mercredi 25 octobre 2017


Le glyphosate : cet ennemi que l’on réprime

 
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0 source : Newsly
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 Hans / Pixabay
Depuis quelque temps, il semblerait que l’utilisation du glyphosate (un herbicide qui comprend plusieurs potentiels gros risques sanitaires) soit de plus en plus restrictive. De nombreux pays souhaitent réguler son usage, voir l’interdire.
Pour en savoir plus, voici une vidéo diffusée sur France 24 :

Le Glyphosate et la France, une histoire d’amour qui finit mal

Depuis le 1er Janvier 2017, l’utilisation du glyphosate dans les collectivités au sein des espaces ouverts et publics est interdite. De plus, au 1er Janvier 2019, son utilisation par les particuliers sera également proscrite. Nicolas Hulot espère également mettre en place une “sortie rationnelle et programmée” du glyphosate en tant qu’herbicide dans les exploitations agricoles.

Le Glyphosate a travers le monde

En 2015, le Sri Lanka est devenu le premier pays au monde à interdire l’utilisation de Glyphosate sur son territoire, sur ordre de son président : Mahinda Rajapaksa. À l’époque, ce dernier avait expliqué que “l’herbicide était responsable d’un nombre croissant de patients souffrant d’une maladie chronique rénale [affectant] 15 % de la population en âge de travailler dans les régions du Nord”. En effet, il faut savoir que, combiné avec une eau riche en calcium, le glyphosate devient un véritable danger pour les reins. Hors, ces eaux riches sont souvent présentes dans les puits, endroits où les gens viennent puiser leur eau, comme, c’est encore le cas au Sri Lanka, ainsi que dans d’autres pays du monde.
La Californie est le premier état des États-Unis a reconnaître que le Glyphosate est probablement cancérogène. L’état de Californie a donc ordonné à ce que l’étiquetage (pour prévenir de leur dangerosité) des bidons de Glyphosate vendus dans le commerce, et ce malgré la forte contestation de Monsanto.
L’Argentine commence également à mettre en place des restrictions locales, après que des lourds problèmes de santé aient été identifiés dans le pays. Ainsi, dans certaines zones du pays, il est interdit de l’utiliser dans les jardins et lieux publics, ou à une distance jugée trop proche des secteurs habités.
Les ONG (tel que Greenpeace) continuent de prévenir les gouvernements sur la dangerosité du Glyphosate et cet appel semble progressivement s’imposer, petit à petit.

(C'est pour ça que bill gates est devenu l'un des principaux actionnaires de mosanto, un moyen comme un autre de réaliser ce qu'il prône, la diminution drastique de la population mondiale. note de rené)



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