vendredi 26 décembre 2008

"L'amour est un jardin fleuri et le mariage un champ d'orties". Proverbe Finnois.

Salut aux derniers oiseaux du paradis de Papouasie New Guinéa, faites gaffes, vous êtes les derniers représentants du jardin d'Eden. Ils finiront par vous éradiquer !

Voilà, il y a des jours comme ça où les fêtes ne sont belles que pour les autres. A Noël, qu'ais-je fait ?
Simple, j'ai ouvert une boîte de sardines, elles étaient magnifiques. Tout ça sur une tranche de pain, c'était la panacée.
A part ça, je trouve que le père Noël est le messager des classes aisées. Pourquoi ?
Simple encore, parce qu'il distribue des cadeaux à tous les enfants sans distinction de classe sociale. Aux riches comme aux pauvres. Alors que les riches ont plus de moyens que les pauvres d'acheter des cadeaux. Donc, dès le plus jeune âge, il véhicule ce message aux enfants des classes les plus favorisées, "Ce n'est pas la peine de partager !" Car le père noël ne distribue pas moins de cadeaux aux enfants de parents aisés pour plus en distribuer aux enfants de parents pauvres. Autrement, ça se saurait.
Vous me direz que ce que je dis n'est que justice puisque les riches ont les moyens de compenser alors que les autres non.
Donc, le père Noël est en droite ligne du côté des classes favorisées. En fait, c'est un putain de réactionnaire qui distribue aux enfants pauvres pour camoufler que son coeur penche plus du côté des richards.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, vous n'aviez pas considéré le message de Noël sous cet éclairage.
Dites donc, heureusement que je suis là pour corriger le tir. Pourtant, je vous l'ai répété, "N'écoutez pas les messages lénifiants des journaleux et des médias en général". Essayez de cultiver votre libre arbitre car de fait vous écarterez de votre route tout ce que notre société tente de vous faire ingurgiter d'aliénant.
Vous resterez des hommes droits et c'est ce qui vous amènera, je l'espère à vous unir pour mieux vous défendre contre ceux qui désormais, clairement, nous oppriment.
Voilà, c'est tout ce que je voulais dire aujourd'hui.
A bientôt, René.

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