vendredi 27 décembre 2013

(blog à finir et à corriger)

Battons-nous, battons-nous, mes chers cinq lecteurs, pour que le monde que nous laisserons à nos enfants ne soit pas un monde tout pourri où leur progrès ne soit une source de maladies, de médicaments, de traitements qui n'aboutisse sur d'autres maladies qui à leur tour nécessitent des traitements, des médicaments.
En respectant à nouveau la nature et en nous tournant vers elle avec respect et reconnaissance, elle nous fournira ce qu'il nous faut pour vivre mieux et plus longtemps.

(source : Santé Nature Innovtion)

La rhodiola : une racine d’or pour un moral d’acier

La rhodiola : une racine d’or pour un moral d’acier
Au début des années 2000, les scientifiques occidentaux ont eu accès à des études secrètes effectuées par l’Union soviétique sur la rhodiola, la « racine d’or », une plante typique de la flore en Sibérie.
Ils découvraient alors les formidables propriétés de cette plante qui aide à combattre la fatigue, améliore notre attitude face au stress et augmente nos capacités psychiques et intellectuelles.

Mythe, légendes et science-fiction

Jason et la toison d’or est l’un des mythes les plus célèbres de la Grèce antique et sans doute la preuve que les vertues de la rhodiola étaient déjà connues au XIIIème siècle avant notre ère.
D’après la légende, le héros Jason fut envoyé en Colchide, l’actuelle Géorgie, par son oncle Pélias qui lui avait promis le trône d’Iolcos s’il réussissait à rapporter la toison d’or, la peau d’un bélier légendaire, confiée à la garde d’un dragon.
Après de multiples péripéties, Jason arriva chez le roi Aiétès, le détenteur de la toison. Médée, fille du roi Aiétès, magicienne et experte de la préparation des plantes, donna à Jason un breuvage magique qui lui permit de terrasser le dragon et d’entrer dans la légende.
Ce breuvage extraordinaire aurait été élaboré à partir d’une fleur caucasienne née du sang de Prométhée. Or, selon le poète Caius Valerius Flaccus, la rhodiola, qu’il évoque dans ses Argonautiques, serait née des miettes du foie de Prométhée répandues sur les monts caucasiens lors de son supplice par les aigles.
Pour le grand spécialiste américain de la rhodiola Richard P. Brown, c’est donc bien de la rhodiola que Médée aurait donné à Jason. Et si l’on suit sa théorie, la découverte de la rhodiola par les Grecs remonterait donc au 13ème siècle avant notre ère, à l’époque où ils entreprirent de mettre la main sur l’or de cette région du Caucase.
Par la suite, c’est en Sibérie et en Europe du Nord que la rhodiola a gagné sa réputation de plante médicinale .
Dans ces régions, on lui attribue le pouvoir d’accroître l’endurance physique, la longévité, la vigueur sexuelle, la mémoire et d’autres facultés cognitives. En Suède, on affirme que les Vikings lui devaient leur force physique légendaire et leur remarquable endurance. En Ukraine, on raconte que le prince Danila Galitsky (XIIIème siècle), dont les exploits amoureux continuent d’embraser l’imagination populaire, devait sa puissance à la fameuse racine dorée. Aujourd’hui encore, en Sibérie, on offre de la rhodiola aux jeunes mariés afin qu’ils donnent naissance à des enfants sains.
Les preuves scientifiques sur les bénéfices de la rhodiola sont arrivées à partir des années 1960 avec les nombreuses études cliniques et publications scientifiques effectuées par les Soviétiques.
Pendant des dizaines d’années, une grande partie de ces travaux sont restés classés « secret défense » car la rhodiola était considérée comme un élément déterminant des programmes visant à améliorer les performances physiologiques, psychiques et intellectuelles des membres de l’élite soviétique (cosmonautes, militaires de haut niveau, officiers du KGB).
Comme dans les films de science-fiction, les chercheurs soviétiques qui avaient découvert les propriétés naturelles étonnantes de la rhodiola pensaient pouvoir les utiliser pour développer des molécules qui transformeraient les meilleurs éléments de l’armée en véritables surhommes.
Vu le caractère hautement sensible de ces recherches, on ne sait pas encore sur quoi elles ont débouché exactement. Mais depuis le début des années 2000, les études portant sur les propriétés intrinsèques et donc naturelles de la rhodiola ont été diffusées et des chercheurs du monde entier ont pris le relais de leurs prédécesseurs soviétiques.

