mardi 27 juin 2017

CNN – L’autisme est bien causé par les vaccins

CDC-fraude-vaccins-2-Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.
 Un éminent chercheur aux Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le Dr William Thompson admet qu’il a joué un rôle clé en aidant à faire apparaître au grand jour la manipulation des données par le CDC. Cette fraude a consisté à dissimuler une incidence plus élevée de l’autisme due au vaccin ROR chez les garçons afro-américains. Le lanceur d’alerte, le Dr William Thompson a avoué les faits après que le Dr Brian Hooker ait réclamé et obtenu, en vertu de la Loi sur la Liberté de l’Information (Freedom of Information Act ou FOIA), les données originales d’une étude portant sur l’autisme, avec l’aide du député américain Darrell Issa, président de la Chambre de surveillance et de la réforme du gouvernement. Les documents du CDC, ainsi que les discussions avec le lanceur d’alerte révèlent une manipulation généralisée des données scientifiques, ainsi qu’une pression (du haut vers le bas)  sur le scientifique du CDC pour supprimer tout lien de causalité entre le vaccin ROR et le diagnostic ultérieur d’autisme, en particulier dans un groupe d’hommes afro-américains qui avaient reçu leur vaccin « à temps » en conformité avec le calendrier recommandé par le CDC.
Les documents reçus du CDC montrent qu’en 2003, on a découvert comme étant lié au vaccin ROR un risque d’autisme chez les garçons afro-américains de 340%. La découverte de ce risque a été cachée sous la pression de hauts fonctionnaires. Les chercheurs du CDC ont alors recalculé leurs résultats en omettant d’inclure une population donnée afin de pouvoir obtenir les résultats désirés. Mais même en recalculant ainsi les données après avoir omis cette population, un risque significatif d’autisme est encore retrouvé en lien avec le vaccin ROR. La mention d’un tel risque se retrouve par ailleurs également dans la présentation de l’étude originale faite par l’Institut de Médecine (IOM) (cf. pages 29 et 31 de cette présentation)
Le Dr William Thompson qui a travaillé pour l’Agence gouvernementale pendant plus d’une décennie  a confirmé que :
« DEPUIS LES DÉBUTS DE 2003, LE CDC ÉTAIT AU COURANT DE LA RELATION QUI EXISTAIT ENTRE L’INCIDENCE DE L’AUTISME ET L’ÂGE AUQUEL LE PREMIER VACCIN ROR ÉTAIT ADMINISTRÉ CHEZ LES GARÇONS AFRO-AMÉRICAINS, MAIS A CHOISI DE DISSIMULER LA CHOSE. »
Il a fait remarquer :
«  NOUS AVONS PERDU DIX ANNÉES DE RECHERCHE PARCE QUE LE CDC EST ACTUELLEMENT TELLEMENT PARALYSÉ PAR TOUT CE QUI TOUCHE À L’AUTISME. ILS NE FONT PAS CE QU’ILS DEVRAIENT FAIRE PARCE QU’ILS ONT PEUR DES CONCLUSIONS QUI POURRAIENT ÊTRE TIRÉES. »
Il prétend que ses supérieurs ont commis des actes criminels et a exprimé son profond regret quant à son rôle qui a contribué à masquer les données du CDC.
Cette augmentation du taux d’autisme régressif chez les Afro-Américains a bel et bien été trouvée. L’association Autisme Speaks (fondée en 2005 par les grands-parents d’un enfant autiste) signale que « la question du risque d’autisme régressif chez les enfants Afro-Américains a déjà été posée deux reprises ».
Il semble que la chose soit directement liée à la sortie récente des documents du CDC, ainsi qu’aux aveux du chercheur du CDC, le Dr William Thompson.
Les révélations du Dr Thompson remettent en question les neuf autres études citées par le CDC comme preuves permettant de nier un lien entre autisme et vaccins. Ces révélations ont également suscité une pétition (sur change.org) pour que l’étude frauduleuse soit retirée du journalPediatricsqui fut publié en 2004.
