vendredi 15 août 2014

(blog à finir et à corriger)

En ont-ils pas marre, mes chers cinq lecteurs, de soutenir les dérives des multinationales américaines appuyées par le gouvernement obama et d'en rajouter dans la désinformations pendant que le gouvernement de Kiev tue des civils dans un but de nettoyage ethnique.
Ils nous mentent et leur grands principes ne s'applique même pas aux portes de l'Europe.
En soutenant un gouvernement fasciste à Kiev qui n'a pas cherché à négocier et a d'ailleurs fait en sorte qu'aucune négociation ne puisse avoir lieu. Ce même gouvernement qui est sans doute responsable de l'explosion de l'avion de la Malaysian airline puisque c'est la tour de contrôle de Kiev qui l'a obligé à se détourner de sa route.
Oui, mes chers lecteurs, jusqu'à quand, nous prendront-ils pour des cons, comme ils l'ont fait avec les 1000 milliards prêtés aux banques européennes. Ces mêmes milliards à un 0 taux d'intérêt aussitôt re-prêtés pour sa majeure partie à 1 ou 2 à la Banque Européenne.
Mais, par contre, toujours pour nous prendre pour des cons, ils annoncent qu'ils vont demander aux banques ce qu'elles en ont fait, alors qu'ils savent très bien comment cet argent a été utilisé, une partie sont revenus à la Banque centrale européenne et l'autre partie pour la spéculation internationale et rien dans l'économie réelle.
Oui, cette Europe là sent la corruption à plein nez et nous prépare avec le TAFTA un sombre avenir. Sauf que certains ont assuré leur avenir et celui de leur famille au détriment de la santé et l'avenir de tous les citoyens européens.

(source : Ria Novosti)

Les agriculteurs européens souffrent de l'embargo russe

Dossier: Riposte russe aux sanctions de l’Occident

Rossiïskaïa gazeta
13:03 15/08/2014
MOSCOU, 15 août - RIA Novosti
Les experts des ministères de l'Agriculture de l'UE et les 28 membres de la Commission européenne ont évoqué le 14 août l'indemnisation des agriculteurs européens, sérieusement touchés par les mesures de rétorsion prises par la Russie pour réagir aux sanctions de l'UE, écrit jeudi 14 août le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
On ignore qui bénéficiera du fonds de réserve de 420 millions d'euros, à quelles conditions et quel sera le montant mais la Pologne, la Grèce, la France, l'Allemagne, la Belgique, l'Italie, l'Espagne et les pays baltes ont déjà demandé une assistance financière. Même si Bruxelles allouait des fonds pour couvrir les énormes pertes subies par les dizaines de milliers de fermiers à travers l'Europe, cela ne permettrait pas de compenser à long terme la perte du marché russe.
Athènes prévoit que la situation sera critique dès l'automne, compte tenu des éventuelles perturbations des fournitures de gaz russe via l'Ukraine. Les Grecs procèdent de toute urgence au stockage de 130 000 mètres cubes de gaz liquéfié dans leurs réserves souterraines. Toutefois, cette quantité suffira uniquement pour assurer 10 jours de consommation normale.
"Etant donné que de nombreuses entreprises grecques fonctionnent au gaz et qu'un quart de l'électricité du pays est fabriqué avec du gaz, une véritable crise politique attend la Grèce. Et l'opposition, qui exige instamment du gouvernement qu'il quitte le régime de sanctions contre la Russie, fera tous les efforts nécessaires pour cela", explique un haut fonctionnaire grec.
Néanmoins, au niveau officiel, le gouvernement grec s'efforce de garder son calme. "Notre politique ne peut pas se construire sur les fournitures de pêches", a récemment déclaré la porte-parole du gouvernement grec Sophia Voultepsi, ajoutant que la Grèce n'avait pas l'intention de saborder son alliance avec l'Occident.
Cependant, les fermiers grecs, révoltés par la politique actuelle d'Athènes et qui pâtissent de la guerre commerciale entre l'UE et la Russie, pourraient "saborder" le gouvernement déjà fragile d'Antonis Samaras.
Dans les régions horticoles du nord de la Grèce - les plus touchées par les mesures de rétorsion russes - des dizaines de milliers de familles vivent uniquement des revenus de la vente de fruits. Selon les médias grecs, près de 3 000 camions de fruits frais ont dû revenir en Grèce après l'interdiction d'importer en Russie des produits agricoles européens.
Dans ces circonstances, les fermiers grecs ont commencé à se réunir pour soumettre des demandes collectives d'indemnisation des pertes déjà subies, mais il est pratiquement impossible de calculer la somme exacte du préjudice par rapport aux prochaines récoltes.
"La confirmation des indemnités que nous attendons de l'UE serait une bonne chose, mais cela ne règle pas le problème. Il sera résolu si nous revenons sur le marché russe ou si nous trouvons des marchés alternatifs", a déclaré mardi le vice-ministre grec des Affaires étrangères Dimitris Kourkoulas.
Mais les fermiers grecs ne sont pas optimistes quant à cette dernière variante.
"Nous avons fait beaucoup d'efforts pour entrer sur le marché russe parce qu'il était impossible d'entrer sur d'autres marchés. En UE, nous sommes confrontés à une concurrence inévitable avec l'Italie et l'Espagne. J'ai personnellement essayé de placer nos produits sur les rayons de grands réseaux commerciaux européens, mais cela ne les intéresse pas", déplore Christos Jannakakis, président de l'association des coopératives agricoles de Grèce."

