a plus le sou... y'a la guerre... Pour les matières premières.
Il est préférable que Merkel et Obama reviennent vite sur Terre, qu'ils cessent d'allumer la mèche à chaque intervention, car la Russie, c'est 17 000 têtes nucléaires. N'est-ce pas Angela, vous qui dîtes: "Poutine avait perdu tout contact avec la réalité."

Marc Bildermann pour WikiStrike

Bon, à part cela, la Russie nous prépare d'autres surprises et celles là peuvent nous affecter directement.


(source : Idem)

MARDI 4 MARS 2014
Le réveil d'un virus géant pris dans les glaces depuis 30 000 ans inquiète les scientifiques

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Le réchauffement et les forages profonds favorisent le retour à la vie de pathogènes contre lesquels l'homme n'est plus immunisé. Un virus de plus de 30.000 ans vient d'être retrouvédans les sols gelés de l'extrême Nord-Est sibérien.
 «On se rend compte des dangers qu'il y a à perturber le climat », souligne le Pr Jean-Michel Claverie, directeur du laboratoire information génomique et structurale (CNRS/université d'Aix-Marseille).
Dans la dernière publication des PNAS (comptes rendus de l'Académie des sciences des États-Unis), l'équipe du chercheur révèle, avec ses confrères de l'Inserm et du CEA et la collaboration des Russes, l'existence d'un nouveau virus géant baptisé Pithovirus sibericum. Son diamètre (0,5 micromètre) et sa longueur (1,5 micromètre) en font «le plus gros virus jamais découvert », précisent les scientifiques. Il porte aussi à trois le nombre de familles distinctes de virus géants.
Mais tout aussi important est son âge : pris dans les sols gelés de l'extrême Nord-Est sibérien, ce virus a plus de 30.000 ans. Cela correspond au pléistocène supérieur, soit l'époque de l'extinction de l'homme de Neandertal. Si Pithovirus sibericum infecte les amibes, il est inoffensif pour l'homme et les animaux, rappellent les chercheurs. «Mais le seul fait que l'on puisse ramener à la vie un virus de 30.000 ans signifie que des pathogènes pour l'homme peuvent de la même manière refaire surface », précise Chantal Abergel, directrice de recherche au CNRS et coauteur de la publication scientifique.
«Le danger est réel », insiste Jean-Michel Claverie. La fonte des glaces en Arctique et celle du permafrost (la couche du sol terrestre qui reste gelée en permanence) vont rendre accessibles des zones qui ne l'étaient pas auparavant.
« En creusant pour trouver du pétrole ou du gaz, des hommes pourront bien involontairement entrer en contact avec des microbes.»
Les chercheurs
Le danger ne vient pas de la seule couche superficielle du sol. L'Arctique est considéré comme un nouvel eldorado minier. «En creusant pour trouver du pétrole ou du gaz, des hommes pourront bien involontairement entrer en contact avec des microbes. Même s'ils ne sont que quelques-uns dans une zone désertique, ils pourront être contaminés et surtout devenir des vecteurs », insistent les chercheurs. D'autant que ces zones du Grand Nord ont été habitées il y a quelques milliers d'années. Dès lors que des pathogènes peuvent à nouveau être largués lors de ces prospections industrielles, le risque de contamination devient important, sachant que les défenses immunitaires n'existent pas ou ont disparu depuis longtemps.
Dans le permafrost comme dans les sédiments profonds, «le milieu est anoxique (dénué d'oxygène) il n'y a pas de lumière, le pH est neutre, soit des conditions idéales de conservation de bactéries ou de virus », ajoutent les chercheurs. Pithovirus sibericum a ainsi été trouvé dans un échantillon de terre prélevé à 30 mètres de profondeur.
Il est déjà connu que le dégel de la couche active du permafrost peut grandement affecter les animaux. Dans le Grand Nord où paissent d'immenses troupeaux de rennes domestiques, les études ont montré que les étés particulièrement chauds provoquaient un dégel au-delà de la couche habituelle, dégageant alors la bactérie Bacillus anthracis, responsable de la maladie du charbon, qui infecte ainsi régulièrement les troupeaux.