Par Jim Rickards.
"Qui
Les investisseurs et les analystes utilisent le terme “Fed” sans réfléchir vraiment à ce qu’est la Fed, et à ce qu’elle n’est pas. Il est important de comprendre la structure de la Fed pour comprendre sa politique.
La Réserve fédérale n’est pas seulement une banque centrale, mais un système comprenant douze réserves fédérales régionales supervisées par un conseil des gouverneurs basé à Washington (DC). Cet organisme central porte le nom de Conseil des gouverneurs du Système de la Réserve Fédérale (Board of Governors of the Federal Reserve System). Il est doté d’un président et d’un vice-président qui sont, actuellement, Janet Yellen et Stanley Fischer.
En outre, cinq autres gouverneurs siègent à ce conseil de sept personnes. En ce moment, deux sièges sont vacants (et aucune nomination n’est en cours en vue de leur attribution) ; l’ensemble du conseil n’est donc composé que de cinq personnes : Janet Yellen, Stanley Fischer, Lael Brainard, Daniel Tarullo, et Jerome Powell.
Si le Conseil des gouverneurs supervise le “système”, il ne s’occupe pas de banques spécifiques. Les activités bancaires sont du domaine des douze réserves fédérales régionales, situées dans de grandes villes comme Boston, New York, Philadelphie, Chicago et San Francisco. Les réserves fédérales sont la propriété des banques commerciales de chaque région. Par exemple, Citibank et JP Morgan sont actionnaires de la Réserve fédérale de New York car leurs sièges sociaux se situent dans le Deuxième District de la Fed, qui comprend New York.
Comme les réserves fédérales régionales ne sont pas cotées, elles élisent leur conseil d’administration et ce sont leurs membres qui votent. À son tour, ce conseil nomme le président de chaque banque. Cela donne parfois lieu à des accusations de conflit d’intérêt car les actionnaires, de fait, nomment leur propre régulateur.
Ce conflit a atteint un paroxysme à l’occasion de la nomination de William Dudley au poste de président de la Réserve fédérale de New York. Dudley est un ancien associé de Goldman Sachs. Or, la Fed de New York supervise directement Goldman. Stephen Friedman, un autre ex-associé de Goldman, était président du conseil d’administration de la Fed de New York au moment de la nomination de Dudley. Le conflit d’intérêt est évident… pourtant, on en a peu parlé, et personne n’a rien fait à cet égard. À la Fed, c’est la routine.
La mise en place de ces douze réserves fédérales régionales remonte à une époque où la conjoncture économique variait énormément d’une région à l’autre des États-Unis, et où les nouvelles circulaient lentement. En 1915, quelques années après la création de la Fed, chaque Réserve fédérale pouvait fixer son propre taux d’escompte, reflet du contexte régional, et mettre en œuvre un resserrement ou un assouplissement monétaire, en fonction de ses besoins.
Aujourd’hui, cela peut paraître bien désuet. Les nouvelles concernant l’activité économique circulent instantanément. Néanmoins, cette structure composée de douze réserves régionales persiste.
Si les décisions liées à la politique des taux d’intérêt sont prises à Washington, elles sont mises en œuvre par le guichet des opérations d’open-market de New York. Contrairement aux autres réserves fédérales régionales, la Fed de New York détient donc un pouvoir exceptionnel : celui d’exercer un effet sur les marchés monétaires.
Un conseil d’administration à Washington a le pouvoir, mais pas de banque. Onze réserves fédérales régionales dans tout le pays, non cotées, ont peu de pouvoir. Enfin, une réserve fédérale régionale, à New York, contrôlée par les plus grandes banques privées et détenant un pouvoir considérable sur le marché, exauce les voeux du Conseil.

Wall Street contrôle la Fed… Oui mais comment ?

