samedi 25 juillet 2009

"S'il y a un diamant dans la poitrine, il brille sur le visage". Proverbe Sanskrit.

Salut à tous ceux qui préfèrent vivre libres, loin des vicissitudes de la ville mégalo. Espérons qu'il restera des terres à occuper.

Bon, qu'il y a t-il à dire en ces périodes de vacances.
Que les vélos du réseau vélib installé à Paris se retrouvent à Bamako selon les mauvaises langues ?
Que l'Amérique, donc Obma, a donné beaucoup aux riches et que les pauvres attendent toujours un geste. Parce que depuis qu'Obama veut redimensionner la sécurité sociale aux Etats Unis, les représentants du congrés, républicains et démocrates confondus dénoncent un futur puits sans fond pour le budget fédéral.
Ah, bon, ils ne disaient pas ça, lorsqu'il s'agissait de renflouer en milliards de dollars les banques.
Par contre, dès qu'il s'agit de donner aux pauvres, ben, là, ils ne sont plus d'accord.
Donc, le changement n'est pas si profond que l'on aurait voulu l'imaginer après l'élection d'Obama. Aux States, faut toujours mieux être riche que pauvre.
Et, partout ailleurs, d'ailleurs.
Pourtant, l'aide de l'état finira de toute façon par se diluer dans le circuit économique, donc, à profiter aux commerçants en final.
Par conséquent, ce qui est bon pour le circuit économique est bon pour l'Amérique. Alors, pourquoi, ne sont-ils pas conttents ces gens là ?
Ils ne devraient pas oublier que ce sont ces banquiers là qui ont renvoyé à la rue des millions d'américains. Ces américains qui aujourd'hui vivent dans une précarité extrême. Pendant que les banquiers, eux, grâce à l'état continuent de vivre dans l'opulence et un mépris des pauvres assourdissant.
Et, dire que cette Amérique là, se pose en moralisatrice du fonctionnement du monde.
A mon avis, les leçons qu'elle donnent, elle ferait bien de se les appliquer.
Parce que dire que la corruption doit être freiner en Afganistan et que les villages doivent profiter du développement, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Enfin, vous voyez à peu près ce que je veux dire mes trois chers lecteurs.
Et, vous le voyez tellement bien que je vais vous quitter.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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