mardi 20 janvier 2015

(blog à finir et à corriger)

Alors, quoi, mes chers cinq lecteurs, manuel valls, premier ministre français qui se comporte comme plus pro juif que moi tu meurs, sans doute parce qu'il est mariée à l'une d'elle, me fait penser aux nouveaux  convertis musulmans, plus rigoriste que moi, tu meurs, va-t-il interdire les blogs et sites qui critiquent Israël sur le net ?
Il est vrai qu'il espère tellement fortement que les "gros" financiers comme les rotschild et autres imposent le retrait à hollande lors de la prochaine élection présidentielle en 2017.
Vu, que le ministre de l'économie du hollande vient directement de la banque rotschild, c'est bien parti pour.
Ca, cela s'appelle de l'ambition, de la vraie, de la pure qui n'en a rien "à foutre" des autres !

(source : Numerama)


Publié par Guillaume Champeau, le Lundi 19 Janvier 2015

Après le terrorisme, les sites antisionistes bientôt bloqués sans juge ?

Pourtant ministre de la justice, Christiane Taubira a proposé que les mesures de blocage ordonnées sans le contrôle d'un juge soient étendues aux sites racistes et antisémites, depuis une liste fixée par le ministère de l'intérieur. Or pour Manuel Valls, les discours antisionistes qui critiquent Israël sont indissociables des discours antisémites. Attention, danger.


Les nouvelles mesures de lutte contre le terrorisme que doit proposer le Gouvernement iront-elles jusqu'à étendre la censure sur simple ordre du ministère de l'intérieur aux sites racistes et antisémites, et par extension fâcheuse aux sites antisionistes ? La question est plus que jamais d'actualité après le communiqué publié vendredi par la ministre de la Justice Christiane Taubira, qui a présenté à l'Ecole Nationale de Magistrature ses propositions de "lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations".
Selon le communiqué, Mme Taubira a proposé — ce qui est un comble s'agissant d'une garde des Sceaux et ce qui contredit ses positions de l'été dernier  — de "confier à l’autorité administrative la possibilité de bloquer les sites et messages de haine raciste ou antisémite", c'est-à-dire d'étendre à ces délits les mesures de censure policière prévues pour l'apologie du terrorisme et la pédopornographie. Il s'agirait de confier au ministère de l'intérieur le soin d'établir les listes de sites à bloquer sans contrôle de leur illégalité par un magistrat.
Or l'on sait que le Premier ministre Manuel Valls a une vision particulièrement large de ce qu'est l'antisémitisme, puisqu'il y inclut non seulement la haine à l'encontre des Juifs, ce qui ne fait pas débat, mais aussi désormais les discours les plus virulents et systématiques contre la politique interne ou étrangère d'Israël, et contre les personnalités dites "sionistes" qui la soutiennent. La frontière n'est certes pas toujours simple à établir entre l'antisionisme et l'antisémitisme, surtout lorsque le premier sert de faux-nez au second, mais la distinction reste absolument nécessaire en démocratie, et ne peut pas être confiée à l'Etat.
Manuel Valls avait exprimé une première fois la confusion des genres dans un discours incroyable prononcé au Trocadéro le 19 mars 2014, lors d'un rassemblement organisé par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). "Cet antisémitisme, et c'est la nouveauté, se nourrit de la haine d'Israël. Il se nourrit de l'antisionisme", avait-il déclaré. "Parce que l'antisionisme, c'est la porte ouverte à l'antisémitisme. Parce que la mise en cause de l'Etat d'Israël, (...) basée sur l'antisionisme, c'est l'antisémitisme d'aujourd'hui. C'est pour cela qu'il faut être d'une très grande détermination".
"Nous devons faire corps pour combattre cet antisémitisme nouveau, qui se nourrit de l'antisionisme, qui se déverse sur la toile et sur l'Internet. Il nous faut réfléchir, il nous faut travailler, il faut si c'est nécessaire, légiférer", avait-il ajouté.
Un an plus tard, Manuel Valls n'a pas obtenu grand chose sur le front du combat contre les sites antisionistes, malgré l'engagement verbal de François Hollande. "Votre gouvernement doit parler d’une voix plus ferme sur ces sujets", avait intimé le président du CRIF Roger Cuckierman face au président de la République, qui lui avait répondu qu'en effet, "si nous arrivons à lutter contre les images pédophiles, nous devons aussi réussir à lutter contre les messages délibérément racistes et antisémites".
Mais les attentats commis contre Charlie Hebdo et contre l'épicerie juive de Vincennes ont remis le sujet de la confusion de l'antisémitisme et de l'antisionisme sur le devant de la scène. Manuel Valls a pu profiter des tristes événements pour rappeler sa position. "L'antisémitisme, le racisme, les actes anti-chrétiens sont des délits. Il y a un an face à Dieudonné, je me suis senti un peu seul", a-il déploré dès le samedi 10 janvier, au lendemain de l'opération menée avec succès contre les frères Kouachi et Amedy Coulibaly.
La tentation de censurer les discours antisionistes (dont il faut rappeler et marteler qu'ils sont absolument légaux en ce qu'ils se contentent de contester une politique pour ce qu'elle produit et non un peuple pour ce qu'il est) n'est pas nouvelle, ni une exclusivité de Manuel Valls. En juillet 2013, l'ancien ministre et actuel député UMP Frédéric Lefebvre avait dit vouloir "éradiquer la propagande antisioniste" sur Internet.
Tant que la justice reste garante de la nécessaire distinction entre antisionisme et antisémitisme, ces discours politiques restent sans grande conséquence. Cependant si la proposition de Christiane Taubira de confier au ministère de l'intérieur le soin de qualifier lui-même les sites qu'il estime être antisémites, et d'en ordonner le blocage immédiat, le risque d'une dérive attentatoire à la liberté d'expression devient extrêmement fort."

