mardi 24 décembre 2013

(blog à finir et à corriger)

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, ils le savent et pourtant, ils le font !
A avantager les laboratoires pharmaceutiques contre la santé des enfants, qu'est-ce qu'ils gagnent ?
Le droit, une fois à la retraite, de faire des conférences à plus de 100.000 euros ?

(source : Wikistrike)

New York va vacciner de manière obligatoire les enfants de la ville contre la grippe avec un vaccin contenant du mercure

De tous les métaux lourds toxiques, le mercure est le plus catastrophique pour le cerveau. Aucun scientifique ose admettre que le mercure ne présente aucun risque injecté dans le corps d'un enfant, et ce, à n'importe quelle dose, et le CDC n'a jamais établi de niveau «sécuritaire» de mercure dans le sang humain pour la simple raison qu'il n'y a pas de niveau sûr. 

Pourtant, le Conseil sanitaire de New York a décidé que tous les petits new-yorkais recevrons une piqûre  contenant une dose dévastatrice de mercure toxique pour des raisons de «santé publique». 
En effet, dans le cadre de la lutte contre la grippe, ces enfants seront tous vaccinés au mercure,  cependant que des métaux lourds de neurotoxine connus comme le mercure, et après maintes revendications, aient été prohibés des établissements hospitaliers.
Le CDC a pourtant admis que tous les vaccins contre la grippe contiennent encore du mercure, mais seulement pour se protéger d'une contamination une fois le flacon ouvert.  
Les vaccins sont si dangereux que l'Industrie du vaccin a dû se protéger derrière une immunité juridique pour continuer leurs petites affaires...
En attendant, ces enfants de la ville de New-York s'apprêtent à recevoir leur dose, non par souci de bien-être, mais pour que l'Industrie s'en mette plein les poches.

Alexander Doyle pour WikiStrike

Source: Natural News

Et dans la rubrique, ils nous mentent tous, il faut installer des guillotines à Bruxelles !

(source : idem)
JEUDI 19 DÉCEMBRE 2013
ALERTE - Marché transatlantique : les gouvernements nationaux privés d’accès aux documents de la négociation



top-secret-document.jpgCompte tenu des craintes des Etats-Unis de voir leurs positions fuiter dans la presse, les américains refusent que la Commission européenne satisfasse aux demandes d’accès aux documents de la négociation formulées par les gouvernements nationaux depuis plusieurs semaines.
Une situation particulièrement sensible étant donné que l’accord devra être approuvé par les ministres européens ainsi que par les eurodéputés,également privés d’accès aux documents.
La Commission européenne se voit prise en tenaille entre les pressions des Etats-membres, celles d’une opinion publique de plus en plus méfiante face au secret des négociations, et celles des Etats-Unis habitués à préserver le secret lors de leur négociations commerciales.
La Commission européenne déploie une campagne sans précédent pour annoncer les avantages des négociations de libre-échange États-Unis-UE et pour montrer au public que l’initiative est transparente. Mais dans les relations privées avec les gouvernements des États membres, les responsables du commerce de l’UE se retrouvent dans une impasse sur la transparence, en raison de la pression américaine sur l’accès aux textes de négociations.
La nouvelle stratégie de relations publiques, révélée dans un document qui a été divulgué et confirmé comme étant authentique par un porte-parole de la Commission, vise à éviter une répétition de la débâcle qui a englouti l’Accord commercial anti-contrefaçon (ACTA). L’ACTA a été rejeté par le Parlement européen l’an dernier au milieu d’une vague d’accusations indiquant que l’affaire avait été conclue sous un voile de secret.
Même en essayant de lutter contre les critiques sur le manque de transparence dans l’espace public, la Commission est cependant confrontée à un dilemme quand il s’agit de partager les documents de négociation des États-Unis avec les gouvernements des États membres.
Les responsables du commerce des États membres ont exigé pendant des semaines que la Commission partage avec eux les documents de négociation qu’ils reçoivent des États-Unis.
La Commission avait indiqué en réponse que les États-Unis hésitaient à autoriser le partage de ces documents à par crainte de fuites, mais qu’elle allait essayer de parvenir à un arrangement afin de satisfaire les Etats membres.


    Encore une nouvelle rubrique, mes chers lecteurs, "Quand les multinationales nous traitent exactement comme des animaux élever en batterie, SOUFFRE ET LAISSE TOI TORTURER !"

