Salut à tous les fachos slovaques, vous avez raison, dans l'équipe de France de foot, y'a plus un vrai blanc !
Et, je dirais plus, les footballeurs n'ont même pas été capables de donner une victoire à Sarko. Même Ingrid Betancourt, la libérable colombienne s'est foutue de sa tronche en remerciant Chirac et son vieux copain Villepin.
Triste, triste, mais, c'est la vie.
A part ça ?
Alors, là, je vous dis, je n'en sais rien. Il paraît qu'il se passe des choses dans le monde ? Désolé, je ne suis pas au courant.
Parce qu'entre-nous, il a été question de la Chine, de la Birmanie, du Zimbabwe, des Touaregs, de deux ou trois manipulations de la CIA, du bon dieu qui n'arrive même plus à parler aux français et des curés qui enculent les petits garçons. Mais, à part ça ?
A part ça, le rêve demeure et l'environnement meure !
Mais, qu'importe.
Tout ça, c'est du binze et rien d'autre.
Pourtant moi, je rêve et j'attends de la vie qu'elle m'apporte du bonheur.
Sauf que le rêve, c'est quoi ? Se faire des lignes de coke comme tout bon politique, avocat, publiciste ou du show bizz ? Ou alors, est-ce simplement vivre avec peu de besoins sur une île en rêve et en couleur ?
Ou, par exemple, attendre des heures en jetant son hameçon tout en espérant pêcher des poissons ?
Alors là, la question se pose, où est-il ce simple petit bonheur que nous attendons ?
En tout cas, je l'ai rencontré hier dans les yeux d'un pote qui a réussi à avoir un pass pour les trois jours de solidays, le cetru de musiques pour lutter contre le sida.
Petit bonheur me direz-vous, mais, petit bonheur quand même quand votre vie se construit que sur des galères.
Alors, je dis mon frère, je suis content pour toi parce que pendant ces trois jours, même si cela sera la galère pour manger, au moins, tu écouteras certaines musiques que tu aimes.
Surtout que les élus sont peu nombreux cette année, vu que les pass gratuits ressemblent à mon chagrin.
Et, de toute façon, même les musicos font de moins en moins de cadeaux aux pauvres ou aux désargentés.
Bientôt, même le plaisir n'appartiendra qu'aux riches.
C'est vrai, qu'ils nous prennent pour des cons tous ces salauds. Même la sueur de nos fronts, ils nous la font à prix réduit.
A se demander, que font les intellectuels....et que font les journaleux.
Ah, oui, il paraît que même eux défendent les grandes industries polluantes lorsque celles-ci leur offrent des voyages.
Enfin, ceci d'après la rumeur publique et comme tout un chacun sait la rumeur publique n'est qu'un tissu de mensonges.
Alors, peut-être que moi, tout bêtement, j'ai construit ma vie sur un tissu de mensonge ?
C'est vrai, n'est bête que celui qui s'y laisse prendre.
Pourtant, longtemps, j'ai cru que ma vie, c'était la sacrifier pour les autres. Cela devait être stupide d'être aussi...."stupide".
Genre truc de débile, quoi !
Surtout, que j'ai failli laisser mes deux gamins sur le bord de la route.
Genre de truc encore plus débile.
Me pardonneront-ils un jour ?
Maintenant que je les retrouve, comprendront-ils aujourd'hui que je les aime et qu'ils n'ont plus à me chercher, parce qu'ils m'ont enfin trouver ?
Trouver maintenant qu'ils sont grands alors qu'ils me cherchaient quand ils étaient enfants.
C'est vrai qu'il faut toujours s'affronter comme me la enseigner mon éducation protestante. S'affronter pour gagner sa part de paradis. Mais, est-ce que cela fallait vraiment la peine ?
Voilà des questions qui se pose à beaucoup de gens. Je vous les laisse. Peut-être n'ont-elles pas de réponse.
En tout cas, pensez y de temps en temps en flânant, car la présence ne se remplace pas.
Sur ce, je vous dis, bien le bonjour chez vous.
Aujourd'hui, j'ai trop le blues pour continuer à écrire, c'est la raison pour laquelle je vous laisse mes trois fidèles lecteurs.
Et, n'oubliez pas, "No passaran !"
René.
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