En attendant, le gouvernement de Kiev cherche à provoquer un conflit avec l'Europe.

(source : idem)

L'UE suggère à Iatseniouk de se tenir à l’écart du gazoduc

Dossier: Riposte russe aux sanctions de l’Occident

L'UE suggère à Iatseniouk de se tenir à l’écart du gazoduc
11:28 13/08/2014
Par Andreï Fediachine, La Voix de la Russie – RIA Novosti
Selon Eurostat, l’embrago russe signifierait une perte nette de 12 milliards d’euros sur les exportations. Le 14 août, les experts en agriculture se réuniront d’urgence à Bruxelles pour discuter de la stabilisation des marchés. L'Eurostat, estime les pertes nettes liées à l’embrago russe à 12 milliards d’euros.
Certains membres de l’Union européenne, notamment ceux qui revendiquaient à cor et à cri les sanctions contre Moscou, songent déjà à déposer plainte contre la Russie devant l’OMC. Mais, comme l’a rappelé le chef de la diplomatie russe Sergei Lavrov, c’est Bruxelles elle-même qui avait poussé Moscou à prendre les mesures en réponse.
Les sanctions décrétées par l’UE ont considérablement limité les possibilités de financement des fermiers russes notamment par la banque agricole Selkhozbank. Cela créait une concurrence déloyale favorable aux producteurs européens sur le marché russe. On ne peut pas dire que la Russie sortira indemne de cette " guerre des sanctions ". Certains produits vont manquer pendant le changement des fournisseurs, reconnaît Sergueï Khestanov, expert russe en finances.
" Il n’existe pas de pénurie de produits alimentaires dans le monde. En revanche, ce sont les débouchés qui manquent si bien que de nombreux pays se feront un plaisir d’écouler leurs produits alimentaires en Russie. Et pendant ce temps, l’UE cherche frénétiquement des moyens permettant " d’atténuer la riposte russe ".
En outre, l’Ambassadeur de Pologne aux États-Unis a exigé d’ouvrir le marché américain aux pommes polonaises, mais Washington a dédaigné les raisonnements ce genre : " vous nous avez incité à décréter les sanctions, maintenant mangez nos pommes ".
Les Finlandais ont décidé quant à eux de mettre sur le marché les produits laitiers et carnés destinés à la Russie. En même temps, Bruxelles ne ménage aucun effort pour dissuader l’Amérique Latine et les pays d’Asie de proposer leurs produits sur les marchés russes. Or, le Brésil a déjà autorisé à ses 90 nouveaux abattoirs à exporter sans délai leurs produits en Russie. Le Chili et l’Argentine ont pris contact avec Moscou.
Kiev a également pondu son train de sanctions qui est un véritable pêle-mêle, s'étendant de l’interdiction des investissements et la distribution des livres et des films russes, jusqu'aux importations des produits manufacturés et les tournées des stars du show-business. Mais dans leur volonté de plaire à Washington, les autorités de Kiev ont pris l’initiative qui a fait enrager l’Europe. Le premier ministre Arseni Iatseniouk a menacé d’interdire le transit par l’Ukraine de toutes les ressources russes, y compris " le transit de gaz ".
Comme le font savoir les journaux européens, Iatseniouk s’est immédiatement fait rabrouer. On lui a notamment fait comprendre en privé qu’il devait " se tenir à l’écart du tube à gaz ". Les géants allemands de l’énergie comme RWE, E.On et Wintershall, ainsi que le slovène SPP ont déclaré qu’ils refusent même de commenter ce genre d’absurdités.
Les pays de l’UE seront touchés de plein fouet par l’embargo russe, mais ces sanctions de réponse n'épargneront pas non plus les pays hors d'UE. C’est le cas de la Norvège qui livrait à la Russie pour 1,2 milliard de dollars de produits alimentaires, des États-Unis (844 millions), du Canada (374 millions) et d’Australie (182 millions). En outre, le gouvernement australien a menacé en réponse de ne pas vendre de l’uranium à la Russie. Cette déclaration a rendu Moscou perplexe parce que la Russie possède ses propres réserves d’uranium qui lui suffiront pour encore au moins 250 ans.
La Voix de la Russie

