samedi 18 janvier 2014

(blog à finir et à corriger)

D'un côté, les experts et les élus européens, à la botte des multinationales de l'agro-alimentaire qui inondent la planète de leurs poisons et de l'autre, la réalité.
Tel est l'état de notre planète parce que nos élus sont corrompus et je ne parle pas des experts !

(source : wikistrike)

DIMANCHE 12 JANVIER 2014
La catastrophe dont vous entendez rarement parler: les conséquences désastreuses pour l'Europe de l'énorme déficit d'abeilles



bees.jpgLe problème de la mortalité des abeilles aux États-Unis et en Europe est connu depuis un certain temps : le manque d’abeilles menace certaines cultures qui dépendent d’elles pour la pollinisation. Selon une enquête menée dans 41 pays par des scientifiques de l'Université de Reading qui s’est intéressée à la population des ruches au cours de la seconde moitié de la dernière décennie, leur déclin est alarmant. Les chercheurs ont constaté qu’entre 2005 et 2010, la demande pour les services dits de pollinisateur a augmenté 5 fois plus rapidement que la population des abeilles. Près de la moitié des pays étudiés manquent d’abeilles.
En Grande-Bretagne, les ruches ne permettent de répondre qu’à un quart de la demande totale de services de pollinisation. Au niveau européen, elles ne satisfont qu’entre 25 et 50% des besoins. « Nous courrons à la catastrophe si des mesures ne sont pas prises rapidement », alerte Simon Potts chercheur, professeur de la biodiversité et des écosystèmes à l'Université de Reading. Jusqu’à présent, ce manque à gagner a été partiellement compensé par d’autres insectes, tels que des abeilles sauvages et des bourdons. Mais les scientifiques ne connaissent pas les habitudes des abeilles sauvages et leurs habitudes de pollinisation. En outre, elles pourraient être elles-mêmes menacées.
« Des recherches récentes ont mis en évidence une baisse spectaculaire de la population d'abeilles sauvages dans toute l’Europe en raison de la combinaison de l'agriculture intensive, de la dégradation des habitats, de la propagation de la propagation de maladies et de parasites, et du réchauffement climatique», expliquent les chercheurs.
Le déclin des populations d’abeilles n’est pas le seul facteur de ce déficit d'abeilles : l’augmentation du nombre de terres mises en culture est également en cause. Depuis 1961, la surface consacrée aux cultures qui dépendent des abeilles a augmenté de 300%. Cette hausse s’explique partiellement par l’essor des biocarburants. De plus en plus d’agriculteurs se sont mis à cultiver du maïs, du canola et d’autres cultures utilisées pour la production de biocarburants. Ce faisant, ils ont éliminé les fleurs sauvages et d’autres plantes dont se nourrissent les abeilles sauvages. Le manque de nourriture les a rendues plus vulnérables aux maladies et à la toxicité des pesticides. C’est ainsi que l’on explique notamment le phénomène appelé « syndrome d'effondrement des colonies », la destruction totale et soudaine d’une ruche.

Les chercheurs concluent que la capacité de survie d’un nombre suffisant d’abeilles pour polliniser les cultures dépend pour partie de la quantité de terres qui seront consacrées aux cultures destinées à la production de biocarburants."
Et, lorsque je dis qu'ils sont "TOUS" pourris, le gouvernement français nous en donne l'exemple pratiquement maintenant, toutes les semaines.
En France, désormais, la parole citoyenne n'a plus de valeur.

(source : Patrice de Plunkett : le blog)

16/01/2014

Le gouvernement Ayrault confirme le feu vert aux épandages aériens de pesticides

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Ce sera peut-être pire qu'avant :  


François Hollande a-t-il sacrifié l'environnement aux intérêts industriels, mettant ses pas (en cela aussi) dans ceux de Nicolas Sarkozy ? Le masque gouvernemental n'est pas encore tombé quant au gaz de schiste. Mais il est tombé quant à l'épandage aérien de pesticides. Contrairement à la promesse de Stéphane Le Foll en 2012, la porte des dérogations préfectorales s'ouvre encore plus largement à cette nuisance depuis le décret du 23 décembre dernier !  « Les conditions exigées sont encore moins restrictives qu'avant », déclare au Monde une association environnementale martiniquaise [*]... En lutte contre la cyperméthrine qui tue les abeilles, les apiculteurs toulousains avaient cru obtenir gain de cause à l'été 2013 ; ils constatent aujourd'hui que Le Foll n'a tenu aucun compte de leurs avertissements. Le ministère de l'Agriculture soutient les préfets contre les tribunaux, et instaure ainsi « un feu vert permanent » aux épandages aériens – alors que ceux-ci constituent un danger pour la santé publique  (habitations, animaux, parcs, points de captage d'eau, rivières etc) : fait établi, que l'on regrette d'avoir à rappeler.
_________
[*] Les Antilles « pâtissent déjà de leur contamination massive auchlordécone, un insecticide qui a rendu impropre à la consommationlégumes des jardins et poissons côtiers », souligne Le Monde, mais« qu’importe : le décret prévoit des dérogations [...] à n’importe quel moment de l’année. »

C'est bien pour cela, mes cinq chers lecteurs, qu'il faille se battre sur tous les fronts en employant toutes les formes de militantismes non violentes et surtout, en France, former des listes pour l'élection municipale, indépendantes des deux grands partis socialiste et Ump.
Les épandages aériens est un danger pour la santé de vos enfants. Cela permet juste aux grands céréaliers qui nous empoisonne déjà, d'économiser quelques sous et surtout, leur permettra d'empoisonner les terres de ceux de leur voisin qui font du bio.
Salaud de gouvernement !
Croyez-moi, mes chers lecteurs, il faut les virer dès la prochaine élection municipale !

(source : 2O minutes)

Des militants anti-OGM délogés d'un site Monsanto dans l'Aude

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Créé le 18/01/2014 à 08h20 -- Mis à jour le 18/01/2014 à 08h30


Mais, je vous rassure, mes chers lecteurs, l'humour reste de vigueur sur cette planète, l'humour, mais, plus la poésie.

(source : Courrier International)

Les croisés de la passoire

Greg Fox / observertoday.comGreg Fox / observertoday.com
Affirmer sa foi ? La croix et la bannière ! A Moscou, un musulman est monté sur le toit de la cathédrale de Kazan, sur la place Rouge, hurlant l’appel à la prière la veille du Noël orthodoxe. Le personnel a fait sonner les cloches pour étouffer les tonitruants Allahou Akbar – Dieu est le plus grand – du prêcheur autoproclamé. Le conseil des muftis, la plus haute autorité islamique de Russie, a dénoncé cette “dangereuse provocation”,note The Moscow Times. Le muezzin improvisé a été placé en hôpital psychiatrique.
Aux Etats-Unis, c’est avec une passoire sur la tête qu’un politicien a prêté serment lors de sa solennelle entrée en fonctions, rapporte le New York Daily News. Pour ceux qui l’ignoreraient, l’égouttoir n’est pas seulement un ustensile de cuisine : c’est aussi un couvre-chef religieux. M. Christopher Schaeffer, intronisé conseiller municipal à Pomfret, dans l’Etat de New York, est un disciple du pastafarisme. L’emblème de cette religion est la passoire, sa divinité, un être en spaghettis, créateur de l’Univers. L’Eglise du Monstre en spaghettis volants n’a qu’un dogme : rejeter tous les dogmes.
Cette prestation de serment est un pas de plus dans la croisade de cette religion satirique créée en 2005 par un physicien athée pour dénoncer le créationnisme. L’an passé, un pastafarien tchèque a obtenu de figurer avec une passoire sur sa carte d’identité et un Texan a été autorisé à arborer sa coiffe religieuse sur son permis de conduire. L’AutrichienNiko Alm porte un égouttoir sur le sien depuis 2011. Il a bataillé pendant trois ans pour obtenir la bénédiction des autorités."

A part cela, mes chers lecteurs, ils seraient temps par finir par comprendre que concernant l'univers, la réalité dépasse la fiction.

(source : France culture, Sciences publiques)

le vendredi de 14h à 14h55
Ecoutez l'émission54 minutes

Club Science publique : Existe-t-il une musique des astres? 8

17.01.2014 - 14:00 Ajouter à ma liste de lecture
Une image du Soleil prise le 17 janvier 2014 © NASA
Rares sont les films de science-fiction dans lesquels on n’entend pas le vrombissement des vaisseaux spatiaux dans l’espace ou le son strident des tirs de missiles et autres armes laser... Le premier cinéaste, semble-t-il, à avoir respecté le silence spatial est Stanley Kubrick avec 2001 l’Odyssée de l’espace en 1968. Une rigueur scientifique qui s’est transformée en audace cinématographique efficace car, dans le silence total, certaines scènes de ce film culte ont gagné en intensité dramatique. Pourtant, l’association intime entre espace et bruit ou musique ne date pas du cinéma. Elle remonte à l’Antiquité et à ses philosophes pour lesquels l’harmonie du cosmos trouvait un écho naturel dans celle de la musique. Longtemps, cette approche de l’univers céleste, baptisée musique des sphères, n’a été considérée que comme philosophique ou artistique. Même si l’astronome allemand Johannes Kepler, découvreur des orbites elliptiques des planètes autour du Soleil, restait fidèle à l’idée d’un concert perpétuel du système solaire.
Tout a changé en 1962 avec la publication d’un article écrit par trois astrophysiciens américains au sujet de leurs observations du Soleil. Ils avaient alors découvert des mouvements étranges dans l’atmosphère de notre étoile. En 1970, un autre astrophysicien américain, Roger Ulrich donne une explication à ce phénomène. Pour lui, ces mouvements de vibration à la surface du Soleil sont des « ondes acoustiques stationnaires piégées ». Ainsi, le Soleil produit une musique intérieure qui reste confinée dans sa sphère. Mais il est possible de les détecter grâce aux vibrations visibles à sa surface. Troublante découverte de la réalité physique de la musique des sphères des philosophes antiques.  
Voilà donc le Soleil transformée en une source sonore très précise puisqu’il s’agit d’un sol dièse... Autre paradoxe de l’astrophysique, nous n’entendons pas cette note mais nous la voyons grâce à des instruments très précis. Et si toutes les étoiles du cosmos produisaient leur propre note de musique ? Et si cette note révélait des informations précieuses sur leur âge, leur composition et leur masse ? Le concert céleste prendrait alors une signification scientifique tout en restaurant l’idée de l’harmonie cosmique rêvée dans l’Antiquité.
Ces découvertes fascinantes ont inspiré une astrophysicienne de l’Institut de recherche en astrophysique et en planétologie, Sylvie Vauclair, et un musicien, Claude-Samuel Lévine. Ils viennent de publier ensemble un livre intitulé« La nouvelle musique des sphères », aux éditions Odile Jacob. 

Vidéos:




Invité(s) :
Sylvie Vauclair, astrophysicienne
Claude-Samuel Lévine, musicien
Pierre-Henri Gouyon, professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle, à l'Agro Paris-Tech et à Sciences Po
Jacques Treiner, physicien, professeur à Sciences-Po Paris et ex-professeur à l'Université Pierre et Marie Curie
Thème(s) : SciencesAstronomieMusiquePhysique

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