Un nouveau parasite protozoaire a aussi récemment émergé

Un nouveau parasite protozoaire auparavant séquestré sous la glace a aussi récemment émergé, provoquant une mortalité étendue chez des phoques gris et d'autres mammifères menacés de l'Arctique. Un épisode rapporté par des chercheurs courant février à Chicago dans le cadre du colloque annuel de l'AAAS (Société américaine pour l'avancement des sciences). Ils précisaient que le parasite a affecté des otaries, des morses, des ours polaires ou encore des grizzlis jusque dans le sud de la Colombie-Britannique (Canada.)
On a vu par le passé les désastres que pouvaient causer chez des hommes des pathogènes qui n'existaient pas dans leur environnement. Ce fut le cas avec les Indiens décimés par la rougeole et la syphilis contractées auprès d'Européens. Plus récemment, on connaît le désastre provoqué par le virus du sida lorsqu'il est passé du singe à l'homme. «Si l'homme de Neandertal a été touché par une infection, des forages pourraient faire ressurgir cette maladie », met en garde Chantal Abergel. Les scientifiques ont également en tête le virus de la variole, dont le processus de réplication est similaire à celui des Pithovirus. «On pense avoir éradiqué la variole, mais ce n'est le cas qu'à la surface de la Terre », poursuit la scientifique."
Et, pour finir, ce que nous réserve l'accord de libre échange Europe-Etats-Unis.

(source : Reporterre)

En Colombie, guerre contre les semences au nom du libre-échange

PIERRE JOHNSON
samedi 19 octobre 2013
En Colombie, on détruit des milliers de tonnes d’aliments et de semences paysannes en conséquence du traité de libre échange avec les Etats-Unis.

