jeudi 31 juillet 2008

"La terre est une mère qui ne meurt jamais". Proverbe maori. Comme quoi, les proverbes ne sont pas éternels.

Salut à tous les amis de la planète terre, les corbeaux annoncent la future corrida des temps nouveaux.

Alors que vous dire aujourd'hui où toutes nos autorités sont parties se baguenauder en vacances.
Mon dieu, n'y aurait-il plus d'évènements qu'en dehors de notre beau pays ?
Il est vrai que lorsque notre président se barre se dorer la pilule, plus rien ne se passe en France.
Alors, la question se pose, "Est-il un l'évènement à lui seul tout ou crée-t-il l'évènement ?"
Parce qu'autrement, il se place en situation de gourou. Cependant, il se crée des adversaires à sa taille. Notamment en la personne de Bayrou lorsqu'il s'oppose à son éminent président. Avec raison, n'en doutons pas, lui, qui regarde la France s'enfoncer dans le marasme économico-social. Gageons que sa carrière politique prouvera par la suite qu'il a raison, bien plus que les socialos de l'heure actuelle, d'ailleurs.
Et, en attendant, notre très, très éminent président se bronze les orteils, laissant les nouveaux miséreux se multiplier dans le pré carré métropolitains et africains.
Mitterrand a été le président de la génération des nouveaux pauvres, lui, sera le président de la génération des nouveaux miséreux. La France va être recouverte de pauvres hères qui traîneront leurs misérables existences d'allocations en allocations.
Enfin, pas trop longtemps, parce que même les allocations sont parties pour prendre le coup de sabot.
Mais, que dis-je, mais, que dis-je ? Moi, qui venait juste de dire que pendant les vacances présidentielles, le France se plongeait dans une irréparable hibernation.
Donc, la France hiberne, mais, vers quel pays allons-nous tourner notre regard. Vers Bush qui se décide, en fin de carrière à se battre en faveur des droits de l'homme ?
Il faut le dire, et disons-le, il a reçu des membres de l'opposition chinoise. Il faut le dire et disons-le, il accentue les sanctions contre les généraux birmans. Et, la Chine n'est pas en position de faire la fine bouche avec les States, ce qui n'est pas le cas de la France.
A contrario, Sarko a fait des pieds et des mains pour faire comprendre aux chinois que malgré les français, il les aimait bien. Peine perdue, les chinois font de l'obstruction aux investissements français.
Oh, les méchants !
Notre président qui s'imagine qu'il peut manipuler tout le monde s'est encore planté. Eh, oui, les chinois n'ont pas besoin des capitaux français, vu le monde qui se presse au tourniquet.
Peut-être un peu d'humilité lui ferait du bien. Parce que la croissance avec les dents risque de lui faire choper des grosses caries. Et, si, ce n'est pas lui qui les a, ce sont nos super performantes entreprises hexagonales qui vont se les choper.
Alors, quel mea culpa va-t-il être obligé de faire à Pékin ?
A mon avis, il va faire carpette. Parce que les chinois sont vexés de vexés et ce n'est peu dire qu'à Paris, ils ont perdu la face. Et, une face de chinois, cela ne se récupère pas comme ça.
Donc, carpette à Pékin et l'affaire est entendue. Sauf que le gouvernement chinois risque de le claironner à tout va et nous en aurons des échos de toute façon.
En tout cas, bravo pour le comité des J.O qui a accepté que le gouvernement chinois pratique la censure vis-à-vis des journalistes étrangers. Au moins, les J.O s'adapte à toute situation. Et, nos braves sportifs savent eux aussi s'adapter à toute situation comme tous les autres d'ailleurs.......à moins, à moins, mais, laissons cela, c'est un secret des dieux...du stade.
Alors, que dire, que dire, à part que El Nino n'a pas fini de nous faire la fête. Le Pacifique va se transformer en un immense maelström et n'est pas né celui qui dira comment cela va se passer.
En attendant, de plus en plus d'îles cherchent un asile pour leurs populations pour le jour d'une disparition annoncée. Sauf, que personne n'est prêt à les accueillir.
Quant-au Darfour, vu la chaleur qui règne en période chaude, il devrait voir le chant des armes se calmer. En Europe, c'est l'hiver qui n'est pas bon pour la guerre, en zone sahélienne, c'est la saison chaude.
C'est sûrement pour ça que les sahéliens ne comprennent pas la mentalité européenne. C'est pas à cause du décalage horaire, c'est à cause des variations de températures.
Tout ça pour vous dire que le monde est merveilleux et que les enfants dont les parents ne peuvent leur payer de vacances, arrêtent de faire chier. Ils n'ont qu'à rester chez eux !
C'est vrai quoi, qu'ils arrêtent de faire chier !
Après tout, si leurs parents sont des perdants, c'est quand même pas la faute du gouvernement !
Et, en plus, je suis sûr que c'est des enfants de l'immigration !
Non, mais, des fois, on est en France tout de même.
Déjà, qu'ils sont plus nombreux que les français dans le métro. En plus, il voudrait se payer des vacances comme un vrai français.
Bon, j'arrête de déconner, mais, il faudrait peut-être penser à recréer des colonies de vacances. Sauf, que y'a plus de fric.
Et, voilà, sur ces bonnes paroles, je vais vous laisser vous effondrer, vu la chaleur ambiante, 32% à Paris. Même la bière ne passe pas, ce qui dénote de la gravité de la situation.
Mais, malgré tout, là, où on va rire à la rentrée, c'est de voir les syndicats mobiliser leurs troupes.
Alors, bonne bourre et faîtes nous des enfants pour tromper les mauvaises langues sur l'effondrement de la natalité. Car, comme il est dit, plus y'a de peuple, plus les commerçants font monter les prix artificiellement.
Allez, Ciao.
René.

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