vendredi 16 juillet 2010

"Celui qui posséde un métier est comme celui qui possède un château-fort". Proverebe Berbère, Oh, combien d'actualité.

Salut à tous ceux qui en plus des compagnies pétrolière vont subir la loi d'airain des compagnies qui développent les agro-carburant !

Eh, oui, mes trois chers et uniques lecteurs, au nom de l'écologie, la bio-diversité et les hommes vont subir de nouveaux assauts. Ah, vraiment, triste humanité qui pour son confort exploite et détruit la nature qu'elle vient juste de redécouvrir.
Finalement, le monde que nous suggére les écologistes sera-t-il plus juste et plus respectueux de la nature que celui qu'il nous propose de quitter ?
Rien,n'est moins sûr, vu la manière dont les agro-carburants sont en train d'accaparer les terres et s'en prendre aux hommes. L'exemple du Kenya augure mal de ce qui se dessine en ce qui concerne le sauvetage de la planète.

(source : Rue 89)

"Déforestation et délogements pour un agrocarburant au Kenya
Par David Barissa Ringa | ONG ActionAid | 15/07/2010 | 17H40

David Barissa Ringa tente d'empêcher l'implantation d'un vaste projet d'agrocarburants dans son pays, le Kenya. Lors de son passage à Paris, il nous a expliqué comment des paysans kenyans sont sur le point d'être expulsés de chez eux pour répondre à la demande européenne d'arriver à 10% de carburants verts d'ici 2020.
Il travaille pour ActionAid au Kenya, une ONG qui lutte contre la pauvreté, et souligne l'absurdité d'un projet qui déplacerait 20 000 personnes, mettrait en danger la biodiversité… pour un carburant aux bénéfices écologiques plus que douteux. Témoignage.
L'an dernier, Kenya Jatropha Energy Limited, filiale d'une société italienne spécialisée dans la production d'énergie électrique, a reçu l'accord du conseil du comté [qui représente les habitants, ndlr] de la région de Malindi pour produire un agrocarburant sur 50 000 hectares de terre.
Les habitants de la région m'ont alerté en voyant arriver les bulldozers : ils n'avaient jamais entendu parler de ce projet, à part quelques dirigeants locaux.
Une terre normalement collective
Contrairement à ce que prévoit la loi kenyane, le conseil du comté n'a pas consulté les communautés qui cultivent cette terre et qu'il est censé représenter. La terre est supposée être une propriété collective, conséquence de la décolonisation : sa gestion appartient à des représentants qui, dans le cas présent, se sont permis de ne pas consulter les principaux intéressés.
Cette région de Malindi, sur la partie côtière du Kenya, contient une forêt où vivent des espèces rares et protégées d'oiseaux. La forêt couvre environ 30% des 50 000 hectares concernés par le projet, et le reste est parsemé de villages.
On estime que sur les 39 000 personnes qui y vivent, 20 000 devraient être déplacées. Parmi elles, une communauté de chasseurs-cueilleurs qui vivent de manière traditionnelle et prélèvent dans leur environnement de quoi se nourrir, mais aussi leur eau et leur médication naturelle."

Alors, qu'en pensez-vous, mes trois chers lecteurs ?
Quelle est le sens de cette histoire quand, les agrocarburants provoquent les mêmes situations de détresses humaines que l'exploitation pétrolière.
Finalement, y'a-t-il une morale à tout cela, docteur ?
Sans doute, les écolos qui s'arrogent le droit d'accuser sauront remédier à ces flops de départ. Autrement, c'est qu'ils ne sont pas différents des autres qu'ils critiquent et subiront la loi du marché.
Mais, passons.
Et, en attendant, aux Etats-Unis, Barack Obama continue à tracer sa route. Il est venu à bout de sa réforme pour moraliser le système financier américain.
Bravo !
Chapeau l'artiste !
Et, l'on peut se poser cette question, "Mais, que fait notre président Sarko pour en faire autant, au lieu de nous abreuver de discours ?"

(source : NouvelObs.com)

"Barack Obama a affirmé jeudi après-midi depuis la Maison Blanche que l'application de la réforme allait mettre fin aux "affaires louches" qui ont mené le système financier américain à la crise de l'automne 2008 et précipité l'économie du pays dans le chaos.
Le texte, de plus de 2.300 pages de la loi "Dodd-Frank" du nom de ses principaux artisans, le sénateur Chris Dodd et le représentant Barney Frank, vise à étendre le contrôle des régulateurs sur des pans entiers de la finance qui lui échappaient. Il prévoit la création d'un organisme de protection des consommateurs de produits financiers au sein de la banque centrale (Fed) et il empêche le sauvetage de grandes institutions financières aux frais des contribuables.
Parmi les autres mesures phare du texte figure une disposition pour un meilleur contrôle de l'immense marché des produits dérivés. Ces outils spéculatifs ont été au cœur de la dernière crise financière aux Etats-Unis.
Le texte contient aussi une mesure surnommée la "règle de Volcker", du nom du conseiller économique de Barack Obama, Paul Volcker, dont l'idée est de détourner les banques commerciales de la "tentation" de prendre des risques pour qu'elles se concentrent sur leurs activités de prêt."

Alors, répétons-le bien fort, "Chapeau l'artiste !"
Par contre, en Chine, cela bouge aussi concernant la corruption ambiante dont il est tant parlé sous forme de sous-entendus en France.
Et, là encore, on peut poser la question, "Mais, que fait notre président Sarko pour en faire autant ?"