Et pour changer, un peu d'histoire de France, pour ne pas dire un peu d'histoire d'Ukraine.

(source : Hérodote.net)

19 janvier 1794

Les «colonnes infernales» de Turreau


Le 19 janvier 1794, le général Louis-Marie Turreau présente à Paris, devant les députés de la Convention, un plan d'extermination de la Vendée.
Près d'un an plus tôt, les paysans de l'ouest de la France s'étaient soulevés contre le pouvoir révolutionnaire parisien au nom de leurs libertés religieuses et par haine de la conscription militaire.
La terrible bataille de Savenay a vu l'écrasement de la «Grande Armée Catholique et Royale» après neuf mois d'exploits et de péripéties. Au début de l'année 1794, le général en chef Henri de La Rochejaquelein a été tué au détour d'un chemin par un Bleuen embuscade. D'Elbée a été quant à lui capturé et fusillé sur la plage de Noirmoutier.
L'insurrection vendéenne semble définitivement matée. Pas assez cependant de l'avis des députés de la Convention qui ont du mal à se remettre de leurs frayeurs. On fusille 2.000 Vendéens, dont la moitié de femmes à Angers, 1.500 à Noirmoutier, 1.800 aux carrières de Gigant près de Nantes. Le représentant en mission Carrier fait noyer 4.000 personnes dans la Loire.
Les «colonnes infernales»
C'est alors que le général Turreau présente son plan d'extermination : 24 colonnes vont pénétrer en Vendée avec la consigne de tout brûler et de tout massacrer. Les horreurs perpétrées par ces colonnes leur vaudront dans l'Histoire le qualificatif d'infernales.
La Vendée est mise à feu et à sang. Dans une seule journée, le 28 février, la colonne de Cordelier fait aux Lucs-sur-Boulogne 563 victimes. Les excès des républicains réveillent les ardeurs des malheureux Vendéens. Les survivants de la guerre redressent la tête et se regroupent derrière deux chefs : Charette et Stofflet.
Les massacreurs sont massacrés à leur tour à Chauché, aux Clouzeaux et ailleurs. La colonne de Crouzat, en l'absence de Stofflet, tue 1.500 personnes dans la forêt de Vezins, le 25 mars. Elle est exterminée, trois jours après, aux Ouleries.
En février 1794, reprise éphémère de Cholet par les Vendéens (musée de Cholet)
Le plan de Turreau a complètement échoué. Il a même eu un effet contraire à celui qui était recherché : la Vendée meurtrie est redevenue redoutable. Les républicains, désemparés, embouchent les trompettes de la propagande. On exalte la mort héroïque de jeunes volontaires victimes des Vendéens, Bara ou Viala.
Vers la paix
Le 13 mai 1794, Turreau est destitué. La Convention qui a besoin de toutes ses troupes aux frontières, évacue la Vendée.
Les bleus se replient dans les camps, aux limites de la Vendée militaire. Le pays respire. Malheureusement, les rivalités entre chefs vendéens continuent ! Le 10 juillet 1794, Marigny est fusillé à la Girardière de Combrand par les soldats de Stofflet. À l'automne, Charette s'empare des camps républicains des Moutiers et Fréligné.
À Paris, cependant, Robespierre est tombé sous le couperet de la guillotine, mettant un terme à la politique de Terreur. Aux frontières, la sécurité est revenue suite à la victoire de Fleurus.
La Convention se lasse d'une guerre civile qui n'a plus guère de motif. Elle envoie des émissaires à Charette pour lui proposer la paix. Les pourparlers se déroulent d'abord à Belleville puis à la Jaunaye, près de Nantes.
Le 17 février 1795, enfin, la paix est signée. Charette exige et obtient la liberté religieuse pour la Vendée. Il fait sa soumission à la République. Le 26 février, il reçoit à Nantes un accueil triomphal. La guerre de Vendée semble définitivement enterrée avec ses cent mille victimes ! Elle va rendre son dernier soupir à Quiberon.
Fabienne Manière.
Publié ou mis à jour le : 2014-01-19 22:03:28