Une plante adaptogène révolutionnaire

Le propriétés de la rhodiola identifiées par les chercheurs permettent de la classer dans la catégorie des plantes adaptogènes au sens défini en 1968 par le docteur Breckhman de l’Académie des Sciences de Russie :
  • elle augmente la résistance de l’organisme face à un spectre très large de facteurs d’agressions, aussi bien chimiques, physiques que biologiques,
  • elle a une activité normalisatrice : elle diminue ou prévient complètement les déséquilibres issus du stress ou bien secondaires à une pathologie,
  • elle présente une totale innocuité : elle ne crée pas de perturbation dans le fonctionnement normal de l’organisme et n’influence ce dernier plus qu’il n’est requis.
En 2004, un livre sorti aux Etats-Unis annonçait « The rhodiola Revolution » (1). Sur la base des nombreuses études scientifiques dont elle a fait l’objet (cf. sources 2-6) et des témoignages de ses utilisateurs, cette plante est considérée aujourd’hui par beaucoup comme l’un des remèdes naturels les plus efficaces pour agir contre tous les stress auxquels nous faisons face quotidiennement.
Elle est recommandée plus particulièrement pour les personnes qui :
  • souhaitent améliorer leur bien-être général, leur état psychique et leurs performances intellectuelles,
  • sont de nature à être anxieuses, stressées face à tous les petits tracas du quotidien,
  • ont des difficultés à supporter le rythme de la vie moderne (mal-être, fatigue chronique…),
  • doivent affronter une situation familiale, sociale ou professionnelle difficile (divorce, perte d’un emploi, période de stress et de travail intense…),
  • doivent faire face à des situations conflictuelles ou un environnement agressif,
  • affrontent un stress physique intense (de nombreux sportifs de l’extrême utilisent la rhodiola pour renforcer leurs capacités mentales).
Les personnes qui utilisent la rhodiola sont souvent extrêmement surprises de ressentir ses effets positifs dès les premiers jours.
Les effets bénéfiques les plus souvent cités sont un regain d’énergie, une sensation de détente et de bien-être psychique ainsi que le fait d’avoir un moral d’acier et d’être plus apte à faire face aux situations stressantes.
Contrairement aux anti-dépresseurs, aux somnifères ou aux excitants, la rhodiola ne crée pas de déséquilibre interne. Elle est sans effets secondaires et ne crée pas d’accoutumance.
En fait, la rhodiola joue un rôle complexe de régulateur sur le système nerveux mais aussi l’axe surrénalien. Elle agit notamment sur :
  • la gestion de la sérotonine : un neurotransmetteur du système nerveux central qui joue un rôle essentiel pour l’entretien de l’homéostasie du cerveau (capacité à fonctionner normalement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures),
  • le soutien des surrénales : ces deux glandes endocrines situées au-dessus des reins et qui sont principalement responsables de la gestion des situations de stress via notamment la synthèse de corticoïdes et de catécholamines.
Sans rien stimuler directement, la rhodiola met en alerte notre organisme et lui permet de répondre plus rapidement et de manière mieux adaptée aux situations de stress. Un peu comme si elle jouait le rôle d’un coach qui aiderait l’organisme à fonctionner au meilleur de ses capacités.
La réaction de l’organisme aux situations de stress est plus rapide, la gestion des ressources, notamment hormonales (la sécrétion d’adrénaline, de cortisol, etc.), est mieux assurée et on obtient ainsi une meilleure réponse des surrénales.
La rhodiola agit donc au croisement de la biologie, de la biochimie, de la neurologie, de l’immunologie, de l’endocrinologie… autant de domaines dans lesquels les chercheurs continuent à travailler isolément et qui expliquent en partie la difficulté pour eux à expliquer clairement les mécanismes d’action de cette plante.

Quelle rhodiola choisir ?

