mercredi 24 septembre 2014

Salut à tous ceux qui croient que les States se battent pour la liberté, car, le premier peuple qu'ils écrasent, c'est le leur.

Bien le bonjour au gaz de schiste américain, mes chers cinq lecteurs, et à l'exploitation du gaz de schiste en Europe. La crise ukrainienne va permettre aux compagnies américaines de remonter les cours de leur baril et tenter de le rendre rentable.......enfin !

(source : Ria novosti)

Presse russe

Russie-Europe: le secteur énergétique bloqué par les sanctions

Dossier: Sanctions contre la Russie

Kommersant
11:57 24/09/2014
MOSCOU, 24 septembre - RIA Novosti
Les sanctions technologiques infligées par les USA et l'UE au secteur pétrolier russe pourraient également affecter le secteur gazier, écrit mercredi le quotidien Kommersant.
Dans certains cas, en effet, les compagnies pétrolières et gazières utilisent les mêmes équipements. Le géant russe Gazprom reconnaît déjà que les fournisseurs préfèrent assurer leurs arrières. Dans le même temps, le désarroi règne sur le marché: ni les compagnies pétrogazières russes ni leurs partenaires occidentaux n'arrivent encore à comprendre comment travailler dans le contexte des sanctions. Des amendes élevées pourraient être infligées à quiconque essaierait de les contourner et les partenaires étrangers sont donc très prudents.
La conférence Pétrole et gaz de Sakhaline 2014 a mis en évidence que les acteurs du secteur pétrogazier n'avaient toujours pas compris comment travailler dans le cadre des sanctions adoptées contre la Russie. Les rapporteurs ont tenté d'arrondir les angles à ce sujet.
Le gouverneur de la région de Sakhaline Alexandre Khorochavine et le vice-ministre de l'Energie Kirill Molodtsov ont ainsi répété que les sanctions n'affecteraient pas les accords de partage de production déjà actifs, laissant entendre qu'il existait une part de risque pour les nouveaux projets. Le vice-ministre Kirill Molodtsov a reconnu que l'analyse des conséquences juridiques des sanctions n'était pas achevée et demanderait du temps pour comprendre quels équipements et quels projets exactement sont concernés.
Contrairement aux attentes, les représentants des partenaires étrangers des compagnies russes – Shell et ExxonMobil – n'ont pratiquement pas participé à la conférence. L'unique rapport d'Exxon Neftegaz Ltd concernait les questions techniques du travail sur le plateau. En marge du forum, certains prestataires européens ont constaté que les sanctions avaient "complètement changé l'espace de travail", reconnaissant qu'ils ignoraient quelles formes de coopération seraient conservées.
Selon le vice-président de Gazprom Alexandre Medvedev, le monopole est doté à 90% de ses propres technologies et équipements dans les projets gaziers. Mais même si les sanctions concernent seulement le pétrole, "les codes de certaines positions industrielles sont identiques pour le pétrole et pour le gaz". "Nous sommes confrontés à ce problème quand les fournisseurs, craignant les sanctions, cherchent à adapter leurs positions marchandes par rapport aux listes de sanctions", explique le haut responsable. Il a suggéré que l'interprétation de ces mesures dépendait de la position de chaque pays en particulier. Par exemple, les régulateurs allemands ont autorisé Europipe à fournir des tuyaux pour le projet South Stream, alors que des questions s'étaient également posées.
Une source d'une compagnie pétrolière souligne que pratiquement tous les acteurs du marché sont confrontés au même problème: certains sous-traitants refusent les fournitures en motivant leur décision par les sanctions, bien que les achats soient autorisés pour un projet concret et ne pourraient être utilisés à d'autres fins. D'autres sociétés ajournent les livraisons en attendant les explications des autorités.
Vitali Krioukov, directeur de Small Letters, souligne que les fournisseurs ont bien des choses à craindre et que leur réaction est logique. Il rappelle que cet été, BNP Paribas a déboursé presque 9 milliards de dollars aux USA après les réclamations du Trésor américain concernant le contournement des sanctions contre le Soudan, l'Iran et Cuba. A la fin de l'été les mêmes accusations ont été portées contre la Commerzbank allemande, qui risque une amende de 650 millions de dollars. "Dans ces circonstances, il serait plus raisonnable financièrement de quitter le marché russe", indique l'expert. Les compagnies russes espéraient que leurs partenaires occidentaux trouveraient un moyen de contourner les sanctions mais "ces derniers ne cherchent pas à le faire – ils ne veulent pas prendre de risques", conclut Vitali Kriouk."

