mardi 17 août 2010

Aujourd'hui, pas tellement envie d'écrire et peut-être pas d'inspiration. Seulement cette alerte de la dépeche.fr au sujet du frelon asiatique.
Gaffe et prenez le numéro de téléphone du spécialiste, vous pourrez sauvez nos abeilles, celles qui n'ont pas été empoisonnées par les pesticides, genre roundup ou quelque chose comme ça.

"Frelons asiatiques, c'est la vigilance
attention danger

Le nid qui a été détruite la semaine dernière à Villefranche.

Comme en témoigne la récente destruction d'un nid à Villefranche, la seconde partie du mois d'août est propice à l'accentuation de la prolifération des frelons asiatiques.

Apiculteur par passion, Jean-Pierre Mangé avait déjà, fin 2009, été à l'origine de la destruction d'un nid de frelons asiatiques aux portes de Villefranche-de-Rouergue. Depuis, dans l'ouest Aveyron, faisant figure de référent, on le prévient dès que la présence incongrue, mais destructrice, de ce prédateur est signalée. La semaine dernière, c'est au Raix, entre Villefranche et Saint Rémy qu'il a été appelé. Une occasion pour lui de rappeler certains préceptes. « J'insiste bien auprès des gens qui voient le frelon asiatique, beaucoup plus noir et orangé que le frelon classique, pour qu'ils préviennent ; car cette présence peut avoir des conséquences catastrophiques pour les abeilles et les ruches », détaille-t-il. Rappelant les dégâts occasionnés par ce prédateur, qui dès que son nid commence à grossir et avec celui-ci une quantité importante de larves, a besoin de protéines et donc se jette sur les abeilles dont il se nourrit, Jean-Pierre Mangé met en avant la période cruciale qui va de cette mi-août à la mi-septembre. « C'est maintenant qu'ils commencent à apparaître en nombre ; jusque-là un nid pouvait à peine atteindre la taille d'un ballon de football ; d'ici quelques semaines, il ira jusqu'à un mètre de diamètre », poursuit-il. Seul hic, et non le moindre, les nids de cet insecte grand consommateur de chaleur ne deviennent vraiment visible à la cime des arbres que lorsque les premières gelées arrivent. Et avec elles, la chute des feuilles. « Cela surprend souvent les gens, insiste-t-il, car si dans leurs pièges à guêpes, il trouve de temps à autre un ou deux frelons asiatiques, les quantités n'impressionnent pas. » Sauf que c'est lorsqu'on rentre ces mêmes pièges que leur prolifération s'avère la plus forte. Reste le fond du problème. Ce type d'invasion n'étant pas bon pour la faune indigène, les apiculteurs craignent la présence massive de ces frelons venus d'ailleurs…

Contact : Jean-Pierre Mangé au 0 6 83 52 74 70."

A bientôt.
René.

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