Avec la sortie du livre « The rhodiola Revolution », de nombreux laboratoires ont commencé à intégrer la rhodiola dans leurs formules.
Parmi ces produits vous trouverez généralement des formules composées à partir d’extraits de rhodiola rosea et comprenant des additifs inutiles voire parfois douteux. Ces extraits concentrent seulement deux principes actifs de la rhodiola : les rosavines et les salidrosides au détriment d’autres composants intrinsèques de la plante qui n’ont pas été étudiés mais dont on peut malgré tout penser qu’ils sont indispensables à son action.
En proposant une rhodiola sous forme d’extrait, ils ont la possibilité d’y associer des allégations de santé qui ne sont plus tolérées par l’Europe sur la forme « totum ».
Toutefois, rien ne prouve que l’extrait soit plus efficace que la forme totum originelle. Au contraire, bien des témoignages laissent penser que c’est la forme totum de la rhodiola, naturelle et complète, qui serait la plus efficace car elle conserve l’harmonie des différents composants de la plante.
Bien à vous,
François Mercier

Sources :
(1) The rhodiola revolution – Transform your health with the herbal breakthrough of the 21st century . Richard P. Brown, Patricia L. Gerbarg (2004, Ed. Rodale).
(2) A randomized trial of two different doses of a SHR-5 rhodiola rosea extract versus placebo and control of capacity for mental work. Shevtsov V.A. et al. Phytomedicine, 2003, 10, 95-105.
Une étude menée en double aveugle sur 161 cadets militaires russes a permis de mesurer les effets anti-stress et stimulant d’une dose de rhodiola rosea. Les résultats ont montré que les cadets privés de sommeil et stressés qui avaient pris de la rhodiola étaient nettement moins fatigués et que leurs capacités intellectuelles étaient mieux préservées que ceux ayant pris un placebo ou n’ayant rien reçu.
(3) A double-blind, placebo-controlled pilot study of stimulating and adaptogenic effect of rhodiola rosea SHR-5 extract on the fatigue of student caused by stress during examination period with a repeated low-dose regimen. Spasov AA, Wikman GK, Mandrikov VB, et al. Phytomedicine, 2000, 7, 85-89.
Une autre étude en double aveugle menée pendant 20 jours sur 60 étudiants indiens en médecine en période d’examens de fin d’étude a permis d’évaluer l’effet d’une prise quotidienne de 100 mg de rhodiola rosea. Malgré la faiblesse de la dose utilisée, les chercheurs ont constaté une amélioration de la performance intellectuelle des étudiants, de leur bien-être général ainsi que de leur fonctionnement psychomoteur. Les sujets ont rapporté une diminution de leur besoin de sommeil, une humeur plus stable et une plus grande motivation pour l’étude.
(4) Plasma beta-endorphin and stress hormones in stress and adaptation. Lishmanov I.B. et al. Biull. Eksp. Biol. Med., 1987, 103, 422-424.
Lors d’un test d’endurance physique, de la Rhodolia rosea a été administrée à des rats : leur temps de nage a été amélioré d’environ 150%. Dans cette étude, lors de laquelle les animaux ont été par ailleurs soumis pendant 4 heures à un stress non spécifique, les chercheurs n’ont pas observé l’augmentation prévisible des niveaux de bêta-endorphines, mais une diminution, ce qui suggère qu’une supplémentation en rhodiola rosea pourrait diminuer, voire prévenir totalement les perturbations de l’axe hypothalamique-pituitaire-surrénal induites par le stress. La supplémentation semble avoir préparé les animaux à réagir de façon plus adaptée à une situation stressante.
(5) A pilot study of rhodiola rosea (Rhodax) for generalized anxiety disorder (GAD). Bystritsky A. & al. Journal of alternative and complementary medicine, 2008, 14(2), 175-180.
Une prise quotidienne de rhodiola rosea aurait des effets bénéfiques face à l’insomnie, à l’anxiété, et à la dépression modérée.
(6) Protective effects of salidroside on hydrogen peroxide-induced apoptosis in SH-SY5Y human neuroblasoma cells. Zhang Li & al. European journal of pharmacology , 2007, 564(1-3), 18-25.
Les salidrosides contenus dans rhodiola rosea auraient un effet protecteur contre le stress oxydatif et constituent un agent thérapeutique potentiel pour le traitement ou la prévention des maladies neurodégénératives.

(source : le Monde Planète)


Dans la Drôme, des bataillons d'insectes pour remplacer les pesticides

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Cultivateur bio à Loriol (Drôme), Cyril Vignon inspecte les serres où il a disséminé de minuscules punaises, afin de protéger ses tomates et ses aubergines des dégâts causés par les mouches blanches.

Des forces très spéciales tiennent garnison à Livron-sur-Drôme, entre Valence et Montélimar, dans un casernement de 14 000 m2. Des bataillons rampants et volants, mobilisables à tout moment. Leurs armes sont des rostres et des mandibules. Leur terrain d'opération les champs, les vergers et les potagers. Leur ennemi les ravageurs des cultures.

La revue des troupes issues des élevages de la société Biotop a de quoiimpressionner. Il y éclot, chaque année, plus de 100 milliards d'insectes affectés à la lutte biologique contre les nuisibles, dont la PME est le leader français, la seule à développer une production à l'échelle industrielle.
Pas moins d'une cinquantaine d'espèces forme ce contingent animalier, chacune affectée à une cible. Le trichogramme, guêpe microscopique, parasite les œufs de la pyrale du maïs en y pondant ses propres œufs, dont les larves dévorent leur hôte. Les coccinelles croquent les pucerons – plus d'une centaine par jour – ou les cochenilles farineuses qui infestent les agrumes et les plantes d'ornement. La petite punaise macrolophus terrasse les mouches blanches (ou aleurodes) qui ruinent les plants de tomates et d'aubergines. Une autre punaise, anthocoris, est friande des psylles, qui mettent à mal poiriers et oliviers. Les nématodes, vers lilliputiens, anéantissent chenilles et doryphores…
Lire la chronique (édition abonnés) : Un moratoire inutile sur les insecticides tueurs d'abeilles
DÉFIANCE DES CONSOMMATEURS À L'ÉGARD DES PESTICIDES 
« Nous n'inventons rien, dit Marc Vignau, directeur général de Biotop. Nous prenons des insectes dans la nature, nous les faisons croître et se multiplier, puis nous les remettons dans la nature pour la protéger. » De fait, la lutte biologique contre les ravageurs, ou « protection biologique intégrée » des plantations, est vieille comme l'agriculture. Mais, après avoir été délaissée par les paysans au profit des traitements phytosanitaires, elle connaît aujourd'hui un renouveau, sous le double effet du retrait du marché de molécules chimiques toxiques et de la défiance croissante des consommateurs à l'égard des pesticides.
« Il serait illusoire de penser pouvoir, aujourd'hui, se passer totalement des produits de la chimie de synthèse traditionnelle, pense Marc Vignau. Ce qui n'est pas illusoire, c'est de moduler leur usage par des méthodes naturelles. » Il en est sûr, « dans la décennie à venir, l'agriculture va se tourner vers ces alternatives plus durables ». Déjà, assure-t-il, 100 000 hectares de maïs sont traités en France contre la pyrale par des lâchers de trichogrammes. Et les « insectes auxiliaires » utiles aux cultures gagnent aussi leur place dans les maraîchages.
Producteur bio de fruits et de légumes à Loriol, à un vol de coccinelle de Livron, Cyril Vignon est un adepte. « J'ai fait le choix de ne plus utiliser de produits chimiques, pour ma santé et parce que je fais de la vente directe et que c'est important pour mes clients », explique-t-il en inspectant ses plants de tomates, d'aubergines et de poivrons, sur lesquels il a dispersé une escouade de punaises.« Pour une serre de 400 m2, il faut compter entre 150 et 250 euros, dit-il. C'est un peu plus cher que la lutte chimique, mais une fois que la serre est traitée, il n'y a plus besoin d'y revenir. »
« LE CAVIAR DE NOTRE PRODUCTION »
Issue d'une collaboration avec l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) de Sophia-Antipolis, Biotop, née en 1985 et devenue filiale d'InVivo, premier groupe coopératif agricole français, essaime aujourd'hui dans le monde entier. Elle réalise 50 % de son chiffre d'affaires annuel, de 5 millions d'euros, à l'exportation, en Europe (notamment en Allemagne, en Espagne et en Italie), mais aussi au Canada, au Japon ou en Corée. Avec un produit-phare : les minuscules œufs d'un petit papillon de la famille des mites, la pyrale de la farine, qui servent de matrice aux trichogrammes, mais aussi d'aliment à tous les autres insectes. « Le caviar de notre production », dit Marc Vignau.


