dimanche 17 mars 2013

Salut mes chers lecteurs, si, ce monde est à chier parce qu'ils le transforment comme cela, c'est à nous de lui rendre une normalité respectueuse du citoyen !

Bon, hier, mes chers cinq lecteurs, je voulais vous envoyer des documentaires et cela n'a pas réussi. Dégoutté, je suis retourné sur la planète UBIK, vous savez celle qui n'existe pas.
En fait, mon grand élan de pessimisme venait du constat que tant que nos dirigeants politiques seront corrompus, à la solde des places financières, merci les banques rothchild et lazard, ils laisseront les industries chimiques, pharmaceutiques, agro-alimentaire et leurs savants fous modifier la nature du poisson aux moustiques, du moustiques aux cochons et même planter des forêts transgéniques pour remplacer les essences sauvages qu'ils auront fait disparaître.
Nos politiques laissent les compagnies pétrolières en détruire la planète avec l'exploitation de gaz de schiste et de pétrole bitumineux. Nos corps seront saturés de molécule toxique, de temps en temps, un savant fou introduira une bactérie mortelle pour permettre à l'industrie pharmaceutique de prendre encore plus de pouvoir prédateur sur nos corps. Nous ne mangerons plus que des produits transgéniques saturés de pesticide ou pour la viande saturée d'antibiotiques.
Et, là, mes chers lecteurs, j'ai arrêté de faire la liste, et, c'est là, que je me suis dit, "C'est tout, il faut se casser sur une autre planète et tenter de reconstruire un monde qui la respectera et qui nous permettra de faire un monde en harmonie avec elle en supprimant l'industrialisation, les cadences infernales et surtout en éradiquant les savants fous et les psychopathes qui choisissent le pouvoir et imposent leurs symptômes comme norme sociétale.
Voilà, à quoi, je pensais hier.
Pourtant, pourtant, nous pourrions faire différemment, si, nos élus nous respectaient, nous, les citoyens.
Nous savons que les banques, et là, je parle de la France, ne joue plus le jeu de l'économie réelle. Un nombre important de faillite en France est dû à l'asséchement du crédit bancaire. Cela concernant le tissu PME-PMI, plutôt que les sociétés dont l'importance leur permet la délocalisation.
Donc, de fait, nos banques jouent la mondialisation, en accordant du crédit aux grosses sociétés qui délocalisent et en asséchant le crédit pour les entreprises et artisanat de proximité.
Comment, elles utilisent l'argent que l'état, donc, nous leur donnons pour les redresser, tout le monde le sait, donc pas la peine de s'étendre.
Le président français qui avait promis de les encadrer pendant la campagne électorale pour séparer secteur spéculatif et gestion des comptes pour nous protéger ne l'a pas fait.
Le président français qui avait promis de protéger le droit du travail pendant la campagne électorale pour protéger les travailleurs ne l'a pas fait.
Il s'est clairement positionné dans le camp des places financières et des banque et du patronat.
Pourtant, pourtant, il y a un créneau économique clairement identifié à part celui de l'écologie. Développer un secteur de l'agro-alimentaire, pharmaceutique, des énergies fossiles et renouvelables, bancaires respectueux, de la santé, de l'intérêt et de l'environnement des citoyens.
Cela veut dire quoi ?
Prenons par exemple, l'industrie alimentaire et posons-nous la question, "Mais, comment faisaient-ils avant que les américains ne nous refourguent leurs gaz de combat reconvertit en pesticides ?"
Eh, bien, il faisait, mes chers cinq lecteurs, mais, cela est plus fatiguant et ils étaient obligés d'employer plus de main d'oeuvre.
Conséquence : La main d'oeuvre est partie en ville, nos sources et nos rivières sont empoisonnés et nous bouffons de la merde.
Mais, à l'époque, ils mangeaient et ils mangeaient de bons produits diversifiés et certainement plus sains que ceux que l'on ingurgite aujourd'hui.
Prenons, nos fameux fromages français, par exemple. Ils sont tous fait avec du lait pasteurisé, donc, avec le même goût à-priori. Et, bien, mes chers lecteurs, ils ajoutent simplement des adjuvants pour parvenir à peu prêt au goût originel et nous pouvons de la merde chimiquement modifié.
Donc, ce que je dis, c'est recréer une industrie alimentaire avec des produits sains garantis, sans emballage plastiques d'aucune sorte, sans intervention chimique avec des chaînes de fabrication pouvant être visitée par tout citoyen soucieux de vérifier la véracité des dires du fabriquant;
Pourquoi, le citoyen, me direz-vous et pas une agence de sécurité alimentaire ?
Parce que les gens qui travaillent dans ces agences ont prouvé et cela largement que souvent, elles travaillaient au bénéfice de l'industrie de l'agro-alimentaire internationale et non en faveur de la santé du citoyen.
Donc, faire cela à tous les niveaux de la chaîne alimentaire. Car, le citoyen doit se prendre en charge parce que nous ne pouvons plus et ne devons plus faire confiance en l'état !
Evidemment, supprimer le plastique, parce que nous ingérons des résidus moléculaires nocifs signifient que les commerces devront impérativement abandonner tout recours à la matière plastique dans l'emballage des produits alimentaires comme les sacs plastiques qui se retrouvent au final dans l'océan.
Il faut donc naturellement que se mettent en place des réseaux de financement rapides et alternatifs entre citoyen pour qu'une telle économie de proximité puissent se mettre en place.
Il faut également que les nouveaux entrepreneurs recherchent la rentabilité sociale plutôt que financière. Un peu comme les entrepreneurs catholiques en France qui ont conservé cette éthique.

Bon, vous me direz qu'ils n'en restent plus beaucoup, sauf, que le but, c'est faire mieux pour que tout le monde puisse mieux vivre.
Et, il faut faire vite mes chers cinq lecteurs, car, les banquiers vont vider vos comptes pour s'assurer que l'état leur rembourse les emprunts, comme cela se passe actuellement à Chypre où les banques vont ponctionner 6,75% sur chaque compte citoyen pour reverser à l'état pour qu'ils remboursent les intérêts qu'ils doivent à Goldman Sachs et autres.
Alors, dépêchons, car, c'est la mobilisation citoyenne de masse qui nous permettra de nous en sortir avant les rendez-vous électoraux qui n'ont d'ailleurs plus grande signification ou importance !
A moins que !!!!!!!!!

(source : Atlantico, Publié le 15 mars 2013)


L'incroyable science de la "junk food" : comment l'industrie agroalimentaire s'y prend pour nous rendre accros

Un article fleuve du New York Times analyse les stratégies déployées par les géants de l'agroalimentaire pour générer des addictions chez les consommateurs. Révélations.


En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/incroyable-science-junk-food-comment-industrie-agroalimentaire-prend-pour-rendre-accros-664825.html#cLqdq7pJ4CkdOIxK.99 



Publié le 15 mars 2013
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15% des Français sont considérés comme cliniquement obèses.
15% des Français sont considérés comme cliniquem

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/incroyable-science-junk-food-comment-industrie-agroalimentaire-prend-pour-rendre-accros-664825.html#cLqdq7pJ4CkdOIxK.99 



La "junk food", pour les lecteurs non familiers avec la langue de Shakespeare, est un terme américain qui peut être traduit par "malbouffe" : c’est-à-dire aussi bien les sodas que la nourriture industrielle, les chips, les céréales ou encore le fast food. Tout le monde sait que ce type de nourriture, gorgée de sucre, de sel et de graisses, est extrêmement mauvais pour la santé : en l’occurrence, consommer trop régulièrement des aliments de ce genre entraîne une augmentation du risque d’obésité, du diabète et des maladies cardio-vasculaires.
Aujourd’hui, un adulte Américain sur trois est considéré comme cliniquement obèse - tout comme 15% des Français. 24 millions d’Américains souffrent du diabète de type 2 (3,5 millions en France), souvent causé par un mauvais régime alimentaire, tandis que 79 millions d’entre eux souffrent de pré-diabète. Et pourtant il est difficile d’arrêter la junk food : ne plus boire de Coca-Cola ? Ne plus grignoter des barres chocolatées au goûter ? Ne plus manger de céréales ou de boissons lactées aromatisées le matin ? Difficile à imaginer. Surtout que la "junk food" est souvent très peu cher, très pratique (rien n’est à préparer) et accessible partout.
Ce que l’on sait moins c’est que les compagnies qui se battent pour le gâteau multi-milliardaire que constitue notre estomac – c’est-à-dire la quantité d’espace digestif qu’une compagnie peut accaparer à la compétition - utilisent toutes les techniques possibles, de la théorie économique à la psychologie expérimentale, pour nous forcer à continuer.
Comme l’explique le New York Times dans un article fleuve publié le 20 février dernier, tout ne peut pas être résumé "à une question de volonté de la part des consommateurs" ni à une politique des industries agroalimentaires qui ne feraient que "donner aux clients ce qu’ils veulent…"  Ce que le journaliste a trouvé "après quatre ans de recherches, c'est un effort conscient – que ce soit dans les laboratoires, les réunions marketings ou les couloirs des supermarchés – de rendre les gens dépendants à la nourriture pratique et peu chère".
S’en suit un catalogue absolument effrayant de pratiques assez peu morales des industrielles visant à augmenter leur part de marché au mépris d'un quelconque aspect diététique. L’article s’ouvre ainsi sur une réunion au sommet entre les différents acteurs et PDG des grandes compagnies américaines de l’industrie agroalimentaire, de Coca-Cola à Mars en passant par Kraft et General Mills. Cette réunion a cela d’admirable quelle permet de mesurer à quel point les industries sont conscientes du mal qu’elles peuvent faire à la santé des consommateurs – nous sommes alors en 1999 et les cas d’obésité infantiles sont en train d’exploser – tout aussi bien que leur absence de volonté de changer les choses par peur de perdre des parts de marché.
Cette enquête est adaptée d'un livre publié aux Etats-Unis ce mois-ci par Random House et qui s'intitule Salt Sugar Fat: How the Food Giants Hooked Us (Sel Sucre Graisse : Comment les géants de la Nourriture nous ont rendu accro, ndlr). Michael Moss, son auteur explique par exemple qu'à la fin des années 80, la marque Frito Lay subit un choc financier très important lorsque des rapports montrent que les snacks trop salés provoquent des maladies cardiovasculaires. Ils engagent alors plus de 500 "chimistes, psychologues et techniciens qui conduisent des recherches coutant plus de 30 millions de dollars par an" afin de trouver des chips encore plus addictifs... Parmi leurs joujou, "un simulateur de bouche en train de mâcher d’une valeur de 40 000 dollars"… Ils finiront par trouver que les gens "aiment une chips qui se casse avec une pression de 3,6 kilos par centimètre carré".
Le quotidien américain cite aussi l’exemple de Coca Cola dont l’objectif au début des années 2000 "devint bien plus important que de simplement battre la concurrence. Coca-Cola voulait tout simplement devenir la boisson la plus consommée au monde, devant l’eau ou le lait".
Une autre marque qui souhaite écouler davantage sa production invente en 1988 un pack de déjeuner tout prêt pour les enfants qui déjeunent à l’école : quelques crackers, du jambon et du fromage industriel, une idée toute simple qui plaît aux mères de familles qui travaillent. Et qui fait un carton. C’est un tel succès qu’ils inventent une version avec un dessert (une barre chocolatée) en appliquant la règle agroalimentaire : "quand vous doutez, rajouter du sucre". Ce Lunchable est pourtant très mauvais pour la santé. Le New York Times cite ainsi un article paru à l'époque et qui disait "le produit le plus sain dans ce paquet, c'est la serviette"... La conclusion de Michael Moss est que le comportement de l'industrie agroalimentaire est très similaire à celui des vendeurs de cigarettes qui ont fait tout leur possible pour contrer les études scientifiques montrant la dangerosité du tabac dans les années 50 et 60. Il n'est donc pas étonnant d'apprendre que Lunchable a été financé par Philip Morris, la marque de cigarette... Ni que depuis sa création, Lunchable a rapporté plus d'un milliard de dollars à Kraft.

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/incroyable-science-junk-food-comment-industrie-agroalimentaire-prend-pour-rendre-accros-664825.html#cLqdq7pJ4CkdOIxK.99 


Et, cela tout pour aujourd'hui.
René.

PS :Question subsidiaire : "Pourquoi la république de Chypre ne ferait-elle pas comme l'Islande ?"
Pourtant, les chypriotes ont des couilles, alors ? (Veuillez m'excusez pour la formulation)

PS 2 : (source : www.syndicat-simples.org)


SYNDICAT INTER-MASSIFS POUR LA PRODUCTION ET L’ECONOMIE DES SIMPLES

Publié le : 27 février 2013

APPEL DE MEDECINS DU LIMOUSIN CONTRE LES PESTICIDES

Médecins, nous avons choisi le cadre de la semaine pour les alternatives aux pesticides afin de mettre en avant la dimension sanitaire dans ce débat. Elle ne le résume pas car la dimension environnementale est elle aussi incontournable.

Nous tenons à préciser que nous ne cherchons pas à montrer du doigt une profession, mais que chacun doit prendre ses responsabilités. A nous d’assumer les nôtres en alertant sur les dangers de ces produits

particulièrement pour certaines catégories de la population (ceux qui y sont le plus exposés, ainsi que les femmes enceintes et les enfants).

Car des liens sont établis en milieu professionnel entre l’utilisation de pesticides et certaines pathologies :

des cancers : « Les expositions professionnelles aux pesticides ont été plus particulièrement mises en cause dans les hémopathies malignes lymphoïdes. Des études en populations agricoles suggèrent leur implication dans les tumeurs cérébrales et dans les cancers hormono-dépendants (cancers de la prostate, du sein, des testicules, de l’ovaire »(1) des troubles neurologiques comme la maladie de Parkinson (2).
« chez l’enfant, l’utilisation domestique de pesticides, notamment d’insecticides domestiques, par la mère pendant la grossesse et pendant l’enfance a été régulièrement associée aux leucémies et, à un moindre degré, aux tumeurs cérébrales »(1) Surtout il faut rappeler, comme l’a fait l’INSERM que « près d’un millier de molécules ont été mises sur le marché en France ; les risques liés à ces molécules ne peuvent être évalués faute de données toxicologiques et épidémiologiques suffisantes. »(1)
Si peu d’études ont porté sur l’ensemble de la population et les riverains, plusieurs montrent toutefois que des expositions environnementales sont susceptibles de causer des cancers et des maladies de Parkinson. Comme aux Antilles avec la chlordecone (3) ou chez des riverains exposés à des fongicides de la famille des carbamates et à du paraquat (4).
Or et personne ne le conteste, l’imprégnation de la population est générale : les pesticides ont largement contaminé l’environnement, aussi bien les eaux de surface que les eaux de pluie, aussi bien les sols que nos organismes (90% de la population française est contaminée par les organophosphorés) (5). Plus préoccupant, dans la cohorte PELAGIE en Bretagne, seuls 1,6% des échantillons d’urine de femmes enceintes ne contiennent pas de trace des pesticides recherchés(6).
Mais si l’on retrouve une imprégnation à « faibles doses » dans la population générale, cela n’est pas rassurant pour autant : en effet de nombreux pesticides sont des perturbateurs endocriniens, substances chimiques soupçonnées d’être l’une des causes de la recrudescence de certains troubles (infertilité, cancers hormonodépendants, obésité, etc.). Parce que leurs effets ne dépendent pas de la dose, mais de la période d’exposition, qu’ils ne sont pas linéaires, qu’ils s’ajoutent à ceux d’autres substances (effet cocktail) et qu’ils sont susceptibles d’être transgénérationnels, les perturbateurs endocriniens sont au centre d’une attention grandissante comme l’a reconnu Madame Delphine Batho, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie lors du colloque international sur les perturbateurs endocriniens des 10 et 11 décembre 2012 (7). Or comme le souligne le rapport sénatorial sur les pesticides et la santé (8), le cadre réglementaire européen ne protège ni les agriculteurs ni les consommateurs puisque l’UE n’a toujours pas validé de méthode permettant de déterminer si un pesticide est un PE ou non.
Il faudra donc beaucoup d’études, beaucoup d’argent et beaucoup de temps pour objectiver plus avant ces risques sanitaires que l’on peut craindre dévastateurs.
Aussi nous souhaitons poser deux questions simples :
-  Peut-on s’abstenir de prendre des précautions dès maintenant ? Ce serait à nos yeux totalement inconséquent et irresponsable.
-  Des alternatives, économiquement viables sont-elles possibles ? Nous pensons que Oui, et elles sont connues.