La politique monétaire n’est pas fixée par le conseil d’administration ou par les réserves fédérales régionales. Elle est fixée par le FOMC (Federal Open Market Committee, ou comité de politique monétaire, en français), qui est composé de membres émanant du conseil de Washington et des réserves fédérales régionales.
Le FOMC dispose de douze membres permanents, habilités à voter. Les membres du Conseil des gouverneurs représentent sept votes. Les présidents des réserves fédérales régionales représentent les cinq autres votes. Comme il y a douze réserves fédérales régionales, quatre des cinq votes régionaux font l’objet d’une rotation d’un an entre régions. Le cinquième vote correspond au siège permanent qui est attribué à la Réserve fédérale de New York. Donc, le FOMC compte douze votants : sept gouverneurs du Conseil, quatre présidents de réserves fédérales régionales et le président de la Réserve fédérale de New York.
Cette organisation est clairement conçue afin de maintenir le pouvoir entre les mains de Washington et de New York. Si le Conseil et New York s’accordent sur une politique, ils représentent huit voix, par rapport aux quatre voix des autres régions. Washington ne peut jamais être vaincu lors d’un vote.
Les présidents des réserves fédérales régionales peuvent passer à la télé et dire ce qu’ils veulent – c’est d’ailleurs souvent ce qu’ils font. Leurs remarques font bouger les marchés dans un sens ou dans l’autre du jour au lendemain. Mais ce n’est que pour la galerie. A moins de pratiquer le day-trading, il vaut mieux ne pas tenir compte de ce qu’ils disent. Ils n’ont aucune influence sur la politique menée à moyen ou long terme.
Le pouvoir politique, à la Fed, est détenu par quatre personnes : Yellen, Fischer, Brainard et Dudley. Et c’est tout. Si ces Big 4 (Yellen, Fischer, Brainard, Dudley) s’accordent sur la politique à mener, ils obtiennent alors les votes nécessaires qui vont dans leur sens. Tout le reste, c’est de la diversion – voire du divertissement.

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Quoi qu’il en soit, de nombreux citoyens qui considèrent la chose comme un méfait délibéré, à la charge des contribuables, ont entamé une campagne médiatique (Twitter etc.) pour informer le public de cette histoire et de ses conséquences. Les parents espèrent que l’Agence sera tenue responsable des dissimulations qui ont été effectuées. Ils réclament également une enquête pour que l’on puisse savoir si le Dr Coleen Boyle  aurait aussi commis un parjure dans son témoignage devant le Congrès, quand elle avait été publiquement interrogée sur la question des liens possibles entre les vaccins et l’autisme.
Le Département Américain des Ressources de Santé et des Services de l’Administration a déjà reconnu que l’autisme pouvait être une conséquence indirecte de dommages vaccinaux comme ce fut documenté dans la mise à jour du tableau « Dommages vaccinaux » qui a fait suite au rapport de l’Institut de Médecine (IOM) de 2011. Ils ont rejeté l’autisme comme effet secondaire direct et spécifique de la vaccination ROR mais au vu des dernières révélations, les textes pourraient subir des modifications.
Le CDC a répondu à ces allégations en indiquant qu’ils reconnaissaient que cette étude avait montré une augmentation du risque d’autisme avec le ROR :
«  LES RÉSULTATS DES RECHERCHES ONT RÉVÉLÉ QU’ENTRE 24 ET 36 MOIS, LA VACCINATION ÉTAIT LÉGÈREMENT PLUS FRÉQUENTE CHEZ LES ENFANTS ATTEINTS D’AUTISME, ET QUE CETTE ASSOCIATION ÉTAIT LA PLUS FORTE CHEZ LES ENFANTS DE 3 À 5 ANS. »
Ils ont rejeté la chose en avançant l’hypothèse que les parents dont les enfants sont autistes se sont précipités pour les faire vacciner avant de rentrer à l’école.