Les secrets de fabrication de Biotop son jalousement protégés dans des salles réfrigérées. Ici, un élevage de bourdons.

Plus de 2 000 milliards de ces œufs sortent chaque année des chaînes de Biotop, qui protège jalousement ses secrets de fabrication dans des salles closes réfrigérées, où la température, l'humidité, la luminosité et la circulation d'air sont surveillées en permanence. « Au moindre écart, nos équipes sont alertées, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 », indique Eric Thouvenin, directeur industriel. C'est que, dans chaque élevage de papillons nourriciers, couvent « plusieurs centaines de milliers d'euros ».
BIOTECHNOLOGIES TRÈS POINTUES
C'est aussi qu'il faut éviter les contacts entre les insectes dont les souches, originaires du sud de la France, ont été sélectionnées pôur être non invasives, c'est-à-dire ne pas risquer de concurrencer les espèces locales. Et contrôler, en continu, le cycle biologique de chaque variété. Sous des dehors bucoliques, l'élevage industriel relève de biotechnologies très pointues qui requièrent, parmi la quarantaine d'employés, les compétences de biologistes, d'entomologistes et de généticiens.
A sa clientèle initiale de coopératives et d'exploitants agricoles, Biotop a ajouté les jardiniers amateurs, mais aussi les foyers domestiques, où des diffuseurs de trichogrammes permettent d'éradiquer mites alimentaires et mites des vêtements. Pourtant, s'ils gagnent du terrain, les agents naturels de la lutte biologique ont encore du chemin à parcourir pour supplanter les pesticides. La dernière enquêtesur les pratiques culturales en France, publiée en juillet par le ministère de l'agriculture, montre qu'entre 2006 et 2011, le recours aux traitements phytosanitaires n'a pas « significativement » diminué.

Parce que, eux, le monde qu'ils nous proposent, c'est celui-ci :

(source : TIP NEWS)

Fukushima radiation hits San Francisco

By  | 25 Comments
This shocking video was taken December 23rd 2013 with a quality Geiger Counter at Pacifica State Beach (Surfers Beach), California.
Location:
Geiger Counter used:
Background radiation is 30 CPM. Near the ocean it’s 150 CPM. The fine mist coming from the ocean waves seems to be what makes the Geiger Counter jump.
Fukushima radiation disaster info:
Massive starfish deaths on West Coast:
We all must come to the realization that swimming in the Pacific Ocean (let alone eating anything out of it) is a thing in the past. And it’s only going to get worse, as it’s unstoppable. This is by far the worst man-made disaster in human history, and our garbage media and government say nothing.
RELATED :


































































Un monde, mes chers lecteurs, où, en France, vous serez continuellement sous haute surveillance et ceci légalement, grâce à l'UMP et au parti socialiste !
Eh, oui, bonnets blancs ou blancs bonnets, ils sortent des mêmes écoles, des mêmes classes sociales et pensent pareil.

(source : Inform'Action)

e Zimmermann : "Nous allons vers un État totalitaire"

Portrait de Renaud Schira

Date: 
16/12/2013

La surveillance d'Internet, rendue légale sans l'intervention d'un juge par la dernière loi de programmation militaire, continue de faire réagir. Interview.

Votée par l'Assemblée nationale et le Sénat, la loi de programmation militaire, qui facilite la surveillance d'Internet, continue de faire réagir dans le milieu numérique français et américain. Voici l'opinion de Jérémie Zimmermann, porte-parole et cofondateur de La Quadrature du Net, organisation de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet.

Le Point.fr : Quelle est votre réaction à la suite du vote cette semaine de la loi de programmation militaire ?