Le 24 août 2011, la tranquillité de la petite ville de Campoalegre, au Sud de la Colombie, est brusquement interrompue par l’irruption de forces de la police militaire accompagnant cinq fonctionnaires de l’Institut Colombie d’Agriculture et d’Elevage (ICA). Ceux-ci confisquent et détruisent les sacs de riz produits par une vingtaine de paysans locaux. Des sacs contenant soixante-dix tonnes de riz destiné à l’alimentation humaine sont ainsi déchirés à la pelleteuse, puis jetés à la décharge publique.
En 2011, 1167 tonnes de semences, puis en 2012, 2793 tonnes, principalement de riz, mais aussi de pomme de terre, de maïs, de blé, de plantes fourragères et de haricot rouge sont ainsi retirés de la circulation dans cinq départements, près de la moitié étant détruite, l’autre confisquée.
La motivation de ces actions d’un organisme d’Etat dont la mission est de« contribuer au développement et aux exportations du secteur agricole colombien en s’assurant de la santé et de l’innocuité de la production primaire » (sic) ? Montrer que la Colombie respecte les clauses relatives aux droits de propriété intellectuelle appliqués aux semences, prévues par le Traité de libre échange avec les Etats-Unis, ratifié par la Colombie dès 2008 et par le Congrès de Washington en 2011. Appliqués aux semences, ces droits sont consignés dans la convention UPOV de 1991, approuvé en Colombie par la loi 1518 de 2012.
Une loi colombienne de 2006 prévoyait déjà des peines de quatre à huit ans de prison et des amendes allant de 26 à 1 500 salaires mensuels à l’encontre de ceux qui ne respecteraient pas les droits de propriété intellectuelle sur les semences. En 2010, la résolution 9.70 de l’ICA a renforcé ces obligations, en régulant la production, l’usage et la commercialisation de semences en Colombie.
Désormais la vente de semences, dont d’aliments, issus de la sélection paysanne est déclarée illégale, au motif que leurs qualités sanitaires ne seraient pas garanties. La qualité et la valeur ajoutée des semences certifiées justifient-elles ces dispositions sévères ?
Pour les paysans colombiens, le prix des semences certifiées est de deux à trois fois le prix des semences paysannes sur les marchés locaux. Suivant leur expérience, les premières ne présentent pas d’avantage significatif sur les secondes, même lorsque l’agriculteur achète l’ensemble du « paquet technologique » (fertilisants, pesticides) et suit les conseils prévus par les industries semencières.
Bien souvent, semences certifiées et semences paysannes se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Leur principale différence ? Les premières ont été enregistrées par de grandes entreprises semencières, après avoir été sélectionnées sur la base de leurs propriétés. Mais le stock initial de ces entreprises provient nécessairement de la sélection de semences effectuée par des générations de paysans. Le régime de propriété intellectuelle sur les semences semble donc marcher sur la tête.
Trois entreprises semencières dominent le marché mondial
Le documentaire « 9.70 » de Victoria Solano, dont sont tirées plusieurs informations présentées ici, révèle qu’aucune information préalable n’avait été fournie à la population avant l’intervention musclée de l’ICA, ni par consultation locale, ni par l’organisation de forums, ni même en informant les moyens de communication.
Cette situation témoigne de l’éloignement de certains hauts fonctionnaires des réalités que vivent les 60 % de la population colombienne impliqués dans l’agriculture, soit 3,5 millions de familles. Il semble plus important pour l’État colombien d’assurer le respect de résolutions en porte-à-faux avec les réalités sociales que d’assurer les bases du développement rural.
La situation de la Colombie est loin d’être unique. Elle est le reflet du marchandage des intérêts économiques pratiqué au niveau mondial dans le cadre des accords commerciaux bilatéraux ou multilatéraux (OMC). Les aspects du droit de propriété intellectuelle liés au commerce (ADPIC) sont toujours partie intégrante de ces accords de libre échange. Ils supposent le respect du droit des brevets et du système mis au point pour tenir compte de certaines spécificités du monde agricole, le certificat d’obtention végétale (COV).
À la différence du brevet, celui-ci concède à l’agriculteur certains droits, mais pas celui d’échanger librement les semences, puisque les droits de propriété intellectuelle appartiennent aux industries semencières.
Grâce à cette protection, trois entreprises semencières multinationales contrôlent déjà au niveau mondial 47 % du marché des semences certifiées (Monsanto, Dupont de Nemours et Syngenta), sept autres en contrôlent 30 %. En Colombie, les entreprises multinationales ne contrôlent directement « que »15 % de la production de semences, mais parmi les entreprises colombiennes contrôlant le reste de la production, bon nombre sont franchisées des multinationales.
Un bilan catastrophique au Mexique
L’accord de libre-échange entre la Colombie et les Etats-Unis d’Amérique connaît un précédent dont on peut examiner les conséquences sur deux décennies : celui de l’accord de libre-échange nord-américain entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique, entré en vigueur le 1er janvier 1994. Malgré les promesses faites de part et d’autre du Rio Grande, les conséquences sur l’emploi et le développement rural ont été, selon toutes les études réalisées, catastrophiques dans l’ensemble des pays, l’accord ne bénéficiant qu’à des grandes entreprises.
En matière agricole, le Mexique avait obtenu un délai pour libéraliser le commerce des produits de base, dont le maïs, mais son gouvernement s’était empressé d’anticiper cette libéralisation, tout comme le gouvernement colombien a anticipé la mise en œuvre du TLC.
Les conséquences sur les prix aux producteurs et sur la réduction des variétés proposées aux consommateurs ont été dramatiques. Des plants de maïs transgéniques ont rapidement été détectés dans l’Etat d’Oaxaca, cœur de l’agrobiodiversité de cette céréale à la base de l’alimentation de toute l’Amérique centrale depuis plusieurs millénaires. Plus que jamais, le monde agricole mexicain est en crise, sans que les autres secteurs économiques aient significativement gagné à cette ouverture commerciale incontrôlée.
Les droits de propriété intellectuelle sur les semences sont le principal outil de la concentration économique du secteur, aboutissant à la réduction de la diversité des espèces cultivées. Sur 80 000 plantes comestibles répertoriées, seulement trente fournissent aujourd’hui 90 % des calories, appauvrissant d’autant notre alimentation.
Comme l’explique Vandana Shiva, militante et scientifique indienne, dans le rapport Seedfreedom et lors de la quinzaine des semences libres 2012, les principes mêmes du COV reposent sur des critères industriels peu compatibles avec les qualités du vivant : distinction, homogénéité et stabilité s’opposent notamment aux qualités de variabilité, adaptabilité et résilience propres au monde vivant.
Au moment où des négociations visant à mettre un terme au conflit armé qui ravage certaines régions de Colombie depuis un demi-siècle connaissent des avancées significatives, des dizaines de milliers de paysans colombiens manifestent à Bogota pour ce qui leur semble une déclaration de guerre contre l’agriculture paysanne et la souveraineté alimentaire. La préservation de celles-ci est un enjeu de premier plan, non seulement pour l’avenir de la Colombie, mais pour celle de l’Humanité.

Source : Courriel à Reporterre.
Pierre Johnson est ingénieur du développement durable, expert des liens entre commerce et biodiversité. Contact : contact (arobase) pierrejohnson.eu
Photo : Pressenza

Bien le bonjour chez vous.
René.

PS ; Au dernière nouvelle le ministre de l'intérieur manipule les déclarations des listes aux élections municipales pour minoriser ou faire disparaître de l'écran les listes Front de Gauche avec Jean-Luc Mélenchon.
Ayrault, premier ministre réprime pour imposer la construction de l'aéroport de Notre Dame des Landes,
Montebourg, ministre du redressement productif annonce son intérêt "extrême" pour le gaz de schiste,
Valls, ministre de l'intérieur, manipules les listes électorales des élections municipales,
Holllande, président a renié toutes ses promesses, sauf, celles qui ne lui coûte rien et dont la plupart des français se foutent.
Ca, c'est le gouvernement de la France.

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