Et, dernière nouvelle du convoi humanitaire russe.

Une dizaine de blindés russes se sont rassemblés à la frontière ukrainienne

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

15.08.2014 17h08

Dans le contexte de tension actuel, voici sans doute une nouvelle qui ne va pas contribuer à la faire baisser : une colonne d'une dizaine de transports de troupes blindés russes a emprunté vendredi la route vers le poste-frontière de Donetsk.
D'après l'AFP, ces blindés faisaient mouvement vendredi matin dans le sud de la Russie à proximité de la frontière avec l'Ukraine, près de l'endroit où sont stationnés les quelque 300 camions transportant de l'aide humanitaire russe destinée aux populations victimes des combats dans l'Est ukrainien.
Selon des journalistes également sur place des quotidiens britanniques Guardian et Telegraph, pas moins de 23 véhicules blindés de transports de troupes, des camions d'essence et d'autres véhicules logistiques portant des immatriculations militaires russes avaient traversé la frontière près du même poste-frontière, la veille peu avant 22 heures, heure locale.
Dans le même temps, le convoi d'aide humanitaire russe est lui-même stationné depuis jeudi soir dans la localité de Kamensk-Chakhtinski, située à une trentaine de kilomètres du poste-frontière de Donetsk. Les camions russes peints en blanc, affrétés par le ministère russe des Situations d'urgence, doivent apporter une aide humanitaire aux populations essentiellement russophones de l'Est ukrainien. Mais l'Ukraine a cependant mis des conditions strictes à l'éventuelle entrée de ce convoi sur son sol, qu'elle soupçonne de pouvoir cacher ou préparer une intervention russe."

Et, en attendant sur le toit du monde, le changement climatique se fait sentir.

(source : le Quotidien du Peuple)

Le Toit du monde plus chaud et plus humide

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

15.08.2014 15h32

En Chine, le plateau tibétain a connu de bien plus grosses chaleurs durant ces cinq dernières décennies qu'au cours des deux mille dernières années, et on lui prédit un futur encore plus chaud et plus humide, ont montré mercredi de nouvelles recherches.
Le Toit du monde qui se trouve à une altitude moyenne de plus de 4 500 mètres, deviendra plus chaud et plus humide au cours du 21e siècle, selon un rapport publié par l'Institut de recherche du plateau tibétain de l'Académie chinoise des sciences (CAS).
L'étude indique que l'écosystème du plateau s'est dans son ensemble amélioré, à la fois dans la zone tempérée et forestière qui sont en pleine expansion, alors que la dégradation des zones humides a ralenti depuis 2000.
Cependant, le document avance que la zone de pergélisol (zone inhabitée), principalement située dans région autonome chinoise du Tibet au sud-ouest du pays, continuera de se rétrécir et que la désertification va s'aggraver .
Les risques de catastrophes naturelles, comme les glissements de terrain et les crues torrentielles, devraient augmenter sur le plateau en raison non seulement d'un climat plus chaud mais aussi de l'accroissement des activités humaines.
Le rapport indique que le gouvernement régional tibétain doit s'activer à réduire l'impact négatif des activités de l'homme sur l'environnement et de renforcer sa capacité à prévoir les catastrophes. 


vv


Aucun commentaire: