vendredi 17 janvier 2014

Salut,citoyen électeur !
Pourquoi, votes-tu, toujours pour les mêmes du sérail. Après, tu te plains......et, tu crèves !

Alors, mes chers lecteurs, mosanto et les grands semenciers interdissent d'utiliser les graines traditionnelles, donc, la vente des légumes qui en sont issus.
Les décisions (lois) de l'administration américaine européenne sont rédigées directement par mosanto et les grands semenciers et proposés, sans même en changer une virgule, par les élus américains  et européens.
Aussi, en Europe, la résistance s'organise.

(source : Midi Pyrénées, france 3)


Des petits maraîchers s'élèvent contre le diktat des semenciers

Mercredi matin, à 11H, des petits maraîchers ont manifesté à Toulouse pour protester contre l'interdiction de vente de semences non-officiellement recensées à Bruxelles.
  • Raphael Ortiz
  • Publié le 15/01/2014 | 12:29
Pour libérer la semence © France 3 Midi-Pyrénées
© France 3 Midi-Pyrénées Pour libérer la semence
Ils se sont réunis devant le siège de la répression des fraudes à Toulouse.
Ces maraîchers ont été appelés à manifester par un collectif d'associations dont le Réseau Semences Paysannes, Attac, Nature et Progrès ou encore la Confédération Paysanne.

Des contrôles excessifs
Ils protestent contre les contrôles dont ils sont victimes sur les marchés de proximité. En effet, la vente de plants de tomates de variétés traditionnelles de leur propre production , par exemple, est interdite.
Ils sont dans l'illégalité puisqu'ils vendent ainsi des semences sans autorisation officielle, sans appartenir à la "profession des semenciers".

Leur ennemi principal
Leurs ennemis principaux sont les gros semenciers, les grands groupes industriels qui veulent conserver un monopole absolu sur la vente des semences.
Ces groupes enverraient quelques uns de leurs salariés exécuter les contrôles sur les marchés pour dénoncer les contrevenants à l'administration."

Eh, oui, les vrais agriculteurs refusent la politique de rentabilité à tout prix des grands semenciers et de d'encadrement autoritaire de leur activité.
D'ailleurs, dans ce secteur, les initiatives fleurissent, ce qui fait du secteur de l'agriculture respectueuse de la terre, un secteur innovant.

(source : Reporterre)

Ce jardinier réinvente l’agriculture sur moins d’un hectare

CHRISTINE LAURENT (REPORTERRE)
dimanche 29 décembre 2013
Dans sa ferme des "Jardins de la Grelinette", au sud de Montréal, Jean-Martin Fortier, l’auteur de Jardinier-maraîcher, cultive des légumes bio sur moins d’un hectare. "Le nouveau paradigme est de comprendre que nous faisons partie de la nature et que l’on peut s’inspirer d’elle. Nous sommes au début de cette nouvelle vision de l’agriculture." Entretien.

Comment êtes-vous devenu un maraîcher militant ?
J’ai grandi dans la banlieue de Montréal dans un endroit pas totalement bétonné, mais où les maisons se ressemblent toutes. (…) L’écologie ne m’intéressait pas particulièrement. C’est à 18 ans que j’ai découvert la beauté et la fragilité du monde, dans les grandes forêts de Colombie britannique. Ce voyage m’a orienté vers des études d’écologie. Je voulais consacrer ma vie à la défense de cette nature.
Si on ne la protège pas, elle devient du béton. La nature ne peut pas toujours être recréée. On peut planter des arbres, mais on ne peut pas restituer des écosystèmes.
J’ai choisi finalement ce métier de jardinier pour être dehors, car je ne me voyais pas travailler dans un bureau
Vous dites de vous que vous êtes un fermier de familles, qu’est-ce au juste ?
Un fermier de famille, c’est un peu comme un médecin de famille. Nous sommes en ASC (agriculture soutenue par la commnauté). La ferme est à une heure de Montréal. On les rencontre chaque semaine, on discute et on les invite deux fois par an. Avec le temps, les gens nous connaissent bien.

Maude-Hélène et Jean-Martin Fortier au marché de Saint-Armand -
Je sais que mes légumes sont très importants dans leur vie. Ils goûtent, ils voient et ils nous rencontrent. Ils se rendent compte que ces légumes n’ont rien à voir avec ce que l’on peut trouver dans les supermarchés. Ils savent que cela vient de chez nous et comment nous travaillons pour les produire. Ils me racontent que lorsqu’ils rentrent chez eux, ils déballent les légumes, et les posent un à un sur la table. Ils trouvent cela beau. Ces légumes ont une grande valeur. Car on met tout en œuvre pour faire des légumes qui sont beaux en apparence mais aussi de très bonne qualité.
Comment produit-on de tels légumes ?
Notre projet de ferme est basé sur la vie dans le sol. Nous faisons des légumes qui ont une super qualité nutritive. C’est difficile à mesurer mais c’est mon impression. Cela se ressent dans l’énergie de ces légumes. Les légumes conventionnels sont aussi souvent très beaux, mais ils sont comparables aux solutions que l’on vous donne à l’hôpital. Elle vous apporte tous les éléments nutritifs dont vous avez besoin, mais ce n’est pas comme un bon repas pris à la maison. J’ai cette conviction que l’énergie d’un sol vivant se retrouve dans les légumes. Mais je n’ai pas le bagage scientifique pour l’expliquer.
Comment entretenez-vous la vie dans votre sol ?
Nous avons appelé notre ferme les jardins de la Grelinette, car cet outil est symbolique de notre façon de faire : ne pas retourner le sol, pratiquer un travail doux, gentil, qui permet d’aérer sans bouleverser les couches. Depuis 2005, nous avons installé sur 8000 m2 des planches permanentes, comme un gros potager. Nous n’avons jamais labouré. La flore microbienne est à sa place, là où elle s’est développée.

Au milieu d’un champ de pois -
Si on vient toujours bouleverser le sol, on dérange, voire on empêche ce travail que la nature fait gratuitement. Par exemple, en laissant faire les vers de terre qui transforment les matières organiques en humus et aèrent le sol. Les équipements utilisés sont très importants. C’est aussi le choix et la quantité des matières organiques que l’on apporte pour nourrir le sol.
Vous ne touchez jamais le sol ?
On le touche un peu, car nous produisons cinquante légumes différents sur neuf mois de l’année. Nous travaillons en surface, délicatement, avec la grelinette et des outils légers qui fonctionnent, une simple perceuse, par exemple pour mélanger le compost à la terre avec des mouvements rotatifs horizontaux. Depuis huit ans, la qualité de notre sol s’est améliorée. On le voit à l’œil nu. Sa texture est plus grumeleuse. Nous avons de moins en moins de mauvaises herbes car on ne remonte pas les graines en surface en retournant la terre. Les analyses que nous réalisons chaque année en laboratoire le montre aussi. À force d’entretenir le jardin gentiment, il est devenu plus clément.
Quelles ont été vos sources d’inspiration ?
Eliot Coleman, qui est un des pionniers de l’agriculture biologique aux Etats-Unis. Dans son premier livre, il a jeté les bases d’un système tel que celui que nous avons mis en place. Il a inventé ou importé d’Allemagne, de Suisse, de France, la plupart des outils que nous utilisons, et qui pour la plupart ne sont pas connus en France. Son premier livre m’a guidé quand j’ai commencé et je l’ouvrais chaque fois que je ne savais pas comment m’y prendre. Cela m’a donné envie d’écrire Le jardinier maraîcher, car j’ai pris conscience de la portée que peut avoir la transmission d’un savoir-faire. Il n’y avait rien de tel en français.
Est-ce un modèle reproductible ?
Tout ce que je fais a été inspiré de ce que faisaient les maraîchers en Ile-de-France au XIXe siècle. J’ai vu des photos dans des livres de l’époque et cela ressemble à ma ferme. C’était du maraîchage intensif sur petite surface. C’étaient des outils qui ressemblent à ceux que l’on utilise, c’était de la vente directe, c’était de la qualité. Ce qui manquait c’était un modèle pour montrer comment faire.
Tout le monde a un tracteur aujourd’hui, même les petits agriculteurs. Mais le tracteur détermine les outils dont vous allez avoir besoin. Or, dans ce métier, la récolte représente 50 % du temps et ça ne se fait pas avec un tracteur ! Nous, nous avons commencé avec peu : un petit motoculteur et quelques outils à main. C’était accessible.

Ce motoculteur remue la terre de manière latérale, ce qui évite de mélanger les horizons -
L’agriculture conventionnelle utilise environ dix calories par calorie produite. Quelle est la performance de votre système du point de vue énergétique ?
Je n’ai jamais fait ce calcul. Je ne sais même pas la quantité de légumes que je produis dans l’année. On parle en coût et en prix. Dans mon livre, il y a beaucoup de technique maraîchère, mais j’ai aussi développé cet aspect économique car nous faisons cela pour gagner notre vie. Nous sommes des écologistes, mais le projet de la ferme, c’est pour en vivre. Et nous en vivons bien.
C’est-à-dire ?
C’est un revenu suffisant pour payer les factures et avoir une certaine liberté sans que cela soit des extravagances. Nous travaillons sur la ferme avec ma femme. Nous avons deux enfants. Nous avons construit la maison. Nous vivons avec une certaine autonomie. Pas de transport quotidien pour aller travailler, des bons légumes sur place que nous échangeons contre d’autres fermiers. On mange comme des rois. On prend trois mois de vacances par an, on part voyager avec le camion et les vélos, beaucoup en Amérique centrale.

Jean-Martin Fortier note précisément tout ce qui est fait et ce qu’il observe dans le jardin -
C’est important d’avoir du temps pour faire autre chose. Notre vie a beaucoup de sens et nos clients nous le rappellent toutes les semaines. À nous deux, on génère 60000 $ de revenu annuel. Il faut comprendre que pour arriver là, nous avons mis du temps pour apprendre ce métier. En partageant nos connaissances, j’espère que cela pourra accélérer le processus.
Quelle est la situation des agriculteurs de petites surfaces outre-atlantique ?
Notre ferme est bien connue du ministre de l’Agriculture et ce n’est pas facile de nous mettre des bâtons dans les roues. Les écoles d’agriculture ont doublé leur nombre d’élèves. Nous avons été les seuls sur moins d’un hectare jusqu’en 2010.
Mais notre travail a fait évoluer cette situation. Cinq de nos stagiaires ont créé leur propre ferme sur notre modèle et elle marche bien, dès le démarrage. Je suis surpris de voir qu’au Québec mon livre, qui est un ouvrage technique, est devenu un best-seller, que l’on trouve en grande surface, bien en vue. Je cherche à toucher la génération qui va me succéder.

-Jean-Martin Fortier à Paris -
Aux Etats-Unis, où l’on fait du marketing autour de tout, les jeunes trouvent que l’agriculture que je pratique est « cool ». Je suis accueilli comme un héros avec des affiches dans les rencontres organisées par les Greenhorns(association d’aide aux jeunes agriculteurs bios qui démarrent une ferme) ou dans les Farmhack qui permettent aux agriculteurs et ingénieurs d’inventer des outils simples qui facilitent le travail et sont disponibles en Open source. Ce sont des fêtes, très colorées, avec banjos et DJ. Depuis dix ans, ces évènements se multiplient. Il y a toute une jeunesse mobilisée autour d’une autre agriculture, avec des marchés de producteurs, ces rencontres avec les ingénieurs. Ils forment une communauté très connectée, très innovante.
Comment voyez-vous votre ferme dans dix ans ?
J’aime le voyage. Je n’ai pas de destination finale. J’apprécie énormément d’approfondir ce que nous faisons aujourd’hui et d’avoir le luxe de pouvoir faire des expériences, en innovant au niveau biologique. Ce qui m’intéresse n’est pas la technique, la machinerie, mais la biologie du sol. Je cherche comment créer des synergies dans la nature qui vont être bénéfiques à la croissance des légumes.
Le nouveau paradigme, c’est de comprendre que nous faisons partie de la nature et que l’on peut s’inspirer d’elle. Nous sommes au début de cette nouvelle vision de l’agriculture.
- Propos recueillis par Christine Laurent

Source et photos : Christine Laurent pour Reporterre. Christine anime la chronique hebdomadaire du jardin sans pétrole.
Première mise en ligne sur Reporterre le 2 décembre 2013.
Photos :
. portrait de Jean-Marie Fortier : Christine Laurent.
. autres photos : Jardins de la Grelinette

Il y a urgence, mes chers lecteurs à se lever contre la dictature de la finance, FED aux Etats-Unis, et des multinationales, car, parallèlement, ils s'organisent avec la complicité des élus locaux.

(source : Inform'action)

OGM : Monsanto installe un discret centre d’expériences dans le Loiret

Portrait de Renaud Schira

Date: 
27/07/2010
Lentement mais sûrement, souvent par l’intermédiaire de dirigeants ou de sociétés qui servent de poissons-pilotes, Monsanto quadrille le territoire français pour développer ses activités actuellement interdites. De façon à être présent partout pour le cas où le lobby des OGM réussissent à arracher quelques autorisations. A force d’essais sous serre ou d’essais clandestins en plein champ. Ce qui se passe dans un lieu-dit (Bruyères de l’Etang) d’une petite commune du Loiret, Autry-le-Chatel, est révélateur des méthodes et manoeuvres en cours dans de nombreux départements.

Quoi de plus innocent, sur l’emplacement d’une pépinière, que l’installation au bord d’un étang, il y a une bonne dizaine d’années, d’une société dénommé « Loiret Semence ». Ca fait local. Que le propriétaire, se trouve être un Néerlandais, n’est pas extraordinaire puisqu’aprés tout nous sommes en Europe. Evidemment que le Hollandais en question soit aussi le gestionnaire de la société Ruiter Seeds spécialisée dans les semences de légumes hybrides, pourrait éveiller l’attention. Mais, bon, pas de quoi inquiéter les élus et la presse locale et régionale...

D’autant plus que dans la région se pose la question des emplois que le nouveau propriétaire en promet à la pelle. Car évidemment, le lecteur aura deviné : par fusion dont les détails ont été déposés le 16 juillet dernier au greffe du tribunal d’Orléans et de Lyon, le nouveau propriétaire des lieux se trouve être Monsanto. Ce n’est pas une prise de participation, juste une absorption. On ne garde la pancarte « Loiret Semence » que pour rassurer le gogo. Car, les lieux ont changé en quelques mois : à la place des banales serres anciennes, prés de deux hectares de serres de six à huit mètres de hauteur et climatisées en permanence à 20 degrés. Trois millions et demi d’euros de travaux réalisés, tant pis pour les emplois promis, par des entreprises venues des Pays Bas. Sans compter les clôtures nouvelles renforcées et les remblais de protection. A droite de l’emplacement Monsanto, des bulldozers complètent l’installation et des ouvriers installent depuis quelques jours une clôture autour des champs rachetés le long de l’implantation.

Autrement dit, d’ici à la prochaine saison, de quoi installer discrètement, à l’écart de toute habitation et des regards curieux, des essais à l’air libre de légumes OGM : essentiellement des tomates, des poivrons, des concombres et des cucurbitacés. A l’abri derrière des grilles et un no man’s land. Lequel sera évidemment surveillé en permanence par des caméras de vidéo surveillance qui ne sont pas encore installées, ce qui permet des visites discrètes. Car les nouveaux responsables le disent clairement, explique un cadre un peu embêté, « notre projet est de fournir à l’Europe, à l’Asie et à l’Amérique Latine de nouvelles variétés résistantes à des maladies et à des parasites pour des légumes de consommation courante. Mais pour ce rachat, on ne nous a guère demandé notre avis. On sentait cela arriver depuis longtemps ». Il ne s’agira plus d’hybrides mais essentiellement de graines et greffons OGM. Mais le problème, c’est qu’il faudra vérifier la résistance de ces « monstres » en plein air pour que les clients ne viennent pas râler, d’où les champs...

Au début de l’année, la même manipulation d’entreprises s’est produite à Saint Andiol dans les Bouches du Rhône.

Source: 
Politis.fr

Et, croyez-moi, mes chers lecteurs, ils nous prennent la tête à tous les niveaux, donc, il faut se défendre sur tous les fronts en s'organisant pour occuper tous les champs électoraux à tous les niveaux, local, national, fédéral ou européen.
Il faut que les citoyens à tous ces niveaux organisent des listes concurrentes pour présenter des candidats qui défendent les intérêts locaux et au niveau national, des candidats qui veuillent combattre les excès de la finance et le pouvoir exorbitant des multinationales.
Aux States, il faut remettre au jour les lois anti-trusts.
Ne faites plus confiance, mes chers lecteurs, aux républicaines, aux démocrates pour les States, et les socialistes ou la droite en France. Ils ont les mêmes sponsor, sortent des mêmes grandes écoles ou des mêmes universités, de la même classe sociale et ont le même mépris pour le peuple et les "brisés de la vie", ceux dont le système n'a plus besoin.
Seuls de nouveaux représentants du peuple pourront reconstruire une Europe qui soit réellement au service des citoyens.
N'oubliez pas, l'élection est la seule arme qui vous reste. Profitez en, avant qu'ils ne viennent à la supprimer !

