samedi 13 avril 2013

Salut aux citoyens américains qui juge que leur "américan ways of life"s est en train de partir en "couille !"

Tiens, donc, des militaires américains s'inquiètent du fait que le gouvernement américain, plutôt des officines, des multinationales et des financiers avec la futur compréhension des médias, se prépare à la guerre civile.
Eh, oui, mes chers lecteurs, lorsque je vous informais des entrainement de la garde civile avec les mercenaires de Mosanto, Blackwater, ce n'était pas pour vous en mettre plein les yeux.
Désormais, même les militaires américains s'en inquiètent.
Et, ce n'est pas être complotiste que d'affirmer qu'il y a un plan de domination en cours de la part des grandes multinationales et des banques américaines sur la société américaine et par extension sur le monde dit "LIBRE".
Et, ce malgré ce que les médias peuvent dire, ce n'est pas non plus de la paranoïa.
Car, dites-vous bien que le gouvernement américain a mis en place des camps qui pourraient accueillir plus de 100.000 personnes.

(source : WikiStrike)

MERCREDI 27 MARS 2013
Un militaire avertit que le gouvernement américain prépare une guerre contre sa population


army-captain-dhs-weapons.jpgCe qui suit est une lettre du capitaine Terry M. Hestilow l' (à la retraite) adressée au sénateur du Texas John Cornyn qui concerne la course aux armements du ministère de la Sécurité intérieure (DHS) et spécifiant qu'il n'a pas le pouvoir de faire la guerre aux Américains ou à n'importe qui d'autre. Hestilow, qui a publié la lettre sur Facebook, affirme que le DHS doit remettre immédiatement ses armes au ministère de la Défense.



Voici La lettre :

"Re: Departement of Homeland Security (DHS) et la préparation à la guerre contre les agences des citoyens des États-Unis d'Amérique.

Monsieur le sénateur Cornyn,

C'est avec une profonde inquiétude que je vous écris aujourd'hui concernant la récente acquisition d'armes par le "Department of Homeland Security " (DHS) qui ne peut être comprise que comme une grave menace de  guerre par cet organisme et l'administration Obama envers les citoyens des États-Unis d'Amérique.

À ce jour, le DHS a refusé de fournir à vous, les représentants élus du peuple, une justification pour les achats récents de près de 3.000  véhicules blindés antimines (MRAP), 1,6 milliard de munitions (et les armes qui vont avec ), et d'autres systèmes d'armement, alors qu'en fait, le DHS n'a ni la vocation ni l'autorité pour faire la guerre à l'intérieur des États-Unis d'Amérique.

Dans le même temps, il est signifiant que l'administration Obama est en train d'armer le DHS pour une guerre dans les limites des frontières et contre le peuple des États-Unis conformément à son discours de campagne de 2008 :
"Nous ne pouvons pas continuer à compter uniquement sur nos forces armées en vue d'atteindre les objectifs de sécurité nationale que nous nous sommes fixés. On doit (sic) avoir une force de sécurité civile nationale toute aussi puissante, toute aussi forte et aussi bien financée que l'armée des États-Unis "
 Le candidat Barack Obama en 2008.


L'administration Obama est délibérément en train de sous-financer et de disperser le département de la Défense, le seul organisme légitime du gouvernement américain ayant mission de mener la guerre.

Cette action de l'administration Obama se dresse comme une menace flagrante de guerre envers les citoyens de notre pays ! Elle ne peut être comprise que comme une menace tyrannique contre la Constitution des États-Unis d'Amérique ! Dans l'état actuel des choses, les citoyens épris de paix qui ont juré de défendre la Constitution américaine "contre tous les ennemis, tant étrangers que nationaux" n'auront aucune autre option que de se préparer à défendre la Constitution américaine contre le coup d'état de cette Administration contre la population et les fondements de la liberté pour lesquels ils se sont battus depuis 238 ans. Nous n'aurons pas d'autre choix si nous décidons d'honorer nos serments.

La seule réponse appropriée à cette menace contre le peuple américain est que les représentants du peuple, les membres de la Chambre et du Sénat, exigent en termes clairs que l'administration ne peut pas ignorer, que le DHS restitue immédiatement ses nouvelles acquisitions d'armes de guerre au Département de la Defense (DoD).

En outre, depuis que dans cette administration le DHS a pris le parti  de faire respecter les lois tyranniques de ce président contre le peuple des États-Unis et contre les limites de la Constitution des États-Unis,  le Congrès des États-Unis doit exercer son pouvoir de limitation dans le cadre de l'équilibre des pouvoirs établis par nos pères fondateurs et dissoudre le DHS dès que possible.

Il suffit d'observer l'ascension d'Adolf Hitler et de ses organismes associés, les SA et les SS, de 1932-1934, pour voir le résultat quand on permet à un organisme gouvernemental ce genre de contrôle sur les citoyens libres d'une nation . Le peuple allemand n'aurait pas pu imaginer, jusqu'à ce qu'il soit trop tard, le danger de laisser à un tyran ce genre de pouvoir. Nous ne devons pas être naïfs au point de penser que cela n'arrivera pas aussi pour nous si nous restons passifs envers cette prise de pouvoir par l'administration marxiste d'Obama !

Enfin, depuis plus de deux siècles, la nation a vécu en paix chez elle à cause de la  protection de notre armée légitime et des divers et nombreux organismes fédéraux chargés de l'application des lois et soutenus par les Cours constitutionnelles. Nous sommes aujourd'hui à la croisée des chemins. Allons-nous laisser cette administration actuelle renverser notre Constitution américaine et ses procédures juridiques visant à réparer les injustices, ou allons-nous honorer nos obligations de défendre la Constitution contre un ennemi domestique ?

Notre Constitution énonce les méthodes appropriées de règlement de nos divergences, et elles ne comprennent  pas son renversement par une agence renégate à la solde d'une direction marxiste. Vous monsieur, êtes notre agent constitutionnellement élu pour défendre notre Constitution. Nous comptons sur vous. Nous restons toutefois conscients de la menace présente et nous ne nous exposerons pas comme une proie facile pour les auteurs de la destruction de notre nation.

Je sais que cette lettre exige beaucoup de vous. Nous vous avons élu parce que nous, les citoyens de l'état du Texas, croyons que vous êtes capable d'accomplir cette tache et que, malgré toutes les menaces, vous ferez honneur à votre serment et à votre mission.
Nous avons également écrit à vos collègues de la Chambre et du Sénat pour leur demander de défendre l'intégrité de la Constitution contre cette menace actuelle de l'administration Obama et du DHS.

Nous refusons de renoncer à notre Constitution et à notre nation!
Le capitaine Terry M. Hestilow
United States Army, retraité
Fort Worth, Texas
23 mars 2013
Traduction: Rorschach

Mais, pourquoi ce brave capitaine à la retraite monte-il au créneau. Existe-t-il des faits qui pourraient aller dans son sens ?

(source :dedefensa.org)


L’U.S. Army prête à “rééduquer” le dissident US en citoyen-Système


05/05/2012 - Bloc-Notes

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L’U.S. Army prête à “rééduquer” le dissident US en citoyen-Système

Le site Infowars.com a publié depuis trois jours plusieurs textes concernant un manuel de l’U.S. Army dont il vient d’obtenir une copie. Il s’agit d’un très copieux document de 300 pages, intitulé FM 3-39.40 Internment and Resettlement Operations datant du 12 février 2010 et dont il donne le lien d’accès.
Plusieurs textes sur ce document ont été publiés par Infowars.com, le 3 mai 2012, le 4 mai 2012 (vers une émission de Alex Jones, éditeur du site) et enfin, celui que nous citons ci-dessous, le 4 mai 2012.
Il s’agit d’un manuel décrivant la façon dont doivent être organisés des camps d’internement de personnes arrêtées pour activités politiques suspectes, pour soi-disant terrorisme, opposition à la “légalité”, résistance, etc. Le fait important est que ce programme implique essentiellement une “rééducation” des prisonniers, notamment à l’image de ce qui se faisait dans les camps soviétiques, chinois, nord-coréens, nord-vietnamiens puis vietnamiens, etc., c’est-à-dire tout l’appareil de concentration et d’endoctrinement forcé du système pénitentiaire idéologique communiste. Pour les Américains, la référence la plus fameuse concerne les camps nord-coréens pendant la guerre de Corée, pour les Français ce sont les camps vietminh ; dans les deux cas, des militaires US et français furent soumis à ces procédures de rééducation et d’endoctrinement.
Voici un long extrait du texte du 4 mai 2012, qui insiste surtout sur l’aspect de la détention de citoyens US sur le territoire national, aspect qui avait fait l’objet de polémique chez les lecteurs du premier texte. (Les soulignés en gras sont dans le texte publié par Infowars.com.)
«A shocking U.S. Army manual that describes how political activists in prison camps will be indoctrinated by specially assigned psychological operations officers contains numerous clear references to the fact that the policies do apply domestically to U.S. citizens. Despite the fact that the manual is well over 300 pages long and would take hours to read properly, within minutes of posting our story yesterday a minority of commenters were claiming that the policies outlined in the document only pertained to foreign combat operations and did not apply domestically to U.S. citizens.
»This is similar to the denial witnessed prior to the passage of the NDAA when some argued that the indefinite detention provisions did not apply to American citizens despite numerous legal analysts asserting they did and President Barack Obama himself acknowledging they did when he signed the bill. […] The most alarming portion of the document appears on page 56 and makes it clear that detention camps will have PSYOP teams whose responsibility will be to use “indoctrination programs to reduce or remove antagonistic attitudes,” as well as targeting “political activists” with such indoctrination programs to provide “understanding and appreciation of U.S. policies and actions.”
»Let’s make one thing clear – the manual primarily deals with enemy combatants captured and detained in foreign prison camps run by the U.S. Military. However, another thing that is just as clear from reading the manual in full is the fact that it also applies to citizens detained within the United States, whether they be DCs (displaced citizens) or “civilian internees,” in other words citizens who are detained for, “security reasons, for protection, or because he or she committed an offense against the detaining power.”
»Firstly, throughout the manual there are scores of references to how the U.S. Army would work together with the DHS, ICE and FEMA (page 24) to implement the policies “within U.S. territory” as part of “civil support opérations” in the aftermath of “man-made disasters, accidents, terrorist attacks and incidents in the U.S. and its territories.” (page 38).
»“The handling of DCs (displaced citizens) is also a mission that may be performed in support of disaster relief or other emergencies within the United States or U.S. territories during civil support opérations,” states page 33. Page 56 also states that it is the responsibility of the PSYOP officer to “control detainee and DC populations during emergencies.” Resettlement conducted as a part of civil support opérations will always be conducted in support of another lead agency (Federal Emergency Management Agency, Department of Homeland Security)” states page 37.
»All these passages make it clear that the policies outlined on page 56 are also applicable within U.S. territory as part of “civil support operations” conducted in partnership with domestic federal agencies like the DHS and ICE. The U.S. Immigration authorities have no role in detaining prisoners in Afghanistan and Iraq and neither do other U.S. agencies also listed in the document such as the Public Health Service (page 224). The document also contains numerous references to U.S. citizens (notably pages 13, 41). Page 13 notes how “U.S. citizens will be confined separately from detainees,” meaning they will be separated from foreign prisoners in the camps
»On page 146 of the manual, we learn how prisoners in the camps are to be identified. “The prisoner’s last name, first name, and middle initial are placed on the first line of a name board, and the prisoner’s social security number is placed on the second line.” Last time I checked, the United States Social Security Administration was not responsible for handing out social security numbers to people in Afghanistan or Iraq.
»On page 193 of the document, we learn that the policies outlined in the manual can be applied domestically. The language makes it clear that so long as the President passes an executive order to nullify Posse Comitatus, the law that forbids the military from engaging in domestic law enforcement, the policies “may be performed as domestic civil support opérations.”
The manual states, “These operations may be performed as domestic civil support operations,” and adds that “The authority to approve resettlement such opérations within U.S. territories,” would require a “special exception” to The Posse Comitatus Act, which can be obtained via “the President invoking his executive authority.”
»These examples are just a handful of a plethora contained in the 326 page ‘Internment and Resettlement’ document which prove that the policies in the manual apply not only to foreign prisoners abroad, but also to American citizens within the United States.»
Comme nous l’avons dit, la publication de ce document a amené un nombre considérable de réactions de lecteurs du site, et des contestations, notamment sur l’antériorité du document et sur le fait de savoir si les mesures envisagées concernent des citoyens US ou seulement (!) des étrangers. Une première version du document été publiée en 2007 (ce qui a conduit certains lecteurs à vouloir exonérer l’administration Obama de toute responsabilité), mais sa republication et sa mise à jour datée du 12 février 2010 le fait incontestablement entrer dans l’époque de l’administration Obama. D’autre part, les détails donnés ci-dessus montrent bien que les citoyens US, sur le sol US, sont complètement concernés, comme le montre également la coopération de l’U.S. Army avec la FEMA. (La FEMA est cette organisation fédérale intérieure de gestion des “évènements d’urgence” à la destination assez mystérieuse ou dans tous les cas contestée, créée en 1979. Certains auteurs, dont Peter Dale Scott, dans La route vers le nouveau désordre mondial, estiment qu’elle pourrait avoir une fonction de répression et d’internement, que nous jugerions assez proche dans son esprit et dans ses buts de ce qu’était l’administration du GOULAG [acronyme administratif russe] des camps d’internement dans la structure soviétique.)
L’aspect le plus remarquable du document se trouve dans l’organisation systématique de l’endoctrinement et de la rééducation psychologique, méthodes absolument consubstantielle aux régimes totalitaires du XXème siècle, et faisant partie encore plus d’une sorte de contrainte de “rééducation permanente” forcée du citoyen que de la “guerre psychologique” elle-même. A cet égard, on verra ce document et l’esprit qu’il implique comme une production bureaucratique, à l’instar des grands régimes totalitaires du XXième siècle, issue directement d’une processus organique systémique, – pour nous et en notre temps, issue du Système en tant qu’achèvement de la mise en place d’une structure globale de contrainte et de transformation des psychologies. Nous précisons cela pour prendre nos distances de la querelle des responsabilités (administration Bush ou administration Obama) parce que nous estimons qu’il s’agit effectivement, non d’une production politique mais d’une production automatique du Système dans sa logique entropique et nihiliste. Il apparaît qu’il n’est absolument pas nécessaire d’instaurer un régime strictement et ouvertement policier ou fasciste, ou ce qu’on veut dans cette orientation, pour arriver aux méthodes totalitaires de cette sorte de régime dans ce domaine de la contrainte psychologique. A cet égard, les USA apparaissent complètement phagocytés par le Système, conduits par lui à tous égards, et cela est une confirmation et nullement une surprise. Cela impliquer que la situation aux USA peut, selon les évènements, basculer du jour au lendemain dans l’orientation qu’on décrit. (Mais aussi, parallèlement, un tel basculement pourrait déclencher ou alimenter une réaction populaire très violente, avec les moyens de s’exprimer à cause de la forme du régime dont les nécessités économiques imposent le maintien d’une structure libérale (notamment, pour les USA, accès aux armes, aux structures d’organisation civile, maintien d'une circulation de l'information). C’est un autre aspect de ce qu’on décrit, qui est, lui, complètement différent des régimes totalitaires et rend compte d’une situation différente à cet égard. Le paradoxe est donc qu’à côté de mesures policières et psychologiques de contrainte, les USA ne peuvent évoluer vers un centralisme autoritaire type fasciste ou soviétique parce que leur dépendance idéologique de leur système économique et de corruption rejette absolument l’étatisme et l’autoritarisme centralisé de l’État puisque la puissance privée domine tout ; le résultat, comme on le constate chaque jour, est plutôt un centralisme déstructuré et en cours de dissolution, entraînant une situation de désordre impuissant du pouvoir du point de vue politique.)
Bien entendu, la chronologie de la mise à disposition publique du document de l’U.S. Army est intéressante. Qu’elle ait lieu aujourd’hui, dans le climat incertain actuel qu’on connaît, constitue un point très important. Elle implique que des individus, au sein du Système, ont conscience de la gravité potentielle de la situation et jugent que certaines productions du Système confirmant l’existence potentielle d’instruments massifs de coercition et de (re)mise en condition psychologique de la population sont prêts à être utilisés et doivent être portés à la connaissance du public. Il est évident que les dispositions de ce document font beaucoup plus penser à des actions massives de rééducation possibles contre des dissidents de mouvements du type Occupy, ou du type Ron Paul, que contre des “étrangers” classés dans la rubrique “terroriste”. (Pour ce dernier cas, les actions et programmes de répression existent déjà, depuis le début de la période 9/11, avec les camps de torture et d’action psychologique, notamment de la CIA, comme on le sait.) La publication de ce document ajoute donc une pièce à l’évaluation de la situation intérieure des USA et aux potentialités de troubles qu’on signale actuellement. Il renforce l’idée que la bataille en cours entre le Système et la résistance antiSystème a comme terrain d’élection la psychologie et la conformation des esprits humains, c’est-à-dire le système de la communication, désormais allant jusqu’à un mode de violence et de contrainte massive s’exprimant à visage découvert. C’est un signe, aussi bien de l’ampleur terrible du vrai affrontement en cours, et des inquiétudes profondes du Système devant la résistance dissidente, puisque ses automatismes le conduisent à des programmes qui se rapprochent, sinon l’identifient au systématisme répressif totalitaire des grandes dictatures du XXème siècle.
Mis en ligne le 5 mai 2012 à 08H51


Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.

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