Et, attention les banques américaines is watching you. Ben, alors, qu'est-ce qu'il se passe, vous ne contrôlez pas les petites mains de l'administration, seulement, les gros bonnets ?
Too bad for the too big to fall !
D'ailleurs, comment la présidence des Etats-Unis peut-elle se permettre de nommer à des postes clés ou de prendre comme conseiller des ex (vite dit) directeurs de banques qui s'évertuent à ne payer l'impôts ou à pratiquer des crimes en cols blancs ?
Est-ce moral, monsieur Obama ou monsieur Hollande ?

(source  : le Contrarien matin)







espion

Les USA ont recruté des « indics » au sein des banques

C’est une information précieuse que révèle le journal économique suisse Bilan et qui en dit long sur les méthodes d’enquête américaines mais également sur les banques visées par des méthodes « d’infiltration » et un système d’indic rémunérés et de « repentis ». En gros, cela donne l’impression que le gouvernement américain lutte contre les banques avec les mêmes méthodes que celles utilisées contre la mafia… Surprenant.
Vous ne serez pas étonnés de retrouver dans le tas quelques grandes banques européennes, dont la BNP Paribas à nouveau citée. J’espère que cela ne va pas encore coûter 10 milliards de dollars à la banque.
Charles SANNAT
Les autorités américaines ont annoncé mercredi des prochaines poursuites pénales contre de grands banquiers après avoir réussi à retourner certains d’entre eux en « indics » dans le cadre d’enquêtes en cours sur les manipulations supposées de marchés.
« Nous avons fait beaucoup de progrès dans les dossiers portant sur des pratiques ayant sapé l’intégrité de nos marchés (financiers) et nous allons engager les poursuites dans les prochains mois », s’est félicité le ministre de la Justice Eric Holder dans un discours à l’Université de New York.
S’il n’a pas donné de nom, M. Holder a circonscrit le champ aux dossiers du taux d’intérêt Libor et du marché des changes.
« Dans notre enquête en cours sur le Libor (…) ces « témoins » qui sont au sein de grandes firmes financières mondiales ont joué un rôle important », a-t-il souligné.
« Ils ont renforcé notre capacité à avoir et à suivre des pistes ; à obtenir des plaider coupables de filiales de grosses banques comme UBS et RBS (Royal Bank of Scotland, ndlr) ; à avoir des éléments à charge contre neuf anciens traders qui travaillaient dans ces institutions. »
Et de poursuivre : « Notre enquête en cours sur la manipulation des taux de change s’appuie sur ces techniques d’investigation qui impliquent des indics. »
De multiples enquêtes ont été ouvertes ces derniers mois dans le monde sur les manipulations dont se seraient rendues coupables de grandes banques sur les marchés des changes et du Libor.
Les courtiers d’une série de grandes banques s’étaient par exemple entendus pour manipuler le Libor, un taux central dans le monde de la finance ayant une incidence sur une masse énorme de produits financiers, dont certains prêts aux ménages et aux entreprises.
Les banques visées par ces enquêtes sont la française BNP Paribas, les suisses Credit Suisse et UBS, les britanniques Barclays, HSBC et RBS, l’allemande Deutsche Bank, les américaines Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs, JPMorgan Chase et Morgan Stanley.
PAYER PLUS LES INDICS
Ces annonces interviennent alors que M. Holder et ses services sont critiqués par l’opinion publique américaine qui leur reproche de n’avoir pas réussi à traîner devant les tribunaux un seul grand nom de Wall Street, dont les errements sont à l’origine de la plus grosse crise financière depuis la crise de 1929.
« Je comprends que ce soit une source de frustration pour l’opinion (…) mais nous ne pouvons traduire en justice que si nous disposons de faits nous faisant penser que nous allons obtenir une condamnation », s’est défendu mercredi M. Holder.
Depuis 2009, le ministère américain de la Justice (DoJ) a traité 60 dossiers liés à la crise de 2008 concernant des institutions financières.
Elle a réussi à leur imposer des amendes d’un montant de 85 milliards de dollars. Mais quasiment aucune action n’a été portée au pénal contre un banquier.
Le DoJ peut se targuer de pénalités financières record notamment contre Bank of America (16,65 milliards de dollars) et JPMorgan (13 milliards).
Il est aussi parvenu à obtenir des banques helvète Credit Suisse et française BNP Paribas de reconnaître leur culpabilité dans des affaires respectives d’évasion fiscale et de violations d’embargos américains.
Dans un univers où les gros bonus peuvent être un frein à la délation, M. Holder souhaite augmenter la rémunération accordée à ces « informateurs » pour les inciter à coopérer.
La loi de réforme financière américaine FIRREA plafonne à 1,6 million de dollars le montant maximum pouvant être versé à un informateur. M. Holder voudrait que ce verrou saute.
« Ceci pourrait aider de façon importante le département de la Justice à réunir des preuves de malversations dans les dossiers financiers complexes », plaide-t-il.

Et, cette nouvelle qui est un grand n'importe quoi !
Ils nous créent un pays ennemi contre lequel faire la guerre, mais, quelle guerre ?
(source : la Voix de la Russie)

L’Europe bruxelloise contre la liberté d’expression ?

Par La Voix de la Russie | Une nouvelle qui fait pratiquement figure de bombe. Plusieurs politiciens de l’Union Européenne insistent sur la « nécessité » d’interdire l’accès de l’Europe bruxelloise aux journalistes russes. Aveu de faiblesse, propagande des médiasmainstream en panne ou simplement énième tentative de lutter contre la Vérité et la liberté d’expression ?

europe bruxelles
Crédit : Екатерина Андреева / « Голос России »
C’est bien connu, le mainstream occidental a dominé l’espace médiatique international durant de longues années. À un certain moment, on en est même arrivé à la situation dans laquelle des faits étaient totalement déformés du début à la fin, dans le simple but de justifier des interventions criminelles et néocoloniales, et de contrôler ainsi l’opinion publique aussi bien occidentale que mondiale, permettant de commettre en toute impunité les crimes en question.
Mais les temps changent. Le développement des nouvelles technologies, et notamment d’Internet, a permis l’apparition d’un nombre conséquent de médias alternatifs, y compris au sein même des États occidentaux. Cette révolution a notamment ouvert la voie à une diversification massive des sources d’information, ce qui au final permet à ceux qui le souhaitent de prendre note des informations issues de ces différentes sources, d’analyser les informations reçues et de se créer sa propre opinion, quel que soit le thème traité. Chose vraisemblablement à laquelle le mainstream n’était aucunement prêt.
Peu étonnant donc que certaines voix s’élèvent au sein de l’Occident politique et médiatique pour tenter de contrer ces nouvelles sources informationnelles à l’heure où leurs médias vivent une véritable crise de confiance de la part de leurs propres concitoyens, sans parler même de leur influence en chute libre au niveau mondial. Le premier journaliste russe ayant été visé par les sanctions occidentales est Dmitri Kisselev, le célèbre présentateur TV et directeur général de l’Agence d’information internationale Rossiya Segodnya, devenant par la même occasion le premier journaliste au monde à faire officiellement objet de sanctions politiques de la part de ceux qui crient chaque jour qui passe que la liberté d’expression est un droit inébranlable.
La junte de Kiev, le nouvel allié occidental, responsable par ailleurs de la mort de plusieurs journalistes russes comme étrangers, a de son côté déjà établi sa propre liste de journalistes russes et étrangers travaillant pour les médias de Russie et n’entrant pas dans le cadre du mainstream, qui sont désormais interdits d’accès sur le territoire ukrainien. Des choses à cacher ? Peur de la vérité ? Quoiqu’il en soit, le représentant de l’agence d’information ukrainienne UNIAN, qui appartient au sinistre oligarque israélo-ukrainien Igor Kolomoïsky, ce dernier étant parallèlement le principal sponsor local de l’expédition punitive des troupes néofascistes contre les habitants de Novorossia, lui se balade tranquillement à Moscou et se permet même de temps à autre, de raconter ses inepties lors de débats radio-télévisés russes auxquels il est parfois invité. Pareil pour ses collègues travaillant en Russie pour les médias du mainstream et les agences de presse occidentales.
Et aujourd’hui, cette « nouvelle » Ukraine demande officiellement à ses alliés bruxellois de fermer l’accès aux pays de l’UE à plus de 300 journalistes russes. Et d’après plusieurs sources, certains eurodéputés sont déjà prêts à soutenir cette « initiative ».
Que l’Ukraine fascisante adopte une telle attitude n’est aucunement surprenant. Tout gouvernement qui adopte l’idéologie néofasciste comme modèle de développement utilise des méthodes qui sont propres à un tel régime. Mais si l’Europe bruxelloise, qui aime tellement donner des leçons en termes de démocratie, de droits de l’homme et de liberté d’expression, et ce aux quatre coins du monde, se laisserait aller aux mêmes penchants, ce serait tout simplement un signal plus que clair à toute l’humanité que ceux qui se présentent en maîtres absolus de la liberté d’expression, seraient trop loin des idéaux qu’ils désirent « inspirer » au monde. Autre fait surprenant, même en pleine guerre froide, il n’était pas question de sanctionner des journalistes de part et d’autre. D’ailleurs, plusieurs journalistes et correspondants soviétiques ayant travaillé dans les pays occidentaux à cette période affirment n’avoir jamais eu à faire face à de telles mesures, mêmes passagères.
Visiblement, au XXIe siècle, cette pratique est devenue d’actualité. Reste à penser que les leaders bruxellois n’iront pas s’enfoncer davantage dans le ridicule en copiant leurs « nouveaux amis » néofascistes. Le faire reviendrait à définitivement ouvrir les yeux à leurs propres citoyens, pour certains encore hésitants, que la vérité est bien ailleurs qu’au sein de l’Occident médiatique. Quant aux autres médias, russes et pas seulement, n’entrant pas dans cette logique du mainstream et connaissant une popularité montante sans précédent, leur influence ne ferait alors que s’accroître encore plus rapidement pour devenir de véritables références en matière de ré-information. Et c’est peut-être la première fois depuis bien longtemps que l’Occident politique et médiatique serait en train de perdre la guerre de l’information qu’il mène sans relâche contre ceux qui ne se soumettent pas à son diktat."










































