Jérémie Zimmermann : Cette loi permet de vastes écoutes sans intervention d'un juge en temps réel. Il s'agit d'une porte ouverte aux plus importantes violations des libertés individuelles, en même temps qu'une violation du principe de la séparation des pouvoirs. Normalement, c'est le pouvoir judiciaire qui peut restreindre les libertés fondamentales, donc ordonner les écoutes violant la protection de la vie privée. Je suis particulièrement déçu de voir que ce texte est porté par le gouvernement, bref, est devenu la position officielle en réaction aux révélations d'Edward Snowden sur les pratiques de surveillance de l'État américain. Alors que leParlement européen a invité le lanceur d'alertes (il doit être prochainement auditionné, NDLR), la réponse de la France étonne. Aux yeux du monde entier, notre pays est hypocrite dans sa réponse aux récents abus des États-Unis.
Les partisans de la loi expliquent que la France est en guerre...

Le premier danger ici est que la surveillance n'est plus un dispositif exceptionnel concernant uniquement le terrorisme, mais devient la norme. Le texte proposé, par la notion très vague de "informations et documents traités ou stockés", permet une surveillance totale de la géolocalisation, l'enregistrement des communications, mais aussi la surveillance de notre activité en ligne, ce qui veut dire grosso modo de toute notre vie. Pire, cette surveillance pourra s'effectuer en direct. D'ailleurs, laCommission nationale de contrôle des interceptions de sécurité, chargée de vérifier la légalité des autorisations d'écoutes, ne pourra rien empêcher, car elle interviendra a posteriori (48 heures après avoir été alertée) et, rapportant au Premier ministre, n'aura aucun pouvoir de sanction en cas d'abus. Pas sûr qu'elle se fasse entendre ! Bref, cette loi signe la fin de la séparation des pouvoirs et donne à l'exécutif les clés d'un système de surveillance généralisée.

Que voulez-vous dire par là ?

Qu'il n'y aura plus de limite. Ce texte va bien au-delà de la lutte contre le terrorisme en proposant que ces écoutes servent notamment à protéger les intérêts scientifiques et économiques de la France. Par exemple, des champs qui englobent les antinucléaires, des associations oeuvrant pour la transparence des entreprises, des opposants à la création d'un nouvel aéroport, mais aussi potentiellement l'identité des sources de journalistes dans une affaire anticorruption... C'est ni plus ni moins que la préparation d'un État totalitaire.

Source: 
Lepoint.fr

A mon avis, tous ces gens-là feraient mieux de faire autre chose, par exemple, rendre chaque foyer autonome en électricité, ce qui diminuerait grandement la dépendance énergétique, comme par exemple:

(source : Newsletters)

UNE FENETRE INTELLIGENTE, PRODUCTRICE D'ELECTRICITE

17 décembre 2013 

Une fenêtre intelligente, productrice d’électricité
Les solutions de production énergétique s’installent sur tous les matériaux. Dernier en date, les vitrages, avec une innovation : le verre au photovoltaïque. Celui-ci doit permettre l’alimentation en électricité des équipements de proximité.

Une production d’énergie pour une utilisation locale

Si l’électricité est toujours considérée comme indispensable au fonctionnement de l’habitat, elle ne cesse, depuis, quelques années, de trouver des solutions de remplacement, notamment par l’autoproduction énergétique, afin d’alimenter chaque équipement. Que ce soit avec un objectif de gros volume ou seulement pour de petites installations, toutes ces alimentations parallèles offrent une utilisation pratique. C’est le cas avec l’un des derniers produits à voir le jour : la vitre photovoltaïque.
Cette innovation en matière de production d’énergie devrait venir équiper les vitrages des logements d’ici 2015. La technologie n’est d’ailleurs pas nouvelle, elle est issue d’un précédent développement pour les Smartphones, réalisé par la même société, SunPartner Technologies, et qui donne une plus grande autonomie à ces appareils, par leur auto-alimentation en énergie solaire.

Une vitre intelligente pour alimenter les petits équipements électriques

Cette technologie Wysips trouve donc un nouvel usage dans l’habitat avec un objectif : permettre l’alimentation en électricité des petits appareils nécessitant une source électrique réduite et sur une courte durée. C’est le cas, par exemple, des équipements en domotique comme les stores, les volets roulants ou certains éclairages d’appoint.
Ses composants photovoltaïques présentent, dans le même temps, un taux de transparence jusqu’à 90 %, accentué par un effet d’optique obtenu par la présence de micro-lentilles semi-cylindriques disposées devant lescellules photovoltaïques. Reste désormais à attendre la commercialisation pour en mesurer réellement la performance.

















bbb

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