lundi 5 mai 2008

"Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même". Proverbe iranien.

Salut à toutes les chenilles processionnaires, bientôt à force de remonter vers le nord, vous atteindrez Babylone.

Donc, une fois, je vous ai commis une petite fable de mon cru. Pourquoi une fable ?
Tout simplement pour vous parler de Jean de La Fontaine, ce noble fabulateur français de l'époque de Louis XIV et ce non moins célèbre plagieur.
Eh, oui, mes chers lecteurs ce grand de l'écriture française piquait tout simplement ses textes à.........Esope !
Qui est Esope.....un écrivaillon célèbre de la Grèce antique.
Mon dieu, mon dieu, notre célèbre n'a été qu'un copieur de texte .
Comment pouvez-vous l'entendre ?
Tout simplement comme ça. Ce type était un enfoiré qui a piqué les textes d'un autre et les a réécrit en françois de l'époque.
Alors, la question qui se pose, est "Qu'est-ce qu'on nous apprend à l'école ?"
Cette fameuse école française qui est tellement au dessous de tout qu'il est nécessaire d'en remanier l'enseignement à chaque gouvernement.
Il est vrai qu'au classement international, elle est plutôt du côté du bonnet d'âne que du bon élève. Ah, oui, parce que le bonnet d'âne si l'on continue, risque de faire sa réapparition à l'école.
Le bonnet d'âne, les coups de règle en fer sur le bout des doigts et une bonne gifle de temps en temps.
Mais, je dis ça, sauf que si j'étais à la place des profs, c'est avec une kalachnikof que je rentrerais dans ma classe. Histoire de régler les petits salopards en culotte courte.....et peut-être leurs parents qui ne sont plus capables de leur apprendre le respect.
Bon, vous me direz que les conditions environnementales ne sont pas forcement réunies pour en faire des performants de l'enseignement. Moi, à mon époque, c'était ferme ta gueule et tu parles quand on te donne la parole.
Faut dire que 68 est passé par là. Après, c'était plutôt, dernier de la classe et au fond de la classe. Sauf que là, c'était un choix perso parce que au fond de la classe, t'es sûr que le prof t'emmerde pas et que tu peux rêver à ton aise. Notamment, en regardant par la fenêtre et en t'imaginant que la vraie vie est justement derrière cette fenêtre.
Pourquoi, je vous raconte tout ça ? Peut-être parce qu'avant de réformer la méthode, il faudrait travailler sur le fond en disant simplement la vérité. En faisant comprendre au delà d'un nationalisme suranné ce qui amenait les peuples européens à se massacrer joyeusement. Et, aussi, pourquoi, la politique du bouc émissaire est toujours une histoire qui marche, la Shoah en étant l'expression finale dans l'horreur.
Par contre, l'enseignement technique devrait amener l'élève à comprendre les applications de ce qui lui est enseigné. Par exemple, on apprend une formule, mais, il peut être nécessaire de montrer aussi à quoi en définitive, elle peut servir. Ce qui aurait pu en ce qui me concerne m'intéresser en comprenant ce à quoi une formule plus une formule peut aboutir. Par exemple, en architecture.
Mais, laissons cela, je sens que je ne vous intéresse pas.
A moins, qu'à votre tour, vous ne réfléchissiez à ce que l'enseignement ne vous a pas donné pour vous amener à vous intéresser au cours que l'on fait à vos gamins.
Mais, passons à autre chose car tout ce que je voulais vous dire, c'est que pour vous rendre compte que vous êtes encore maître de votre libre arbitre, il faut garder un esprit critique.
Un esprit critique s'appuyant évidemment sur la construction d'une pensée et non pas appuyer sur la rumeur ou sur le sens commun.
Mais, basta, parlons plutôt des tibétains et de l'élection en Birmanie.
Deux sujets d'actualité avec un interlocuteur commun : Pékin.
Et, des casses couilles identiques : les moines bouddhistes.
Donc, qu'est-ce qui se passe ? Tout le monde finit par discuter !
Grâce à qui ? A Sarko, évidemment !
Mais, non, je rigole !
Alors, en Chine, le Dalaï Lama au jeux Olympiques ?
Alors, en Birmanie, des élections avec un partage du pouvoir avec des gens issus de la société civile à la botte.
Et, à part ça, quand est-ce que le président de Corée du Nord va nous quitter à la suite d'une crise cardiaque vu qu'il bouffe trop et qu'il boit trop, sans compter la baise ?
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte en vous rappelant que chaque jour par des gestes simples, vous pouvez exprimer votre libre arbitre. Il suffit de ne pas faire ce que vous suggère la pub par exemple.
Et, n'oubliez pas, le ciel n'est plus beau que quand on est loin de son cher pays. C'est bien pour ça que vous devriez laisser les jeunes au RMI voyager un peu dans le monde en leur faisant un contrat. Vous voyagez un an en gardant le bénéfice du RMI et après vous revenez ou il vous est supprimé. Peut-être qu'au bout d'un an, ils auront pris du plomb dans la tête et sauront ce qu'ils veulent faire de leur vie.
Allez, Ciao.
René.

Aucun commentaire: