jeudi 26 juillet 2012

Bon, peu de mots. D'abord, parce qu'avec la chaleur mon train prend du retard et je mets trois heures à rentrer chez moi. Eh, oui, en France, on vend des TGV, mais, lorsqu'il fait trop chaud, les rails se dilatent. Et, vu, le four que peut être mon vieux train, cela ne me fait pas rire.
Par contre, une réflexion et une seule concernant la Syrie, contrairement à ce que tout le monde pense chez les mecs au courant, le président syrien ne prend pas le chemin de l'exil ou de la décapitation au sabre.
Pour le moment, il n'a pas dépassé le record de son père, plus de 25.000 morts. Et, son armée n'est pas celle de Kadhafi. Personnellement, je souhaitais son départ, tout en disant que personne ne viendra en aide aux populations syriennes ou plutôt aux sunnites syriens, même la Turquie, malheureusement. Assad sait très bien qu'il peut reconquérir le terrain perdu. Car, à un moment, la population ne pourra plus continuer à protester devant la terreur qui va s'accentuer.
N'oublions pas ce qu'à fait son père et n'oublions pas ce que Saddam Hussein a fait endurer aux chiites qui s'étaient révoltés dans la zone des marais.
Eh, oui, mes cinq chers lecteurs, le président peut gagner et risque de l'emporter. Sans compter que la Chine et la Russie, estimant s'être gravement fait avoir dans l'histoire de la Syrie vont l'aider à durer jusqu'à la victoire finale.
A bientôt.
René.

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