C’est pourquoi les médecins signataires de ce texte se déclarent :

-  solidaires des demandes d’interdiction des épandages aériens (9), et des mesures de réduction des risques vis à vis des populations vivant à proximité des cultures à forte utilisation de pesticides (signalisation sur les routes et chemins traversant les zones d’épandages, distance de sécurité avec les habitations) et vis-à-vis des agriculteurs (information sur les risques des produits et l’usage des protections individuelles par des institutions distinctes des vendeurs).
-  solidaires des collectivités territoriales signataires de la charte zéro pesticide.
-  Solidaires de toutes les initiatives qui permettront une transition vers des filières agricoles n’utilisant pas de pesticides. A ce titre l’introduction de l’alimentation biologique dans les cantines scolaires nous parait un moyen à la fois d’obéir à un principe de sécurité sanitaire et de structurer des filières utilisant les principes de l’agroécologie.
-  Solidaires de tous les projets de transition de l’agriculture qui se proposent de stopper et d’inverser le processus de concentration des exploitations et d’y favoriser de manière significative l’accroissement de l’emploi agricole, condition incontournable d’une diminution réellement globale de l’utilisation des pesticides.

Et demandent que notre Région Limousin s’engage résolument vers l’objectif d’une réduction de 50 % des pesticides à l’horizon 2020.

Références :
(1) Expertise INSERM « cancers et environnement » octobre 2008 . (2) Inscrite au tableau des maladies professionnelles agricoles depuis 2011.
(3) BEH 08-02-2011(bulletin épidémiologique hebdomadaire édité par l’INVS : Institut National de Veille Sanitaire) Chlordecone aux Antilles : bilan actualisé des risques sanitaire
(4) La Recherche septembre 2009, Les pesticides doublent le risque de maladie de Parkinson S Costello et al, American Journal of Epidémiologie,169, 919, 2009
(5) Institut national de veille sanitaire (INVS) « Exposition de la population française aux polluants de l’environnement » (volet environnemental de l’étude nationale Nutrition Santé, septembre 2010). Disponible à l’adresse : www.invs.sante.fr
(6) BEH : du 16 juin 2009
(7) Discours de Delphine BATHO Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Discours d’ouverture de la Ministre lors du colloque international sur les perturbateurs endocriniens des 10 et 11 décembre 2012 dans le cadre du Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens.
(8) Rapport sénatorial adopté à l’unanimité des groupes politiques au sénat : « Pesticides, vers le risque zéro », accessible sur le site du sénat : www.senat.fr. Ce rapport dresse cinq constats : - les dangers et les risques des pesticides sont sous-évalués - la nécessité d’améliorer la procédure d’autorisation de mise sur le marché des pesticides (AMM) et le suivi post AMM - l’absence de protection contre les pesticides à la hauteur des dangers et des risques - la nécessiter de mieux cerner les limites des modèles et des pratiques industriels, commerciaux et agricoles. - revoir le plan Ecophyto 2018 : conçu à la suite du Grenelle de l’Environnement en 2008 pour permettre une division par deux de la quantité de pesticides utilisée par la France à l’horizon 2018, la mission sénatoriale a en effet constaté qu’au tiers de la durée de ce plan l’usage avait augmenté au lieu de se réduire.
(9) Il existe un principe général européen d’interdiction des épandages de pesticides par aéronefs mais les Préfectures peuvent accorder localement des dérogations. Le rapport sénatorial réclame également la fin de ces dérogations.
Contact : Dr Pierre-Michel Perinaud pmperinaud@yahoo.fr ou 06 31 23 66 72

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