mercredi 30 novembre 2016

JE VEUX COMPRENDRE : LE PROBLÈME DE L'ADJUVANT À BASE D'ALUMINIUM DANS LES VACCINS
source : site.generationscobayes.org
De plus en plus de voix s'élèvent pour critiquer les vaccins contenant un adjuvant à base d'aluminium. Pourquoi ? En se basant sur le film L'aluminium, les vaccins et les deux lapins de Marie-Ange Poyet, on fait le point sur ce qu'il en est à l'heure actuelle.
Nous avons assisté à la projection du film L'aluminium, les vaccins et les deux lapins de Marie-Ange Poyet, sorti le 15 octobre 2016 dans le cadre de l'évènement national du 15 au 22 octobre organisé par l’association E3M1 : “Pour des vaccins sans aluminium : 7 jours pour agir”.Cet article est donc basé sur ce qui est montré dans ce documentaire.
Quelques rappels concernant les adjuvants dans les vaccins : 2/3 des vaccins tout public aujourd’hui contiennent un adjuvant nommé l'hydroxyde d’aluminium (par exemple les vaccins contre les hépatites A et B, le tétanos, le charbon/anthrax, le papillomavirus, etc.), qu'on soupçonne être la cause du développement d'une myofasciite à macrophages chez certains patients. Attention la vaccination est très importante malgré tout ! C’est l’adjuvant aluminique qui est toxique.


La vaccination : un geste indispensable pour sauver des vies, mais qui pourrait aussi en détruire... - Crédits : Pixabay

LA MYOFASCIITE À MACROPHAGES
La maladie qui révèle le plus l’impact de l’aluminium des vaccins dans le corps est la myofasciite à macrophages. Elle concernerait un millier de personnes aujourd’hui en France et une dizaine de milliers en Occident, sans prédominance de sexe ou d’âge malgré une majorité d’adultes. Des lésions ont été repérées dans le muscle des malades où le vaccin a été injecté. Ces lésions ont été examinées et des experts ont découvert des particules d’aluminium en leur sein. Le seul diagnostic possible se réalise par biopsie 18 mois minimum après l’injection d’un vaccin. En effet, les lésions musculaires sont normales à la suite d’un vaccin mais elles décroissent avec le temps. C’est cette persistance anormalement prolongée qui est détectée chez les malades.
Les symptômes de cette maladie se présentent sous plusieurs formes : fatigue chronique, douleurs chroniques, problèmes cognitifs (problème de mémoire, de concentration par exemple), maux de tête, etc. Ils peuvent se déclarer plusieurs mois ou années après une vaccination. De plus, il est noté une augmentation de l’immunoglobuline E (un anticorps) chez les personnes atteintes ; cet anticorps est déjà élevé chez les personnes allergiques. C’est une maladie très dure à soigner et très invalidante dans la vie quotidienne, pour les malades comme les proches : vie sociale détruite, isolement, gestes et loisirs fortement impactés comme lire un livre ou marcher. Cette maladie a été découverte pour la première fois en 1993.

EXISTE-T-IL D'AUTRES IMPACTS ?
Les pathologies imputables à l’aluminium dans les vaccins sont entre autres la maladie d’Alzheimer,la maladie de Parkinson, la maladie de Crohn, la sarcoïdose,le syndrome de fatigue chronique, la sclérose en plaques. Le vaccin du papillomavirus est accusé de favoriser la stérilité féminine en dégradant ou détruisant la maturation des ovules. L’adjuvant à l’aluminium déclencherait même la destruction des neurones induisant des altérations du comportement, ce qui met en lumière un lien entre les vaccins et l’autisme.

L'ÉTUDE DES DEUX LAPINS
On a injecté de l’aluminium isotopique dans le muscle de deux lapins (uniquement). L’étude a duré 28 jours. Résultat : au bout de 28 jours, il s’est avéré que seulement une minorité de cet aluminium avait été éliminé par les urines, c’est-à-dire que la majorité de l’aluminium est resté dans le corps. Par la suite, aucune étude n’a été réalisée sur le muscle ni dans les os de ces lapins (ils ont été “perdus”). Seul l’argument contribuant à dire que très peu d’aluminium avait été retrouvé dans le cerveau a été retenu. À ce jour, cette étude est la seule référence affirmant que l'ajout d'aluminium dans les vaccins est sans effet sur notre corps, référence totalement tronquée.