(source :


USA: la Cour suprême se range une nouvelle fois du côté de Monsanto


Monsanto
La Cour Suprême américaine à Washington le 6 novembre 2013
© AFP/Archives Saul Loeb
Washington (AFP) – La Cour suprême des États Unis a à nouveau donné raison à Monsanto en refusant de se saisir de la plainte d’un groupement de producteurs et d’agriculteurs bio, mercredi.
Ce groupement voulait empêcher les poursuites du géant de l’agronomie en cas de contamination par erreur de leurs champs par des cultures transgéniques.
La haute Cour, qui s’était déjà rangée du côté de Monsanto en mai 2013, a rejeté, sans commentaire, la requête de dizaines de fermiers pratiquant la culture bio et conventionnelle ainsi que des producteurs de semences organiques, qui réclamaient que le groupe américain s’engage à ne pas poursuivre les propriétaires des cultures de soja, coton, maïs, qui auraient été génétiquement modifiées par les vents ou des pluies.
Les neuf juges, dans leur décision rendue lundi, laissent de fait intacte l’arrêt d’une cour d’appel fédérale qui avait retoqué cette plainte des « Organic Seed Growers and Trade Association » et protégé les brevets des semences génétiquement modifiées de Monsanto.
Le puissant Monsanto arguait que donner raison à ces fermiers permettrait à n’importe qui de violer intentionnellement la réglementation de ses brevets.
Monsanto a engagé plus d’une centaine de recours aux Etats-Unis contre des agriculteurs ayant planté ses semences sans payer de droits.
En mai dernier, la Cour suprême avait déjà donné raison au géant américain dans un litige qui l’opposait à un petit fermier de l’Indiana, accusé d’avoir enfreint ses brevets dans l’utilisation de graines de soja transgéniques.
© AFP
- See more at: http://www.goodplanet.info/actualite/2014/01/15/usa-la-cour-supreme-se-range-une-nouvelle-fois-du-cote-de-monsanto/#sthash.k1Us3B5z.tLyZ3XOZ.dpuf


Alors, comprenez-vous, mes chers lecteurs, que le temps nous ait compté ?
A part cela, je vous raconte les dernières histoires du président hollande parce que c'est désopilnt.
Donc, notre président, lorsqu'il se présente à l'élection présidentielle, fait un tas de promesses.
Il n'en tient qu'une, le mariage pour les homosexuels.
Le reste, il bascule du côté des banques et des multinationales.
A part, cela, il a une courtisane qu'il impose comme la première dame de France.
Moi, à la place, des autres présidents, je ne l'aurais jamais accepté dans les réceptions internationales.
Mais, d'un autre côté, il a une autre courtisane cachée qui habite rue du CIRQUE, dans un appartement qui "appartiendrait" à un membre de la maffia corse.
Monsieur, chez sa deuxième courtisane, y va en scooter, et se fais livrer les croissants par son garde du corps à 8h30.
Sa première courtisane, à l'annonce dans les journaux de sa trahison tombe en pâmoison et se retrouve à l'hôpitlal pour dix jours.
Dernière nouvelle, hollande a été la visiter.
Sa deuxième courtisane a failli être nommée en Italie, dans le jury de la villa médicis, mais, la ministre de lz culture française est revenue sur sa nomination.
Et, à mon avis, le feuilleton, mes chers lecteurs n'est pas finie
Mais, le ridicule ne tue "PLUS" mes chers lecteurs !
Et, certains disent, 'C'EST CA QUI NOUS GOUVERNE !"
A quand, les oeufs pourris et les tomates OGM lorsque lui et ses ministres paraîtront en public !
Ou, alors, quand, en France, atteindrons-nous, la cour des papes Borgia ?

A bientôt.
René.

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