lundi 18 août 2014

(blog à finir et à corriger)

Décidément, mes chers cinq lecteurs, je suis définitivement pour que la France sorte de l'Union Européenne, sorte de leur Europe et je voterais pour tout candidat qui se prononcera pour cette sortie. Et, que l'on reconstruise une autre Europe, mais, cette fois-ci, une Europe des nations qui ne soit pas commanditée par la finance internationale, notamment les gars de wall Street et les multinationales.
Oui, je voterais pour ce candidat et ceux qui continuent à affirmer que l'on peut la changer de l'intérieur, votez pour nous, se leurrent ou nous trompent volontairement.
Y'en a marre de cette Europe faite, bâtie par les puissants pour les puissants et non pas pour les citoyens, exactement à l'image de ce que sont devenus les Etats-Unis.

(source : Etat du monde, Etat d'être)

potagers-interdits

Europe : vers une interdiction des potagers privés

(Source : Chaos Contrôlé)

(c) http://www.deesillustration.com/
Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne souhaite l’illégalité de la pousse, la reproduction ou la vente des semences de végétaux qui n’ont pas été testées et approuvées par une nouvelle autorité, l’Agence européenne des variétés végétales. En criminalisant la culture privée de légumes, la Commission européenne remettrait le contrôle de l’approvisionnement alimentaire à des sociétés comme Monsanto.
Les eurodéputés verts voient d’un mauvais oeil la proposition de la Commission jugée « contreproductive et dangereuse »: « La biodiversité est en danger. Les multinationales ont focalisé leurs efforts sur la création de plantes à haut rendement, mais qui sont fragiles. Elles ne peuvent subsister que dans un environnement artificialisé dépendant des engrais chimiques et des pesticides, donc du pétrole », affirme José Bové.
Plus de semences régionales, plus de variétés ancestrales ou endémiques. Bref des semences F1, transgéniques ou pire OGM. Fin de la bio-variété dans nos jardins. Fini les jardins ouvriers et les marchés d’échanges de plants et semences entre particuliers. Bref finie la bonne bouffe.
Le texte pondu par notre chère commission européenne, rien que le titre vaut le jus : « Des règles plus intelligentes pour des denrées alimentaires plus sûres: la Commission propose un paquet législatif primordial pour moderniser, simplifier et renforcer la filière agroalimentaire en Europe ».

Oui, malgré, leurs belles paroles, nos gouvernants sont complices.
Les experts, corrompus ou pas (il ne doit pas y en avoir beaucoup d'honnêtes), nous vendent littéralement à l'arbitraire de la finance internationale qui est surtout américaine, ainsi qu'aux multinationales qui sont surtout américaine.
Cette même finance et ces mêmes multinationales qui finiront par pousser le peuple américain et qu'ils réprimeront par l'armée et la police qui se militarise, alors que ces gens là sont payés par les impôts des citoyens.
Si, les américains ne veulent pas vivre cette situation, je leur conseille d'arrêter de payer leur impôt à un gouvernement qui n'en a rien à foutre de leur "gueule !"
Mais, passons.
Et, dans la rubrique, " Nous avons scié la branche sur laquelle nous étions assis".

(source : Sciences et Avenir)

Mercure : le poisson de l'Atlantique Nord est le plus contaminé

La concentration de mercure dans les océans a triplé en 100 ans. Or ce métal se retrouve ensuite dans nos assiettes, non sans risque pour notre santé.

Le mercure, sous sa forme organique appelée "méthylmercure", se loge dans les chairs des poissons. George TserpesLe mercure, sous sa forme organique appelée "méthylmercure", se loge dans les chairs des poissons. George Tserpes
Dans les océans, la concentration de mercure a triplé depuis le début de la révolution industrielle, selon une étude franco-américaine publiée dansNature. En cause : les activités humaines comme la pétrochimie et l’exploitation minière.
Les eaux profondes de l’Atlantique Nord sont particulièrement touchées, selon les auteurs. Ainsi, à 5.000 mètres de profondeur, la pollution engendrée par l’homme il y a plus de 100 ans continue à s’accumuler dans la chaîne alimentaire océanique. Jusqu'à se retrouver dans nos assiettes.

Deux tiers du mercure dans les 1.000 premiers mètres

Entre 2006 et 2011, cette équipe de chercheurs, dont fait partie Lars-Eric Heimbürger du Laboratoire Géosciences Environnement de Toulouse, a prélevé des milliers de litres d’eau lors de huit campagnes océanographiques réalisées tout autour du globe.
POLLUTION. Elle a ainsi constaté des teneurs en mercure anormalement élevées dans les eaux de surface et dans les eaux profondes de l’Atlantique Nord, en comparaison avec la concentration relevée dans l’Atlantique Sud, dans l’océan Antarctique (encore appelé "océan Austral") et dans l’océan Pacifique.
"L’ampleur de la pollution anthropique au mercure dans les océans est estimée à 290 millions de moles (soit 58.000 tonnes de mercure), dont près des deux tiers résident dans les mille premiers mètres de profondeur", résument-ils dans leur publication.
PREMIÈRE. Des résultats majeurs pour la communauté scientifique. "Bien que plusieurs modèles informatiques ont déjà estimé la quantité de mercure dans l'océan, c'est la première étude qui fournit les mesures de concentration du mercure en fonction de la profondeur et des zones géographiques", commente la journaliste scientifique Anne Casselman dans un article publié dans Nature.

Le mercure est toxique pour le système nerveux

PRÉDATEURS. Le mercure, sous sa forme organique appelée "méthylmercure", se loge dans les chairs des poissons. Et à chaque fois qu’un poisson en mange un autre, la teneur en méthylmercure s'accumule. Résultat : les plus grands prédateurs des mers, les thons, requins et autres espadons présentent les plus hauts taux de contamination.
Or à haute dose, le méthylmercure est toxique pour le système nerveux central de l'homme, en particulier durant son développement in utero et au cours de la petite enfance, indique l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) sur son site internet. Cette substance peut ainsi provoquer des troubles comportementaux légers ou des retards de développement chez les enfants.
RISQUE. Court-on actuellement un risque à manger régulièrement du poisson ? Non selon l'Anses qui estime à ce jour que la consommation de poissons "ne présente pas de risque pour la santé au regard du risque lié au méthylmercure". Car l'apport de la population en méthylmercure est inférieur à la dose journalière tolérable définie par l'Organisation Mondiale de la Santé.
La dose journalière tolérable est la quantité de substance qui peut être quotidiennement ingérée par le consommateur sans effets néfastes pour sa santé.


vv

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