mardi 1 septembre 2009

"Quand, tu es dans le désert, cherche le nain qui te tende la main" Proverbe Lybien. Comprenne qui pourra.

Salut les compagnons du coquelicot, la chaleur de l'été nous a quitté.

Bon, pour moi, les vacances sont terminées. Dommage !
Sauf que moi, j'ai pu descendre dans le sud de la France. Alors que de très nombreux français ou résidents en France n'ont pu quitté leur résidence principale
Et, trop d'enfants se sont contentés de jouer dans leur cour.
Pourtant, quelques municipalités ont installés des lieux de baignades dans les cités, un peu comme si, les habitants avaient leur paris-plage à demeure.
Mais, un espace de baignade n'est pas la mer. N'est-ce pas mes trois chers lecteurs ?
Sauf, sauf que, comme le gouvernement essaie de se débarrasser de ses charges en les basculant sur les régions sans leur fournir les moyens d'assumer, elles auront encore moins d'argent pour les précaires.
Et, qui va s'en prendre au final plein les mirettes, les "Sans" évidemment.
Mais, qu'importe, notre gouvernement va tenter un hold up sur l'épargne française pour renflouer ses caisses. Déjà que la dernière fois, ce sont les places financières qui l'ont organisé, je ne suis pas sûr que les rentiers soient très chauds pour recommencer à se faire plumer.
Mais, fi d'une telle considération, pour ce faire le gouvernement va leur promettre la lune.
A eux de voir. Déjà pour le livret A, il a essayé en réduisant le taux par la suite, peut-être pour voir si les détenteurs allaient retirer leurs billes et rendre l'opération nulle. Et, comme, ce n'est pas vraiment le cas, il réédite. Une répétition en quelque sorte !
Mais, non, je plaisante, notre gouvernement n'est pas comme ça. Il est cool, Raoul.
Par contre, je dois vous avouer quelque chose. Quelque chose me concernant qui est carrément.....horrible.
Je dois vous avouer que je suis le pire de vos cauchemars, celui qui a toujours hanté vos rêves d'enfants. Je suis......"L'ORTHOGRAPHE".
Et, là, je salue l'ouvrage de François de Closets qui appelle à une refondation de l'orthographe de la langue française.
Franchement, y'a des fois où tu as l'impression de ne pas écrire la même langue que les académiciens. Je ne dis pas qu'il faut simplifier, mais, au moins agir sur certaines absurdités.
Ne croyez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
En tout cas, réfléchissez et/ou méditez. Vous me direz demain ce que vous en pensez.
Car, moi, je vous quitte en vous saluant bien bas. N'oubliez, si vous ne vous battez pas, vous crèverez. Et, ce n'est pas la France d'en haut qui bougera le petit doigt pour vous.
A bientôt.
René.

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