mardi 6 janvier 2009

"Dieu a de beaux saints". Ylipe. J'avoue que je ne connais pas l'individu.

Salut à tous les peuples ethniquement minoritaires. Survivez, car vous faîtes parti de la richesse du monde.

Evidemment ce souhait pourrait s'étendre à toutes les espèces en voie de disparition. Parce que lorsqu'il n'en restera plus qu'une, nous serons celle-là.
En attendant, n'oublions pas que lorsque les forêts primaires disparaissent ce sont des espèces qui disparaissent et ce ne sont pas les arbres replantés qui vont assurer la diversité végétale. Puisqu'on ne replante que des espèces industriellement exploitable comme le teck en Indonésie, l'eucalyptus en Australie et le pinus en méditerranée.
Alors, attachons-nous à préserver les forêts primaires comme celle que l'on vient de découvrir grâce aux images sattellites, google en l'occurence, au Mozambique.
Cette forêt jusqu'ici inaccessible regorge d'espèces végétales et animales inconnues.
Car n'oublions pas non plus que lorsqu'une forêt primaire disparaît, c'est aussi tous ces habitants qui disparaissent également.Par habitant, je pointe les insectes, les reptiles, les papilons et toute la clique des hommes aussi.
Tels les pénans dans l'état de Sarawak (fédération malaise) ou les Dakaks du côté Indonésien de l'île de Bornéo.
Mais, pour une ethnie qui perd son mode de vie, combien d'insectes, de crevettes de rivière, d'orang outan, d'éléphants sauvages, de serpents et tutti quanti qui disparaissent ? Un nombre incalculable !
Et, oui, mais personne ne pleure sur les malheurs de toutes ces espèces. Sauf qui, je vous le demande mes trois chers lecteurs ?
Moi, moi seul tout !
Et tac, ça, ça vous fracasse la tête.
Car, je vous le dis le souffle des ailes d'une libellule en Lozère a des répercussions au fin fond des montagnes de Chine.
Et, lorsque, comme dit le sorcier Yaqui, on voit, on perçoit toutes l'harmonie des couleurs que produit la diversité biologique du monde.
Par contre lorsqu'on regarde, alors tout n'est qu'apparence et l'on ne s'aperçoit pas que lorsqu'un être manque, tout est dépeuplé.
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui car je ne veux ni parler d'Israël, ni de la réforme judiciaire prônée par notre président de la république qui mettra la justice à sa botte. Après, la reprise de contrôle des médias publics, il ne pouvait faire moins ce cher homme.
Alors, sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.

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