lundi 27 novembre 2017

(Comment, le laboratoire pharmaceutique n'était pas au courant ? Les états se sont débarrassés de leur propres laboratoires d'analyse sur "ordre" de big pharma. Mais, au fait, est-ce que ces laboratoires pharmaceutiques rapportent de l'argent à l'état par les impôts par exemple ou lui font-ils dépenser plus d'argent par les maladies dérivées de la prise de médicament et le prix exagéré de ces mêmes médicaments. note de rené)

Certains anticoagulants, prescrits contre les troubles du rythme cardiaque, pourraient détériorer les reins

Publié par Le Nouveau Paradigme sur 25 Novembre 2017, 19:03pm
Catégories : #Santé
Une étude américaine révèle que certains anticoagulants, prescrits pour les fibrillations auriculaires, pourraient détériorer la fonction rénale.


Plus de deux millions de Français prennent des traitements anticoagulants, et ce chiffre ne cesse d'augmenter. Pourtant d'après une étude menée par des chercheurs de la Mayo Clinic de Rochester aux Etats-Unis, la warfarine (Coumadine®) serait associée à un risque élevé de déclin de la fonction rénale.

Comparer les anticoagulants

Les chercheurs ont analysé les données de 9 769 individus atteints de fibrillation auriculaire prenant des anticoagulants oraux non-antivitamine K comme l'apixaban (Eliquis®), le rivaroxaban (Xarelto®), le dabigatran (Pradaxa ®) et l'anticoagulant oral antivitamine K warfarine (Coumadine®). Le but étant d'observer les bénéfices et les risques en comparant les deux sortes d'anticoagulants. Ils sont indiqués dans la prévention de l'AVC chez la plupart des patients atteints de fibrillation auriculaire. Les résultats ont montré que le déclin de la fonction rénale est commun chez les patients atteints de fibrillation auriculaire traités avec des anticoagulants oraux. Les chercheurs ont également remarqué que la warfarine a plus tendance à provoquer des complications rénales indésirables que le dabigatran et le rivaroxaban.

Les personnes atteintes de fibrillation auriculaire concernées

Chez certaines personnes, la fibrillation auriculaire peut entraîner la formation d’un caillot sanguin dans les artères. Ce caillot empêche le sang de bien circuler. Il peut se détacher et se loger dans une artère pulmonaire. On parle alors d’embolie, une complication très grave. Lorsque ce risque est réel, le médecin prescrit un anticoagulant et des antiagrégants plaquettaires. Ces médicaments rendent le sang plus liquide et préviennent la formation des caillots. Les anticoagulants antivitamine K ainsi que non-antivitamine K sont indiqués dans la prévention des accidents thrombo-emboliques, notamment en cas de fibrillation auriculaire.

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