Voici l'intégralité des cobayes de l'étude servant à nier les effets nefastes de l'aluminium sur notre corps... - Crédits : Pexels

HISTOIRE DE L'ALUMINIUM DANS LES VACCINS
La révolution industrielle présente l’aluminium comme le métal de l’avenir. Il est utilisé dans tous les domaines, de la cuisine à la médecine. En 1891, une controverse naît aux Etats-Unis sur l’utilisation de levure chimique contenant des dérivés de l’aluminium considérant l’aluminium comme dangereux dans l’alimentation car il migre dans les aliments. Les enjeux économiques opposant les industriels aux scientifiques commencent. La mise en circulation prime sur les dégâts potentiels d’un procédé controversé et dont les preuves ne sont pas suffisantes. C’est l’instrumentalisation du doute.
En 1926, l'aluminium est utilisé pour la première fois comme adjuvant dans les vaccins.
En 1974, l’institut Pasteur retire l’aluminium de ses vaccins et le remplace par le phosphate de calcium, qui est un composant naturel de l’organisme. Mais en 1986 l’institut Pasteur est racheté par l’institut Mérieux (Sanofi2) qui décide de réutiliser l’aluminium pour des raisons de “simplification des méthodes de production”, parallèlement à la falsification d’une étude sur le phosphate de calcium, l'accusant d’être allergène.
En 1994, une anomalie est mise en évidence pour la première fois lors d’une biopsie musculaire. On met également en évidence la migration de l’aluminium dans le cerveau des années après l’injection, et la formation de lésions organiques dans le cerveau est confirmée par IRM. En 2008, on prend conscience des méthodes empiriques sur la question des vaccins, car l'effet d’empreinte à long terme n'est ps connue. En 2012, les vaccins étaient à l’ordre du jour dans les programmes à la présidentielle de M. Hollande, mais ils ont été malheureusement très vite oubliés par le ministère de la Santé et Marisol Touraine. La relation aluminium-maladie est reconnue mais aucune indemnisation n’est accordée. En 2013, l’association E3M et une vingtaine de malades entament grève de la faim pour se faire entendre. Le ministère de la Santé débloque 150.000€ de fonds pour la recherche.Les résultats ont été transmis au ministère en 2015 mais depuis plus rien, aucune nouvelle.

ET MAINTENANT ?
Les choses comment à bouger aux USA car cela représente un coût toujours plus élevé pour les assurances. D’ici 2 ou 3 ans, la technique de diagnostic pourrait être différente : l’IRM pourrait remplacer la biopsie dans le cas de la myofasciite à macrophages. D’ici 2, 3 ou 4 ans, E3M espère un changement et une prise de conscience réelle, mais seul un mouvement citoyen peut faire changer les choses. C'est donc à nous tous de nous mobiliser sur le sujet et de partager l'information !
Pour plus d'informations, n'hésite pas à faire un tour sur le site d'E3M, vaccinssansaluminium.org.

Article : Sandra



1  E3M : association accompagnant les personnes atteintes de myofasciite à macrophages, maladie liée à l’aluminium utilisé dans les vaccins.

2  Sanofi est un partenaire commercial de l’Oréal et Nestlé, qui sont les groupes internationaux n°1 en matière de cosmétiques et d’alimentation. Tous les domaines sont regroupés pour avoir un pouvoir industriel et économique sans précédent. Les lobbys n’ont donc aucun intérêt à ce que l’aluminium soit enlevé en vue du chiffre d’affaire produit - le marché du vaccin représente des milliards de dollars,  alors que le DTPolio est moins cher avec le phosphate de calcium qu’avec l’aluminium en adjuvant. L’industrie et la finance semblent plus importantes que la santé publique... Aucune étude sur les bienfaits de l’aluminium n’a été réalisée. La majorité des experts sont en conflit avec les industriels. Aucun expert de l’aluminium n’a été contacté, même pas durant les campagnes sur le papillomavirus. Ceux qui démontraient la toxicité de l’adjuvant ont été traîtés de charlatan, rabaissés, inconsidérés par la profession. L’autorisation clinique a été donnée aux vaccins mais jamais à l’adjuvant lui-même, comme c’est le cas pour les pesticides (ex : glyphosate) : l'autorisation clinique porte sur le principe actif mais pas sur les adjuvants.

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