(source : le Quotidien du Peuple en ligne)

"Corruption : la justice chinoise a récupéré 4,62 milliards de dollars depuis 2005

La justice chinoise a récupéré 31,26 milliards de yuans (4,62 milliards de dollars) par le biais d'enquêtes et de poursuites dans des affaires de corruption entre 2005 et le mois de mai de l'année, indique le Parquet populaire suprême de Chine.
Les parquets du pays ont eu à connaître 146 570 affaires de corruption impliquant plus de 170 000 personnes, précisent les chiffres révélés mercredi lors d'une conférence nationale sur la lutte contre la corruption et les crimes relatifs au travail."

C'est vrai ça, qu'attends la France pour récupérer de l'argent en réprimant la corruption. C'est bien les beaux discours à deux francs cinquante, mais, où sont les actes ?
Hein, mes trois chers lecteurs, où sont les actes ?
Pipo, pipo et trois fois pipo !
Si, jamais, vous pouvez m'en citer un qui ne consiste pas à taper sur les petits en préservant les gros, je le mettrais la prochaine fois sur ce blog.
Sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et à bientôt.
René.

PS : Suite de mes élucubrations financières avec ma banque, la LCL, crédit lyonnais de Denfert Rochereau.

Donc, après avoir été braqué par ma banque de plus de 700 euros pour un dépassement d'autorisation de découvert de 196 euros, mes aventures continuent.
Je reçois intérêts debiteurs au 30/06/10 de 11,91 et nous sommes le 16/07/2010. Et, ce n'est pas la première fois depuis que je suis arrivé à couvrir mon compte.
Donc, ça, je passe et sans doute ma banque a compri que j'étais une bonne poire qui ne protestait jamais, donc à ponctionner à mort, puisque je suis une grosse poire de victime.
Je reprends mon compte est couvert et comme je m'installe à la campagne, je fais trois chèques dont un quatrième pour payer l'électricité et un de 40 euros pour payer véolia là où je vais habiter.
Donc, en tout 650 euros.
Pas de problème, y'a de quoi et je vais me retrouver à la fin du mois et sans découvert autorisé avec au minimum 150 euros.
Donc, cool Raoul, ça baigne.
Evidemment, cela était sans compter sur la LCL, crédit lyonnais qui a vu marqué sur ma gueule "victime".
Qu'est-ce qu'elle fait ?
je fais un virement automatique pour payer l'école de mon gamin qui me coûte un tiers de mon salaire. Mais, normalement, je ne paie pas pendant les deux mois de vacances. Normal, non ?
Ce que j'avais évidemment spécifié à l'employé de la banque à qui j'avais demandé de mettre en place le virement.
Donc, je redis, tout baigne pour moi et que fait la banque, elle fait, au mois de juillet un virement en faveur de l'école privé de mon gamin.
Trop fort, la banque ! Vraiment, je dois avoir la gueule d'un couillon !
Moi, qui pensais être créditeur de 150 euros à la fin du mois, je suis dans la merde !
Merci, la LCL, crédit lyonnais !
Encore que je ne suis pas au courant.
Et, sans être au courant, je fais, le 15 juillet à mon agence, un virement en plus de ce qu'il est supposé me rester de mon godevi de 150 euros pour être sûr de sûr parce que je pense avoir un dernier chèque sur les quatre qui va arriver sur le tard.
En plus, je dépose un chèque de 2000 euros qui doivent me servir à acheter du matériel pour des travaux.
C'est clair, ça baigne.
Eh, bien, non, grâce à la LCL, crédit lyonnais qui m'a attaché une pancarte "gros couillon" derrière le dos.
Le lendemain matin, ma conseillère me téléphone au boulot le matin. Elle m'annonce tout de go que je vais être interdit bancaire.
Nous sommes le 16 juillet.
Il paraît que j'ai des chèques qui sont arrivés. Ca, je le sais, ce sont deux chèques sur quatre que j'ai émis pour acheter de l'alimentaire et du matériel.
Pas de panique, je lui dis que j'ai mis 150 euros. Elle me répond que cela ne suffit pas. Je lui dis avoir aussi déposé un chèque de 2000 euros. Elle est étonnée et me demande de lui préciser le numéro de bordereau. Heureusement, je l'avais gardé sur moi.
Donc, ça roule à nouveau.
Sauf, que si, ma conseillère ne m'avait pas téléphoné et que le crédit lyonnais m'avait mis interdit bancaire, il me piquait d'office 200 euros en pénalité, 30 euros par chèque, donc 60 euros, plus les intérêts débiteurs, plus, plus.
Alors, que j'étais largement créditeur.
A quoi, joue la LCL, crédit lyonnais ? A voler ses clients ?
Si, la conseillère ne m'avait pas téléphonée, j'aurais été interdit bancaire et la LCL m'aurait volé les 2000 euros ?
Qu'est-ce que les banques veulent qu'on fasse, qu'on rentre dans les agences avec un canon scié et qu'on tire dans le tas ?
C'est ça que les banques veulent qu'on fasse ?
Et, en attendant les dirigeants vont rester planquer dans leurs bureaux pleurant des larmes sur le sort de leurs employés et l'ingratitude des clients ?
Mais, que fait Sarko pour nous protéger des banques voraces et prédatrices ?
Il s'en fout carrément, lui et son gouvernement, voilà, ce qu'il fait !
En fait, les français, à part les riches, il n'en a rien à foutre !
Y'en a marre, moi, je vous le dis. Il faudra qu'un jour ça claque, à force que tous ces cons, tous ces salauds nous prennent pour que de la merde !

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