Et, cette autre nouvelle concernant l'Irak. Bizarre, bizarre !

(source : Iran French radio)





Irak : les avions américains bombardent le Hezbollah !







bombardement hezbollah avion us
IRIB — Les brigades du Hezbollah d’Irak déchirent le voile sur la vrai nature de la mission des avions de combat et des drones américains en Irak :
L’aviation américaine bombardent, en lieu et place des positions de Daech, celles appartenant à l’armée nationale irakienne et aux forces volontaires, dont le Hezbollah
C’est le site Al Massala qui rapporte cette information :
« Les chasseurs et les drones américains ont pris d’assaut les positions des forces irakiennes et des forces volontaires dans le nord de Babylone. Ces raids témoignent des véritables intentions des États-Unis dans la prétendue guerre qu’ils disent avoir déclenchée contre le terrorisme de Daech », affirme une source proche du Hezbollah qui appelle les Irakiens et tous les peuples de la région à être vigilants vis-à-vis des politiques à double standard et extrêmement ambiguës des Américains, politiques à géométrie variable surtout dans le dossier de lutte contre le terrorisme. « Les objectifs recherchés par les États-Unis et leurs alliés arabes sont parfaitement clairs ; ils veulent une emprise totale sur tous les États souverains de la région, leur démembrement et l’affaiblissement de leur armée. En Irak, ils cherchent surtout la disparition de l’armée nationale et de tous les corps mobilisés de volontaires comme le Hezbollah, Saraya al Islam, et les forces populaires. »
Si les États-Unis avaient été sincères dans leur prétention de lutte contre Daech, ils n’aurait jamais bombardé la localité de Al Awissat, dans le nord de Babylone. Cette  localité a été frappée mercredi dernier alors que les chasseurs américains ont laissé intacts les positions de Daech à Jaraf al Sakhar, à Fallouja et dans d’autres localités. Ces localités avaient d’ailleurs été identifiées par nos forces… Pour la seconde fois en l’espace d’un mois, les États-Unis ont frappé à coup de missiles intelligents les positions conjointes des forces armées, du Hezbollah et des forces volontaires. Ce n’est pas par inadvertance, car les équipements utilisés par les Américains sont extrêmement complexes et ne laissent aucune place à l’erreur !! La réalité est que l’axe de la Résistance est la seule partie qui s’oppose effectivement au complot terroriste et qui est capable de sauver l’espace géographique et géostratégique de la région."



























































Et, dans la rubrique, "Papa, un jour, je serais riche !"