    (source : Mondialisation.ca)

    La catastrophe des OGM aux États-Unis, une leçon pour l’Union européenne

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    La catastrophe des OGM aux États-Unis, une leçon pour l'Union européenne
    Dernièrement, à Bruxelles, les potentats non-élus de la Commission européenne ont cherché à passer outre à ce qui a été maintes fois démontré : l’opposition écrasante de la population de l’Union européenne à la propagation des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans leur agriculture. Pour entériner sans discussion l’adoption des OGM, le président de la Commission de l’Union européenne dispose à présent d’un expert-comptable maltais en tant que commissaire à la santé et à l’environnement. Originaire de Grèce, l’ancien commissaire à l’environnement était un farouche adversaire des OGM. En outre, le gouvernement chinois a fait savoir qu’il pouvait approuver une variété de riz OGM. Avant que les choses n’aillent trop loin, ils seraient bien d’examiner de plus près le laboratoire de test mondial des OGM, les États-Unis. Là-bas, les cultures d’OGM sont loin d’être bénéfiques. C’est plutôt exactement le contraire.
    Ce qui est soigneusement resté en dehors de la propagande de Monsanto et des autres compagnies de l’agroalimentaire lors de leur promotion des cultures génétiquement manipulées comme alternatives aux cultures classiques, c’est le fait que, jusqu’ici, dans le monde entier, toutes les cultures d’OGM ont été manipulées et brevetées dans l’unique but de deux choses : être résistantes ou « tolérantes » à des produits chimiques brevetés hautement toxiques – au glyphosate herbicide que Monsanto et les autres obligent les agriculteurs d’acheter en condition d’acquisition de leurs OGM brevetés – et être résistantes à des insectes spécifiques. Contrairement aux mythes de relations publiques dispensés dans leur propre intérêt par les géants de l’agroalimentaire, il n’existe pas une seule semence d’OGM qui ne fournisse un rendement supérieur aux récoltes conventionnelles, ni qui n’ait besoin de moins d’herbicides chimiques toxiques. Pour cette simple raison, il n’y a aucun profit à en tirer.
    Le fléau des super-mauvaises herbes géantes
    Comme l’a fait remarquer le Dr Mae-Wan Ho, adversaire des OGM et biologiste éminente de l’Institut des sciences de Londres, les compagnies comme Monsanto incorporent dans leurs semences une tolérance aux herbicides grâce à la formule d’insensibilité au glyphosate du gène codant l’enzyme ciblée par l’herbicide. Cette enzyme est dérivée d’une bactérie du sol, l’agrobacterium tumefaciens. La résistance aux insectes est due à un ou plusieurs gènes de toxines provenant de la bactérie du sol Bt (bacillus thuringiensis). Vers 1997, les États-Unis ont inauguré les plantations commerciales à grande échelle de plantes génétiquement modifiées, surtout le soja, le maïs et le coton. À l’heure actuelle, aux États-Unis, les cultures génétiquement modifiées ont envahi entre 85 et 91 pour cent des surfaces de cultures de ces trois principales plantes, soja, maïs et coton, soit près de 171 millions d’acres (692.000 kilomètres carrés).
    Selon le Dr Ho, la bombe à retardement écologique associée aux OGM est sur le point d’éclater. Après plusieurs années d’application constante des herbicides au glyphosate brevetés, comme le très célèbre Roundup de Monsanto, la nature a réagi aux tentatives de l’homme de la violer en développant de nouvelles « super-mauvaises herbes » résistantes aux herbicides. Le contrôle de ces super-mauvaises herbes nécessite nettement plus, pas moins, d’herbicide.
    ABC Television, un grand réseau national des États-Unis, a produit un nouveau documentaire intitulé « Les super-mauvaises ne peuvent être détruites. » (1)
    Interviewés, les agriculteurs et les scientifiques de l’Arkansas décrivent des champs envahis de plants d’Amaranthus palmeri géants, capables de résister à toutes les pulvérisations de glyphosate que peuvent faire les agriculteurs. Un agriculteur interviewé a dépensé près de 400.000 euros en à peine trois mois dans une vaine tentative de destruction des nouvelles super-mauvaises herbes.
    Les nouvelles super-mauvaises herbes sont tellement robustes que les moissonneuses-batteuses sont dans l’impossibilité de moissonner les champs, et les outils à main se brisent en essayant de les couper. En Arkansas, au moins 400.000 hectares de soja et de coton ont été investis par ce nouveau fléau biologique mutant. Les données détaillées sur les autres régions agricoles sont indisponibles, mais on estime qu’elles sont similaires. Le ministère de l’Agriculture des États-Unis, pro-OGM et pro-agroalimentaire, a été signalé mentir sur l’état réel des récoltes, en partie pour masquer la triste réalité et prévenir une révolte explosive contre les OGM sur le plus grand marché mondial des organismes génétiquement modifiés.
