mercredi 18 décembre 2013

(blog à finir et à corriger)

Bon, mes chers cinq lecteurs, je vous propose un sujet de réflexion.

(source : wikistrike)

Mardi 17 décembre 2013
Les USA veulent la guerre
 
 
Statue-de-la-liberté-état-policier
 
Ils la veulent pour stopper leur décadence et leur perte de pouvoir, pour sauver le dollar, monnaie étalon planétaire qui participe à leur hégémonie pour sauver leurs financiers (actionnaires de la FED) qui sont les vrais dirigeants américains, qu’importe le parti élu qui conservera la main mise sur les ressources énergétiques du bassin Méditerranéen, surtout  depuis les récentes découvertes de l'été 2013 sur les richesses des gisements Tamar et Leviathan. Ils veulent affaiblir la Russie dont l'influence monte de plus en plus et établir un mur entre l'Europe et la Russie de manière à conserver leur pouvoir sur l'Europe sans que la Russie ne puisse contrer ces influences.
Dans son dernier article Paul Craig Roberts annonce ouvertement cette volonté :  

http://www.paulcraigroberts.org/2013/12/14/washington-drives-world-toward-w…
Washington Drives the World Toward War



Il est d'autant mieux placé qu'il a lui-même participé pendant plusieurs années aux décisions stratégiques américaines et sait comment le processus a lieu . Il a notamment été professeur au CSIS
Center for Strategic and International Studies ou l'on retrouve également un Bzrezinski  ou encore une Christine Lagarde.
Poutine est également totalement averti de cette volonté  et comme le meilleur moyen de préserver la paix est bien de préparer la guerre, c'est exactement ce qu'il fait en ce moment avec, en particulier,  sa déclaration du 12 Décembre dernier reprise par Paul Craig Roberts :


Vladimir Putin addressed the offensive military threat that Washington poses to Russia. Putin said that Washington calls its anti-ballistic missile system defensive, but “in fact it is a signifiant part of the strategic offensive potential” and designed to tip the balance of power in Washington’s favor. Having acknowledged the threat, Putin replied to the threat: “Let no one have illusions that he can achieve military superiority over Russia. We will never allow it.”

Nous nous trouvons donc en fait en face d'un véritable  faisceau de présomptions qui donne un vrai contenu à l'article de Paul Craig Roberts .  alimenté par de nombreuses informations venant de multiples sources ..
Les sources sont nombreuses, et se suffisent quasiment à elles-mêmes  pour comprendre dans quelle logique les USA essaient d'entrainer l'Europe. Il est donc essentiel de les citer, ce qui peut rendre la lecture de cet inventaire un peu fastidieuse, ce dont je prie les lecteurs de bien vouloir m'excuser.


Et ils ne veulent pas la Guerre chez eux, mais bien chez nous , en Europe ou au Proche Orient, comme ils ont déjà tenté de le faire en Syrie.


La liste des évènements suivants n'est pas un inventaire à la Prévert :


Ce sont des évènements qui ont tous eu lieu récemment. 

Provocations en Mer de Chine entre bateaux américains et beaux militaires chinois
http://worldnews.nbcnews.com/_news/2013/12/13/21895875-us-chinese-warships-…
Violation de l'espace aérien japonais par les Chinois
http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/13/1513514-iles-senkaku-tokyo-denon…

Les Russes ont compris et se préparent activement à cette éventualité en déployant des missiles Iskander le long des frontières Européennes :


http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/article-vaste-deploiement-de-missil…


Le 12 décembre, Rogozine a même fait une déclaration qui ne prête à aucune interprétation :
La Russie est prête à employer l’arme nucléaire en cas d'attaque contre elle afin de protéger ses intérêts d’Etat.
C’est ce qu’a déclaré à la chambre basse du Parlement national le vice-Premier ministre de Russie Dmitri Rogozine. Il a annoncé que le Fonds russe des études prometteuses se pencherait sur l’élaboration d’une réponse technique et militaire à la stratégie des Etats-Unis de Prompt Global Strike (PGS).


http://french.ruvr.ru/2013_12_12/Dmitri-Rogozine-la-Russie-est-prete-a-employer-l-arme-nucleaire-contre-des-agresseurs-3365/



Les enjeux énergétiques du bassin Méditerranéen n'ont jamais été aussi cruciaux  et ils font intervenir la Turquie à qui l'Europe vient de supprimer les obligations de visas :
La Turquie a signé lundi à Ankara avec l'Union européenne un accord de réadmission des migrants clandestins qui doit permettre, à l'horizon 2017, la levée de l'obligation de visa imposée par l'UE à ses ressortissants.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/1758914/2013/12/16/Pre…




Depuis les articles de William Engahl en 2012 décrivant de manière assez précise les enjeux énergétiques de la région, les forages  concernés et les exploitations s'avèrent de plus en plus prometteurs :