Et, si, les grecs quittent la zone euro et à mon avis, ils devraient quitter l'Europe et surtout ne pas payer cette putain de dette !!!!

(source : 7sur7)

Les Grecs obligés d'abandonner 

leurs enfants pour qu'ils puissent manger


Par: 
23/06/13 - 16h07
© ap.
Des vies et des familles brisées, voilà la réalité vécue par de nombreux Grecs car la crise économique a des conséquences de plus en plus dramatiques sur leur quotidien. Certains parents se voient dans l'obligation d'abandonner leurs enfants dans des orphelinats afin que ceux-ci puissent manger à leur faim.
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Un bâtiment en briques rouges dans une banlieue riche d'Athènes. Ce foyer accueille des enfants qui ne sont pourtant pas orphelins. Ils sont les victimes oubliées de la crise de l'euro, certainement ceux qui payent le plus lourd fardeau, déposés là par leurs parents qui ne parviennent plus à les nourrir. Ils sont des dizaines dans le même cas, placés dans des orphelinats pour des raisons économiques.

D'après cet organisme de bienfaisance, 80 des 100 enfants qui sont logés et nourris y ont été déposés parce que leurs familles ne peuvent plus subvenir à leurs besoins faute de travail. Du coup, la seule solution qui s'offre à eux est de déposer leur progéniture aux organismes de bienfaisance, le coeur brisé, mais l'estomac rempli.

Sans le sou
Il faut dire que près d'un tiers des adultes sont au chômage dans le pays, mais même ceux qui ont encore du travail ont du mal à survivre. Les salaires du secteur privé ont chuté de 30% en quatre ans et de nouvelles taxes ont été imposées. Une impasse financière pour de nombreuses familles qui ne peuvent plus acheter de nourriture. D'ailleurs, les cours de gymnastique ne se donnent plus car les élèves sont sous-alimentés et ils sont nombreux à chercher dans les poubelles pour trouver de quoi remplir leur ventre affamé.

"Ces situations sont tellement traumatisantes pour les familles. Nous avions l'habitude d'avoir des gens avec un niveau économique plus faible, mais maintenant nous en voyons arriver d'autres qui ont perdu leur emploi et n'ont nulle part où aller" confie Tania Schiza, travailleuse sociale. "On a pu voir un changement majeur dans la société grecque au cours des trois dernières années", explique Pavlos Salihos, enseignant et psychologue au sein de SOS Village d'Enfants à Vari. "Nous n'avions jamais de cas comme ça auparavant, c'était juste des problèmes sociaux, mais pas d'une telle ampleur".

Survivre
Certains enfants arrivent en si mauvais état qu'ils peuvent à peine parler. D'après une école, un jeune sur six souffre de malnutrition. Un organisme de santé publique estime que les niveaux de sécurité alimentaire en Grèce ont chuté plus bas que ceux de certains pays africains.

Les taux de suicide et les problèmes de santé mentale à tout âge ont fortement augmenté au cours des trois dernières années. Pour compliquer les choses, il est de plus en plus difficile pour les organismes de bienfaisance à court d'argent de garder ces centres ouverts.

"Les mentalités ont changé et une nouvelle solidarité s'est installée. Mais si cette crise continue encore, comment serons-nous en mesure de prendre soin de tous les Grecs? C'est une question que beaucoup se demandent, en particulier les parents".

bbb

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