« LA CHOSE LA PLUS PROBABLE EST QUE TOUT RÉSULTE DES EXIGENCES DE VACCINATIONS PRÉSCOLAIRES »
Programme spécial d’éducation pour les enfants atteints d’autisme
Cela soulève des questions parce qu’il y a des exigences de vaccination pour tous les enfants qui fréquentent l’école publique et que les enfants qui disposent d’une exemption pour les vaccins ont déjà été exclus du compte (de l’étude réalisée).
Deux-bebes1
Le CDC indique également que :
« DES ÉTUDES COMPLÉMENTAIRES, AINSI QU’UN EXAMEN RIGOUREUX PLUS RÉCENT DE L’INSTITUT DE MÉDECINE ONT ÉTABLI QUE LE VACCIN ROR NE POUVAIT PAS AUGMENTER LE RISQUE D’AUTISME. »
Les études sur lesquelles le CDC se base pour affirmer qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont au nombre de 4. Le CDC reprend ces études sur son site. Un rapide coup d’œil à ces 4 études soulève plusieurs questions.
* La première étude montre un lien significatif (entre les vaccins et l’autisme)
* La seconde étude a été réalisée par l’infâme Dr Thorsen qui attend son extradition vers les Etats-Unis pour cause de fraude. Il est repris sur la liste du CDC comme l’homme le plus recherché – l’instance ayant remis tout son travail en question- et ceci sans parler des autres problèmes potentiels qui ont été soulevés au sujet de cette étude.
La troisième étude est de nature préparatoire/préliminaire. Elle se base sur de très faibles échantillons : 28 enfants au total, ce qui est très peu.
La dernière étude a porté sur 31 enfants pour l’échantillon de contrôle et s’est appuyée sur des entrevues avec les parents pour fournir des renseignements médicaux et comportementaux. Ensuite, ils ont constaté que plus de la moitié (50%) des enfants atteints d’autisme ont régressé peu de temps après la vaccination ROR ((dans un délai de moins de 5 mois après la vaccination), alors même qu’ils ont conclu qu’il n’y avait pas de connexion.
Cela pose la question de savoir pourquoi il n’y a que quatre études qui ont été utilisées pour appuyer les allégations que le ROR est un vaccin sûr. Une recherche rapide sur PubMedpermet de tomber sur un document de recherche de 2012, revu par les pairs et qui a porté sur l’étude de plus de 500.000 enfants. Cette recherche a mis en évidence une augmentation significative des effets secondaires après la vaccination ROR: 22 fois plus de risques de méningite, 500% d’augmentation du risque de convulsions fébriles et autres effets secondaires majeurs, y compris des troubles de la coagulation.
La récente publication d’un autre document, relatif à une enquête du Ministère de la Justice en 2002, a montré que le Dr William Thompson était à ce point préoccupé par ce rapport qu’il a envisagé de retirer son nom du document. A la lumière de ses récentes déclarations et des documents publiés sur cette affaire, ne serait-on pas en droit de se demander si tous les avocats concernés n’auraient pas tenté  d’empêcher la divulgation de cette information ?
Source: CNN
Voir aussi:  Les aveux, déjà en 2008 sur CBS, du Dr Bernadine Healy, ancienne Directrice du National Institute of Health (NIH). La question du lien entre autisme et vaccins n’est pas tranchée disait-elle, il existe des inquiétudes et le refus par les autorités d’appliquer une vraie Science amène à sacrifier des enfants qui vont être rendus inutilement autistes alors qu’on aurait pu les dépister…
Qu’est-ce que l’autisme? Est-ce si grave et si coûteux ? Rendez-vous compte par vous-même en regardant ci-dessous du temps 3.28 à 4.08  (Pour info, en Belgique, il y a plus de 100 000 autistes dont une majorité de cas d’autisme régressif, soit le type d’autisme qui survient après des vaccins et qui se caractérise par un développement parfaitement normal au départ suivi d’une sorte de « cassure » dans le développement qui correspond au déploiement dans le temps des effets neurologiques des vaccins) :
Sources:
CNN iReport, 24 août 2014

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