Rising Energy Tensions in the Aegean—Greece, Turkey, Cyprus, Syria


Tamar-Leviathan partners: Significant signs of gas in new reservoir
http://www.jpost.com/Middle-East/Tamar-Leviathan-partners-significant-signs…


On remarquera par ailleurs que le couple Clinton essaie à nouveau de saboter les efforts de paix avec l'Iran, en nous rappelant que Bill Clinton est LE CONSULTANT de Noble Energy, principale société qui ont été accordées les concessions d'exploitation  comme l'indique l'article du Jérusalem Post ci-dessus.


http://reseauinternational.net/2013/12/16/les-clinton-vont-ils-saboter-le-r…



Certains politiques français  et américains sont visiblement totalement en phase


Les négociateurs français maintiennent leur ligne intransigeante dans la négociation sur les détails de la mise en œuvre de l’accord intérimaire de Genève sur le programme nucléaire iranien.


http://strategika51.wordpress.com/2013/12/16/iran-les-neo-conservateurs-americains-et-francais-sur-la-meme-longueur-donde/


En se référant aux accords de Genève qui viennent pendant le même temps  d'être violés par l'administration Obama !!


Obama Violates Geneva Agreement
http://www.veteranstoday.com/2013/12/15/obama-violates-geneva-agreement/


Une fois de plus : Faites ce que je dis mais surtout pas ce que je fais.


Enfin, la colère de l'administration américaine devant le NON Ukrainien en dit long sur les réels enjeux de ce partenariat UE/UKRAINE .. Et surtout, il est encore plus intéressant de regarder qui est cette fameuse "opposition Ukrainienne" dont on nous rebat les oreilles sur tous les médias Français.


Et là on découvre avec surprise qu'une des trois composantes les plus importantes de cette opposition, du nom de Svoboda , n'est rien d'autre que l'ancien parti national socialiste Ukrainien  qui n'a abandonné la croix gammée comme symbole qu'en 2003 ! 


http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131214.OBS9588/ukraine-combien-de-fa…


En dehors de l'article du Nouvel Obs, je ne peux que conseiller un article beaucoup plus complet sur le dessous des émeutes Ukrainiennes.
Celui d'Alexandre Latsa, que nous saluons :

http://fr.ria.ru/blogs/20131211/199990522.html

En conclusion de son article , Paul Craig Roberts nous dit : 


Germany alone could save the world from war while simultaneously serving its own interests. All Germany has to do is to exit the EU and NATO. The alliance would collapse, and its fall would terminate Washington’s hegemonic ambition.


Tous les peuples Européens, Français en particulier peuvent bloquer ce processus belliqueux, à condition d'être informés de ce qui se passe vraiment et d'obliger les politiques à redevenir autonomes et souverains. Une première condition étant bien sûr l'abandon d'une monnaie unique qui n'est que le moyen de conserver le pouvoir  politique et économique aux financiers, américains en particulier.


La Russie a réussi à éviter la Guerre en Syrie en Octobre dernier.


WikiStrike appelle les peuples  Européens à se lever en bloc  pour contrer ce processus mortifère conduit  par un empire en perte de vitesse qui ne supporte pas cette diminution de son pouvoir face à la montée en puissance de la Chine et de la Russie.


Les peuples en ont les capacités, ils en ont le pouvoir, à condition de le vouloir ; et pour le vouloir, il faut juste les informer de ce qui est réellement en train de se passer, qu'ils en prennent conscience  et qu'ils s'y opposent par tous les moyens...


Quelque part , tout ceci est en train de devenir une véritable course contre la montre .


 Il y a quelques jours, Goldman Sachs faisait cet invraisemblable chantage à Cameron, essayant ainsi de bloquer un processus démocratique qui est le référendum prévu pour le maintien de la Grande Bretagne dans l'UE: 


Si la Grande Bretagne quitte l'UE, nous quittons la Grande Bretagne .
Goldman Sachs menace de quitter Londres.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203165373523-goldman-sachs-menace-de-quitter-londres-634330.php

Goldman Sachs fait bien entendu partie des actionnaires de la FED.


Les deux pays Européens ayant une dissuasion nucléaire et une armée sont la France et la Grande Bretagne. Si ces pays quittent l'Union Européenne, l'Europe ne peut plus servir de 51ème état, docile et inféodé, comme le prévoit l'actuel pacte transatlantique dont nos dirigeants refusent toujours de nous dévoiler le contenu exact, tellement ce contenu est explosif à tous points de vue, que ce soit en matière de politique étrangère  comme en matière de justice. 