    L’Amaranthus palmeri, une variété de super-mauvaises herbes, peut atteindre jusqu’à 2,4 mètres de hauteur, résister à la forte chaleur et à la sécheresse prolongée, et produit des milliers de graines avec un système racinaire qui épuise les nutriments des cultures. Quand rien n’est fait, elle envahit un champ entier en un an. Certains agriculteurs ont été contraints d’abandonner leurs terres. Jusqu’à présent, en plus de l’Arkansas, l’invasion d’Amaranthus palmeri dans les régions de cultures d’OGM a aussi été identifiée en Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, au Tennessee, Kentucky, Nouveau-Mexique, dans le Mississippi, et plus récemment dans l’Alabama et au Missouri.
    Les spécialistes des mauvaises herbes de l’université de Géorgie estiment que seulement deux plants d’Amaranthus palmeri tous les 6 mètres dans les rangées de coton, sont capables de réduire le rendement d’au moins 23 pour cent. Un seul plant de mauvaise herbe peut produire 450.000 graines. (2)
    La dissimulation du danger toxique du Roundup
    Le glyphosate est l’herbicide le plus largement utilisé aux États-Unis et dans le monde entier. Breveté et vendu par Monsanto depuis les années 70 sous le nom commercial de Roundup, c’est un élément obligatoire de l’achat de semences d’OGM de Monsanto. Allez juste à votre magasin de jardinage local, demandez-le et lisez attentivement l’étiquette.
    Comme je l’ai exposé en détail dans mon livre, Seeds of Destruction,The Hidden Agenda of Genetic Manipulation (Semences de destruction : L’arme de la faim), les cultures d’OGM et les semences brevetées ont été développées dans les années 70, grâce à l’important soutien financier d’un organisme pro-eugéniste, la Fondation Rockefeller, essentiellement par des compagnies de produits chimiques : Monsanto Chemicals, DuPont et Dow Chemicals. Toutes trois ont été impliquées dans le scandale du hautement toxique agent orange, utilisé au Viêt-nam, et de la dioxine dans les années 70, et ont menti pour cacher la réalité des atteintes à leurs propres employés, ainsi qu’aux civils et militaires des populations exposées.
    Leurs semences d’OGM brevetées ont été envisagées comme un moyen intelligent pour forcer le renouvellement des achats de leurs produits chimiques agricoles du style Roundup. Les agriculteurs doivent signer avec Monsanto un contrat légal qui stipule que seul son pesticide Roundup peut être utilisé. Les agriculteurs sont ainsi piégés, obligés d’acheter à la fois de nouvelles semences de Monsanto à chaque récolte et du glyphosate toxique.
    À l’université de Caen, en France, dans une équipe dirigée par le biologiste moléculaire Gilles-Eric Séralini, une étude a montré que le Roundup contient un ingrédient inerte spécifique, l’huile de suif polyéthoxylés, ou POEA. L’équipe de Séralini a démontré que le POEA du Roundup est même plus mortel pour les embryons humains, les cellules du cordon ombilical et placentaires, que le glyphosate lui-même. Monsanto, qualifiant de « breveté » le contenu détaillé de son Roundup, à part le glyphosate, refuse de le communiquer.(3)
    L’étude de Séralini a constaté que les ingrédients inertes du Roundup amplifient l’effet toxique sur les cellules humaines – même à des concentrations beaucoup plus diluées que celles utilisées dans les fermes et sur les pelouses ! L’équipe française a étudié de multiples concentrations du Roundup, depuis la dose typique agricole ou sur pelouse, jusqu’à des concentrations 100.000 fois plus diluées que les produits vendus sur les rayons. Les chercheurs ont constaté des dommages cellulaires à toutes les concentrations.    
    Dans une brochure de l’Institut de biotechnologie qui promeut les cultures OGM comme des « combattants de mauvaises herbes, » le glyphosate et le Roundup sont annoncés « moins toxiques pour nous que le sel de table. » Treize ans de cultures d’OGM aux États-Unis ont augmenté globalement le recours aux pesticides de 318 millions de livres, et non pas diminué comme l’ont promis les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse OGM. La charge de morbidité supplémentaire due à uniquement cela est considérable sur la nation.
    Quoi qu’il en soit, après l’introduction commerciale des semences d’OGM Monsanto aux États-Unis, l’utilisation de glyphosate a augmenté de plus de 1500% entre 1994 et 2005. Aux États-Unis, quelque 100 millions de livres de glyphosate sont utilisées sur les pelouses et les exploitations agricoles chaque année, et au cours des 13 dernières années, il a été appliqué sur plus d’un milliard d’acres (environ 4 millions de kilomètres carrés). Interrogé, le directeur du développement technique de Monsanto Rick Cole, aurait dit, les problèmes sont « gérables ». Il a conseillé aux agriculteurs d’autres cultures ainsi que l’utilisation de marques d’herbicides différents produits par Monsanto.
    Monsanto encourage les agriculteurs à mélanger le glyphosate avec ses plus anciens herbicides tels que le 2,4-D, interdit en Suède, au Danemark et en Norvège pour ses liens avec le cancer, la reproduction et des dommages neurologiques. Le 2,4-D est un composant de l’agent orange, produit par Monsanto pour être utilisé au Viêt-nam dans les années 60.
    Les agriculteurs étasuniens se tournent vers le biologique
    Partout aux États-Unis on signale que les agriculteurs reviennent aux cultures traditionnelles (non génétiquement modifiées). Selon un nouveau rapport du ministère de l’Agriculture, la vente au détail des aliments biologiques a bondi de 3,6 milliards de dollars en 1997 à 21,1 milliards de dollars en 2008.(4) Le marché est si florissant que les fermes biologiques se démènent parfois pour produire une offre suffisante, capable de suivre la montée rapide de la demande du consommateur qui amène des pénuries périodiques de produits biologiques.
    Au Royaume-Uni, le nouveau gouvernement de coalition libéral-conservateur soutient fortement la levée de l’interdit de facto des OGM dans leur pays. Le conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni, le professeur John Beddington, a récemment écrit un article où il affirme de manière trompeuse : « La prochaine décennie verra le développement de combinaisons de caractères désirables et l’introduction de nouvelles caractéristiques comme la tolérance à la sécheresse. Au milieu du siècle, des options bien plus radicales, impliquant des traits hautement polygéniques, seront faisables. » Il a en outre promis « des animaux clonés, créés avec une immunité innée aux maladies, » et plus encore. Merci bien ! Je pense que nous pouvons décliner tout ça.
    Une récente étude, de l’université d’État de l’Iowa et du ministère de l’Agriculture, visant à évaluer la performance des exploitations agricoles pendant les trois années de transition nécessaires pour passer de la production classique à la certifiée biologique, a montré les avantages notables de l’agriculture biologique sur les OGM et même sur les plantes classiques non génétiquement modifié. Dans une expérience de quatre ans – trois ans de transition et la première année biologique – l’étude a montré que, bien que les rendements diminuaient d’abord, ils s’égalisaient dans la troisième année et, à partir de la quatrième année, les rendements biologiques devançaient les classiques pour à la fois le soja et le maïs.
    En outre, l’Évaluation internationale des connaissances agricoles de Science et technologie pour le développement (IAASTD) – le résultat de trois ans de délibération de 400 participants scientifiques et représentants non-gouvernementaux venant de 110 pays à travers le monde – a été publié récemment. On en a conclu que l’agriculture biologique à petite échelle est la voie à suivre pour faire face à la faim, aux inégalités sociales et aux catastrophes écologiques.(5) Comme le soutient le Dr Ho, un changement radical dans la pratique agricole est urgent, avant que le cataclysme agricole s’étende davantage en Allemagne et de l’Union européenne vers le reste du monde.(6)
    Notes
    [1] Super weed can’t be killed, abc news, 6 octobre 2009. See also,Jeff Hampton,  N.C. farmers battle herbicide-resistant weeds, The Virginian-Pilot, 19 July 2009,http://hamptonroads.com/2009/07/nc-farmers-battle-herbicideresistant-weeds
    [2] Clea Caulcutt, ‘Superweed’ explosion threatens Monsanto heartlands, Clea Caulcutt, 19 avril 2009, http://www.france24.com/en/20090418-superweed-explosion-threatens-monsanto-heartlands-genetically-modified-US-crops
    [3] N. Benachour and G-E. Seralini, Glyphosate Formulations Induce Apoptosis and Necrosis in Human Umbilical, Embryonic, and Placental Cells, Chem. Res. Toxicol., Article DOI: 10.1021/tx800218n Publication Date (Web): 23 décembre 2008.
    [4] Carolyn Dimitri and Lydia Oberholtzer, Marketing U.S. organic foods: recent trends from farms to consumers, USDA Economic Research Service, Septembre 2009,http://www.ers.usda.gov/Publications/EIB58/
    [5] International Assessment of Agricultural Knowledge, Science and Technology for Development, IAASTD, 2008, http://www.agassessment.org/index.cfm?Page=Press_Materials&ItemID=11  
    [6] Ho MW.UK Food Standards Agency study proves organic food is better. Science in Society 44, 32-33, 2009.
    Traduction : Pétrus Lombard 
    F. William Engdahl est est associé du Centre de recherche sur la mondialisation et l’auteur de plusieurs ouvrages en anglais dont deux sont traduits en français :

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