jeudi 14 février 2008

"Les généraux triomphent, les soldats tombent". Proverbe japonais.

Salut à ceux qui s'imagine que la politique est là pour s'occuper de la cité. Il y a longtemps qu'ils nous ont passé de la pommade dans le dos.

Je ne sais pas ce qui se passe. Sarko va se rendre en Israël pour le soixantième anniversaire de la création d'Israël.
Après ça, il s'imagine qu'il va passer lui aussi de la pommade dans le dos des pays arabes.
Est-ce que sa fonction ne doit-elle pas le situer en tant que représentant de la France au dessus des querelles partisanes. Surtout, à l'étranger et, en plus dans une zone qui implique une approche mesurée. Là, il se positionne et positionne la France en tant que président.
Où, je ne suis pas d'accord également avec lui, c'est lorsqu'il réclame le gel des colonies israëliennes. Sur ce point là, il ne prend pas de grand risque, Bush est sur la même position. Il ne fait que s'aligner.
En vrai, ce qu'il faut poser haut et ferme, c'est l'évacuation de toutes les colonies du territoire palestinien !
Autrement, il ne pourra jamais y avoir de paix.
Parce qu'entre-nous, la position américaine vis-à-vis d'Israël va certainement changer avec les démocrates. Et, la pression électorale des juifs américains va se diluer dans la masse électorale des latinos et autres minorités émergentes.
Mais, Sarko apparaît pour les arabes pro-sioniste.
De plus, dire qu'il ne serrera pas la main à ceux qui ne reconnaissent pas l'état d'israël, c'est oublier que Kouchner a discuté avec le Hezbollah au Liban.
Bref, tout ça me paraît bien confus, comme d'habitude quand Sarko se prend pour le roi du monde.
Mais, nous n'allons pas que parler de notre président, il y a tant à dire sur le monde. Et, en plus, aujourd'hui, je n'ai pas envie de vous miner le moral car je pense qu'il nous faudrait un Robin des bois pour nous défendre. Du genre qui prend aux riches ou aux institutions pour redistribuer en loucedé aux pauvres. Un qui à travers qui, nous pourrions prendre notre revanche sur tous ceux qui nous prennent à la gorge, le trésor public, les banques, les sociétés de téléphonie, les grosses boîtes de distribution, les, les, les.....etc.
Parce que sans charre, les français vont mal alors que les politiques s'amusent à se coller des peaux de bananes sous les pieds.
Mais, qui pense à nous, à part Robin des Bois !
Entre un destin de Sarko et un destin de Robin des bois, mon choix est vite fait, je choisis celui de Robin. Car, Sarko, il fait plutôt Jean sans Terre à dépouiller les petits revenus.
D'ailleurs, c'est ce qu'il a fait avec son plan Alzeimer. Dixit lui même, "J'ai trouvé l'argent avec les frachises des actes médicaux".
Bien joué et sur qui pèse le plus ce prélevement obligatoire: les petits revenus. Au moins, lui, il va suivre une ligne politique, prendre à Pierre pou habiller Paul.
Comme ça, on est sûr que la croissance va y gagner d'un point. En plus, il est fier de ce qu'il a fait. Moi, je connais une personne qui navigue sur une chaise roulante, qui subit les effets d'une maladie orpheline et qui touche 650 euros de pension. Croyez-moi, depuis, il ne décolère pas parce qu'il pense que bientôt, il ne pourra même plus acheter une partie des médicaments dont il a besoin. Et, je pense qu'en plus, il a voté Sarko.
Comment, voulez-vous qu'en Robin des Bois ne surgisse pas de la nuit, comme Zorro, avec son grand chapeau.
Ah, j'oubliais....avec son grand lasso.
Voyons, lasso, lasso ? Ah, oui, les généraux birmans qui nous préparent un grand rodéo à la sauce démocrate militaire. Ceux-là, ils ont dû comprendre que la mondialisation pouvait leur rapporter beaucoup plus de fric que mettre leur pays en coupe réglé. A surveiller, mes bons amis, à surveiller !
Bon.......cela devrait suffire pour aujoud'hui.
Peut-être que de ce baratin, vous allez sortir quelque chose. Par exemple, revoir un fim sur Robin des bois, le héros de mon enfance si tranquille qu'à l'adolescence, je me suis retrouvé cul nu devant la vie.
Enfin, vous voyez le genre.
Et, donc, je vous salue bien bas et bien le bonjour chez vous.
René.

Aucun commentaire: