jeudi 7 mars 2019


Un nouveau remède contre le cancer? On l’aurait trouvé dans l’intestin des fourmis
7 mars 2019 source : Le Savoir perdu des anciens


Un nouvel antibiotique, découvert dans l’intestin des fourmis par des scientifiques russes, pourrait être doté de capacités pour lutter contre certains cancers.
Des scientifiques russes ont découvert, dans l’intestin des fourmis de l’espèce baptisée camponotus vagus, une souche de bactéries qui produisent un antibiotique naturel rare, nommé nybomycine, qui de plus est apparu doté de caractéristiques anti-cancers.
Suite au fait que, ces dernières années, les scientifiques ont découvert plus en plus de super bactéries qui sont résistantes aux antibiotiques connus, les biologistes partent en quête de nouveaux micro-organismes et bactéries qui pourraient lutter contre des menaces contemporaines. C’est pourquoi les scientifiques russes se sont intéressés aux fourmis qui survivent dans de mauvaises conditions sanitaires. Ils ont eu pour but de comprendre comment ces insectes luttaient contre tous les microbes qui les entouraient.
Ainsi, les fourmis sont protégées par des bactéries du type streptomyces, qui élaborent un «antibiotique inconnu» capable de tuer des bactéries de staphylocoque, qui a prouvé qu’il pouvait résister à des médicaments utilisés habituellement. En analysant la structure de cette nouvelle substance, les scientifiques ont conclu qu’il s’agissait de nybomycine, un antibiotique peu étudié mais déjà découvert en 1955.
Qui plus est, les chercheurs ont révélé que la nybomycine possèdait également la capacité de lutter contre les cancers. Notamment, il a réussi à stopper le développement de cellules tumorales dans les poumons. Cette découverte a rendu perplexes les scientifiques pour qui, pour l’instant, le fonctionnement du nouvel antibiotique est encore nébuleux. Son application pratique reste ainsi encore à étudier. 
(Je vais me répéter, notre corps est encore un monde inconnu. Pourtant, il possède des mécanisme de défense et de re-générations propres qui peuvent être déclenchés par le mental pour ceux qui en ont une conscience métabolique, je dirais ou par l'intervention de molécules existant dans la bio-diversité. La médecine chimique peut faire intervenir ses molécules d'une façon brutale par leur concentration causant des dommages collatéraux sans rapport avec la maladie ciblée. Une introduction plus lente comme le pratiquait la médecine traditionnelle ne présente pas ce danger. Je dirais que notre corps est la solution parce qu'il génère la réaction, le mental, un appui fondamental et la bio-diversité qui nous entoure la source de la solution. Tuer la bio-diversité, c'est nous livrer à la médecine chimique qui introduit dans le corps des molécules nocives, les accumulant jusqu'à provoquer un effet coktail que rien ne peut contrecarrer sauf un traitement médical lourd qui nous condamne à la mort. note de rené)

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