jeudi 11 décembre 2008

"Quand deux éléphants se battent, l'herbe en est écrasée. Quand ils font l'amour, elle ne l'est pas moins". Proverbe Indonésien.

Salut aux combattants des FARC. A 300.000 dollars la tête, vous allez pouvoir refinancer votre mouvement.

Bof, pas grand chose à dire aujourd'hui, à part que pour une fois, je suis d'accord avec la ministre de l'économie, les banques ont joué à l'étranglement des petits comptes courants.
Et, moi, je dis, "Elles doivent payer !"
Une explication : (Le Figaro de ce jour)
"Selon un rapport, commandé par Christine Lagarde qui doit être rendu public jeudi et dont Le Parisien et Les Echos ont pris connaissance, on comptait en France, fin 2007, 43 millions de comptes de crédit renouvelable ouverts, dont 20 millions d'actifs, souvent souscrits par les classes les plus populaires, "ouvriers et employés" étant "sureprésentés" parmi les clients des organismes de crédit. "Or, seulement 9 % des ménages déclarent rembourser ce type de crédit : ainsi, en moyenne, ces foyers disposeraient de huit crédits, alors que leurs revenus se situent entre 11 000 et 20 000 euros par an", relatent Les Echos".
Donc, les banquiers contrairement aux capacités de remboursement de leur clientèle ont accordé des crédits à la consommation à la veux-tu, en voilà. Alors qu'elles utilisent un ratio sur la capacité de remboursement qui aurait dû les freiner dans leur frénésie à endetter les ménages.
D'où une hausse conséquente de demandes en surendettement de ces mêmes ménages qui ne peuvent plus faire face à leurs mensualités.
Par contre, lorsqu'il s'agit de réclamer le capital et les intérêts, les banques sont prêtes à mettre à la rue des ménages et cela sans ménagement.
A mon humble avis, les ménages surendettés devraient se retourner contre les banques à travers les associations de consommateurs pour demander l'annulation de leurs dettes.
Pour quel raison, me direz-vous ?
Simple, les banques ont manipulés le client en lui accordant un crédit qui ne pouvait que s'avérer limite pour sa capacité de remboursement. Et, encore plus, si plusieurs crédit lui a été accordé.
Là, je pointe la responsabilité des conseillers financiers de chaque organisme de crédit.
Donc, la banque ayant induit en erreur son client, il est de son droit de se retourner contre sa banque pour annulation de sa dette. Surtout, lorsque les emprunts se sont fait benoîtement avec des taux d'intérêts variables.
Redonc, dis-je qu'il y a tromperie sur la marchandise et cela de la faute du système bancaire. Par conséquent, il serait sage et moral, qu'il paye sa connerie. Sa connerie étant d'avoir amené des ménages à des taux d'endettement qui les pousse tout droit à la misère.
Aussi, je pousse ce cri, les banques ont trompé leurs clients, "Qu'elles payent !"
Ce cri qui d'ailleurs me rappelle celui d'un certain Tarzan lorsqu'il voyait l'exploitation éhontée de la jungle qu'en faisait les populations locales, "AHAHAHA, ça me fait mal au derche !"
Voilà, donc mes trois chers lecteurs ce que je voulais dire aujourd'hui. Et, si vous partagez mon indignation, alors, nous lancerons une pétition au niveau national.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.

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