vendredi 25 avril 2008

Aborigènes. Personnes de moindre importance qui encombrent les paysages d'un pays nouvellement découvert. (Ambrose Bierce) Ca me fait penser au Tibet

Salut aux oiseaux migrateurs. N'oubliez pas le chasseur vous guette.

Bon, sur la fin Barak Obama arrive au bout d'un parcours qui fut étonnant et qui a marqué l'Amérique. Car, il est clair maintenant qu'un noir n'accédera pas cette fois-ci à la présidence des Etats-Unis.
Par contre, un ticket Clinton-Obama pourrait lui permettre à travers une vice-présidence de faire ses preuves aux yeux de tous les américains. Sans compter que madame Clinton est beaucoup plus âgée que lui et sans doute ne tiendra pas deux mandat. De toute façon, on peut très bien imaginer qu'ils négocient pour qu'il reprenne le flambeau dans quatre ans. Ce qui éviterait que ceux qui le soutiennent ne s'abstiennent pour l'élection présidentielle.
Parce qu'autrement, ni elle, ni lui ne risquent de l'emporter contre le candidat républicain. Et, un peu d'air frais en Amérique ne ferait pas de mal à la planète. Surtout, si l'on considère l'urgence à actionner contre le changement climatique. En comptant que l'industrie américaine a compri que la lutte pour le changement climatique est une nouvelle pompe à fric. De plus, il y a urgence à réguler la finance internationale à tous les niveaux.
Il faudrait moraliser un peu tout ça en imposant déjà une transparence pour qu'elle ne puisse plus faire n'importe quoi. Parce que ces derniers temps, on a pu tous constater où nous conduit l'opacité des opérations financières à objectifs de rentabilité multiples.
Peut-être qu'il faudrait imposer des règles à la spéculation pure et dure, du genre que disait, je ne sais plus qui, "Tu ne tueras point et point ne désireras le bien de ton voisin !"
Mais, ça, c'est une vieille histoire. Parce qu'avant que cette règle ne soit édictée, Caïen avait déjà tué Abel.
Et, toc, on retombe sur les histoires bibliques. Le bien, le mal, l'éternel combat du spéculateur/gladiateur aux jeux du cirque. Le cirque étant entendu comme la bourse. Qui perd, gagne et qui perd gagne beaucoup, telle pourrait être la devise de cette noble institution.
En attendant, y'a le feu à la baraque et les pompiers font grève.
En attendant, je vous l'avais dit, il faut fabriquer des petites unités de dessalement ce qu'à d'ailleurs fait une entreprise de Monaco, mais, ça coûte cher. Et, pourquoi, ça ne serait pas des unités mobiles d'ailleurs ?
N'oublions pas que l'eau est devenue une denrée rare.
Ce qui permettrait de stabiliser des populations sur des terres encore inexploitées. Comme dans le sud de l'Amérique Latine qui bientôt ne connaîtra plus la glace.
Alors, achetez là-bas en prévision. Là-bas et au Groenland.
Il y a de vastes terres qui seront cultivables après que le permafrost se soit évaporé en produisant du méthane en quantité.
Et, pour que le méthane ne soit pas nuisible, il suffira de le récupérer, de le brûler pour produire de l'énergie. Autrement, ça partira dans l'atmosphère accentuant l'effet de serre.
Bon, j'arrête de raconter des conneries et je vous quitte.
A bientôt.
René.

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