mercredi 30 décembre 2020

 (Donc la therapie genique injectable ne sert à rien, en tout cas contre le covid. Alors, elle sert à quoi ? note de rené)


L’OMS prévoit l’explosion d’une «super-gonorrhée» due au coronavirus (et le retour en force du VIH)

Publié par wikistrike.com sur 29 Décembre 2020, 16:24pm

Catégories : #Santé - psychologie

L’OMS prévoit l’explosion d’une «super-gonorrhée» due au coronavirus (et le retour en force du VIH)

L'OMS constate une forte augmentation des cas de gonorrhée favorisée par le coronavirus suite à l'usage intensif d'antibiotiques. Cette maladie sexuellement transmissible pourrait exploser en 2021.

Une forme mutante de la gonorrhée résistante aux traitements et résultant de l’usage accru d’antibiotiques pour traiter le coronavirus devrait connaître une forte progression en 2021, prévient l’OMS.

«L’usage excessif des antibiotiques peut favoriser l’émergence d’une résistance aux antimicrobiens dans la gonorrhée», explique un porte-parole de l’OMS au journal The Sun.

Et de détailler: «L’azithromycine, un antibiotique utilisé fréquemment pour traiter les infections respiratoires, a ainsi été utilisée contre le Covid-19 au début de la pandémie».

Perturbation des services IST

Selon l’organisation, pendant la pandémie, les services des infections sexuellement transmissibles (IST) ont été perturbés et un plus grand nombre de cas d’IST n’ont pas été diagnostiqués correctement et un plus grand nombre de personnes se sont autosoignées.

«Une telle situation peut alimenter l’émergence d’une résistance dans la gonorrhée, y compris celle d’une super-gonorrhée dont la résistance aux antibiotiques actuels recommandés pour la traiter sera de très de haut niveau.»

Une infection facilitant la transmission du VIH

Les experts de l’OMS recommandent ainsi aux médecins de prescrire moins d’antibiotiques, et de ne le faire qu’en dernier recours. Ils rappellent également la nécessité de se protéger systématiquement lors des rapports sexuels.

D’autres chercheurs indiquent dans une étude publiée par le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies que les infections sexuellement transmissibles causées par la bactérie Neisseria gonorrhoeae peuvent faciliter la transmission du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

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