Cf mon article sur le sujet : 
Justice arbitrale et Union Transatlantique : quand une justice privée remplace une justice indépendante



 Et cet exemple pourrait même faire des émules notamment en Espagne…
Je n'irais pas jusqu'à  reprendre les termes du dernier discours d'un député Européen, Godfrey Bloom : 

 

"Ils vont vous pendre et ils auront raison" ...  mais il est urgent de réagir, même sans pendaison. Godfrey Bloom ne parlait que des impôts , là nous parlons de choses encore plus graves.

 
Caro pour WikiStrike 

Et, cela aussi :

(source : World socialist web site)

L'Australie se range derrière les États-Unis pour une guerre contre la Chine

Par Peter Symonds
14 février 2012
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Un rapport sur la stratégie de défense australienne diffusé la semaine passée est la dernière preuve de la poussée irresponsable et agressive, sur tous les fronts, du gouvernement Obama contre la Chine - sur le plan diplomatique, économique et militaire.
Le rapport intermédiaire précise la portée de l'accord militaire annoncé en novembre dernier par le premier ministre australien Julia Gillard et le président Barack Obama. Alors que le stationnement de près de 2.500 marines près de la ville de Darwin au nord de l'Australie a fait la une des journaux, l'accord prévoit un vaste accès aux navires de guerre et aux avions de combat américains dans les bases navales et aériennes australiennes.
Le rapport préconise une importante mise à niveau des installations militaires dans le nord et l'ouest de l'Australie, facilitant ainsi l'exécution d'opérations navales et aériennes américaines d'envergure dans l'Océan Indien et tout le long des grandes routes de navigation à travers l'Asie du Sud Est. En dominant des « goulots d'étranglement » comme le Détroit de Malacca, les États-Unis ont le potentiel, en cas de guerre, de barrer l'accès de la Chine à l'énergie et aux matières de première venant d'Afrique et du Moyen-Orient.
La couverture médiatique australienne du rapport sur la stratégie de défense aurait pu être tirée du théâtre de l'absurde. Alors que le renforcement militaire s'inscrivait clairement dans le plan des États-Unis contre la Chine, les gros titres disaient « La décision de sauvegarder la richesse du Nord » et « Notre Nord vulnérable ». Personne n'a répondu à la question évidente : Le sauvegarder de qui ? Compte tenu de l'alliance militaire États-Unis/Australie, aucun pays avoisinant, y compris la Chine, n'a la capacité de confisquer les gisements de gaz ou d'envahir le « Nord faiblement peuplé » du pays.
L'ouverture de l'Australie du Nord aux forces armées américaines fait preuve d'une attitude agressive et non défensive et qui place le pays en première ligne d'une guerre américaine contre la Chine. Cette couverture médiatique ne sert qu'à endormir les travailleurs face aux immenses dangers que présente le soutien inconditionnel accordé au militarisme américain par le gouvernement travailliste. L'ensemble de l'establishment politique, allant de l'opposition libérale nationale conservatrice aux groupes pseudo-radicaux en passant par les Verts, reste silencieux sur ces décisions criminelles.
La précipitation à publier un rapport intermédiaire énonçant la nouvelle stratégie militaire australienne visait à anticiper toute opposition au sein des cercles dirigeants du pays, dans le contexte de tensions géopolitiques grandissantes. Les préparatifs, faits par les États-Unis et leurs alliés européens pour une intervention politico-militaire en Syrie ainsi que l'intensification des menaces d'action militaire contre l'Iran, entravent directement et tout particulièrement les intérêts économiques et stratégiques de la Chine et de la Russie.
Le gouvernement Obama est aussi en train de renforcer la pression sur la Chine partout en Asie. Le « basculement » de Washington vers la zone indo-pacifique au cours de ces trois dernières années a impliqué une intervention diplomatique agressive dans les conflits territoriaux en Mer de Chine du Sud ; le resserrement des alliances avec la Corée du Sud et le Japon qui ont adopté une attitude plus conflictuelle envers la Chine et l'allié de la Chine, la Corée du Nord ; le renforcement des liens avec le principal rival régional de la Chine, l'Inde ; et le dévoilement d'une initiative commerciale majeure - le Partenariat transpacifique - destinée à fixer les modalités des États-Unis pour le commerce régional aux dépens de la Chine.
En Asie du Sud Est, le gouvernement Obama a encouragé les Philippines et le Vietnam à poursuivre plus fermement leurs conflits maritimes avec la Chine dans la Mer de Chine du Sud et qui ont déjà engendré plusieurs conflits. Les Philippines sont en pourparlers avec Washington au sujet d'un nouvel accord de défense conformément au pacte australien. Celui-ci résulterait en une plus grande présence de l'armée américaine directement dans les parages de ces eaux stratégiquement sensibles et de la Chine méridionale elle-même. Parallèlement, le Pentagone est en train d'établir des liens plus étroits avec l'Indonésie, la Thaïlande et le Vietnam.
Simultanément, le gouvernement Obama travaille assidûment à occasionner un changement en Birmanie - anciennement le plus proche partenaire de la Chine en Asie du Sud Est et un potentiel couloir de transport et de transit d'énergie allant de l'océan Indien à la Chine du Sud. Suite à la visite en décembre de la secrétaire d'État, Hillary Clinton, les États-Unis ont annoncé un échange d'ambassadeurs et une levée partielle des sanctions. Il est significatif de noter, comme l'a rapporté le New York Times cette semaine, les projets du directeur de la CIA, David Petraeus, de se rendre en Birmanie en vue de forger des liens plus étroits entre le service de renseignement et la junte militaire.
Les auteurs du rapport sur la stratégie de défense australienne sont parfaitement conscients de la stratégie américaine. Le document énonce prudemment les « vues stratégiques clés » sur lesquelles il est fondé, y compris l'expansion de la « projection de puissance et des capacités de contrôle maritime » de la Chine ; « la sécurité des voies de communication maritimes et l'approvisionnement en énergie en constitueront un moteur stratégique » ; « la Mer de Chine du Sud restera un potentiel point chaud » ; et « l'Asie du Sud Est gagnera en importance pour créer un équilibre stratégique plus large pour l'Asie-Pacifique ».
La poussée provocatrice du gouvernement Obama contre la Chine a aggravé le dilemme de base auquel le capitalisme australien est confronté : comment équilibrer le soutien pour son allié stratégique de longue date, les États-Unis, par rapport à sa forte dépendance de la Chine pour ses exportations minières. Le fait que Washington ne tolérera aucune ambiguïté a été prouvé par son implication indubitable dans l'éviction de Kevin Rudd de son poste de premier ministre australien au milieu de 2010. Le crime commis par Rudd avait été de tenter de modérer les tensions entre les États-Unis et la Chine alors qu'Obama était déterminé à augmenter la pression sur Beijing et exigeait des alliés fermes et non des médiateurs diplomatiques.
Dans toute la région, le même casse-tête se pose aux gouvernements qui sont économiquement tributaires de la Chine et qui craignent de se trouver du mauvais côté par rapport à la puissance militaire mondiale prédominante. Les tensions géopolitiques grandissantes ont été aggravées par la crise économique mondiale qui s'intensifie. Pour enrayer son déclin économique relatif, l'impérialisme américain recourt à des aventures militaires de plus en plus irresponsables dans le but de saper la croissance d'adversaires potentiels, en premier lieu la Chine.
Une concurrence acharnée sur la scène internationale est assortie d'une attaque brutale contre les droits démocratiques et la position sociale de la classe ouvrière dans chaque pays. Alors que les tensions remontent à la surface, le fait d'attiser le chauvinisme et le patriotisme s'intensifiera indubitablement au moment où les élites dirigeantes cherchent à bloquer la résistance des travailleurs contre leur programme d'austérité. En Australie, les traditions répugnantes sur fond de paranoïa anti-asiatique qui ont formé le fonds de commerce de l'establishment politique, notamment le Parti travailliste, seront ravivées.
L'unique force sociale capable de stopper la poussée vers la guerre est la classe ouvrière internationale. Les alliés des travailleurs d'Australie et des États-Unis se trouvent dans la classe ouvrière chinoise et asiatique. L'unité la plus étroite doit être forgée à travers le rejet de toutes formes de nationalisme et par le développement d'une lutte commune pour une alternative socialiste au système capitaliste qui est la source fondamentale de l'inégalité sociale et de la guerre.
(Article original paru le 11 février 2012)


Vivement que les extra-terrestres débarquent, comme cela, les militaires ricains auront une vraie raison de faire une guerr.
En attendant, un petit conseil pratique.

(source : wikistrike)

Dimanche 15 décembre 2013
Chauffez-vous pour pas cher… avec des bougies (vidéo)
 
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Voici une petite astuce pour chauffer une petite pièce pour quelques centimes d’euro, en utilisant un phénomène physique qu’on appelle convection.
Pour cela vous aurez besoin de trois éléments que vous trouverez partout pour un prix ridicule, si vous ne les avez pas déjà. 
1. un plat métallique, genre plat à gâteau
2. deux pots de fleurs en argile de tailles différentes,  l’un pouvant entièrement recouvrir l’autre
3. ​de bougies que l’on peut trouver un peu partout. Leur taille maximale dépendra évidemment des pots que vous avez choisis.
Une fois réunis ces trois éléments, il ne vous reste plus qu’à suivre les conseils de la vidéo ci-dessous pour obtenir votre chauffaged’appoint grâce à la circulation de l’air chaud que vous aurez produit dans l’espace situé entre les deux pots de fleurs. C’est on ne peut plus simple, et votre porte-monnaie ne s’en trouvera que mieux.
Avic
Source: RI

vvv

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