(source : Demotivateur)

La police a fait une descente dans la villa d'un grand baron de la drogue au Mexique... Ce qu'ils ont découvert fait vraiment froid dans le dos !

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Oubliez tous les films de mafia que vous avez pu voir : Les choses qui se trouvaient dans cette maison qui a été saisie par la police dépassent l'entendement humain et l'imagination des réalisateurs ! Voilà à quoi ressemble vraiment le quotidien des grands seigneurs de la drogue...

Une paire de pistolets identiques a été trouvée.357 Magnum semi automatiques, avec des poignées en or massif Ce type avait une plus grosse collection d'armes à feu que celle possédée par la plupart des musées... Juste une petite villa tranquille dans les collines... Merci l'argent de la drogue ! Une grotte artificielle avec des bains d'eau chaude se trouvait dans la maison Une collection d'animaux exotiques—traités avec le plus grand soin et de la manière la plus exquise qui soit, au passage. Pas moins de 8 lions se trouvaient dans la propriété Un tigre blanc, rarissime La petite piscine du jardin de derrière... Une collection d'art exotique—une bonne partie interdites à la possession, d'autres volées. Plus d'armes que vous ne pourrez jamais vous imaginer Cette petite pile de cash, avant d'être comptée, a été estimée à plus de 18 milliard de dollars ! Après avoir été comptée, il s'est avéré que toutes les estimations etaient fausses : la pile s'élevait à un peu plus de 22 milliard... Des flingues etaient cachés un peu partout dans la maison, avec un stock improbable de munitions, juste en cas de problème...  Dans chaque petit trou des murs, derrière chaque paroi, se trouvaient des piles de billets de 100$ entassés. Il paraît que c'est un très bon isolant.... Une petite malette vraisemblablement préparée pour un deal à venir. En tout, 18 boites comme celle-ci ont été trouvées, remplies de billets de 100$Un placard rempli à ras-bord de billets—uniquement de 100$  Encore des billets. Chacun de ces paquets vaut 250,000 dollars américains (quatre paquets équivalent à un million). Il y avait également des milliards en pesos mexicains et colombiens Une armoire etait également remplie de yuan chinois D'autres armes en or massif—la plupart n'avaient jamais servi et etaient juste conservées à valeur de collection

Juste pour donner un ordre d'idée, l'argent et l'ensemble des objets de valeur contenus dans cette seule maison suffirait pour payer les assurances-maladie de tous les habitants du continent nord américain pour une période de 12 ans..! Rien qu'au Mexique, on estime qu'il reste encore 27 maisons similaires... Les personnes qui s'enrichissent grâce au traffic illégal de drogue ont tant d'argent qu'en comparaison, les rois du pétrole d'Arabie Saoudite font figure de crève-la faim. Leur argent peut acheter le silence, voire la bénédiction des politiciens, des flics, des juges etc. "

Et, pour finir, cet article concernant une village canadien qui a empêché un forage prétrolier à 100 mètres de son puit pour l'eau potable.

(source : La presse.ca)

Une firme pétrolière attaque un village pour avoir protégé l’eau


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Paysage de campagne pollué par du pétrole échappé d'un oléoduc
La commune de Ristigouche est poursuivie pour avoir interdit le forage pétrolier près des sources d'eau
Au Canada, une petite commune est poursuivie en juste pour avoir empêché une compagnie pétrolière de forer à proximité des sources d'eau potable.
C’est un peu l’histoire de David contre Goliath. Sauf que dans ce cas le géant Goliath n’est autre qu’une société pétrolière, Gastem. Cette firme canadienne réclame 1,5 millions de dollars canadiens (soit un peu plus d’un millions d’euros) à Ristigouche, municipalité de 168 habitants pour.
Poursuivi pour avoir protégé les sources d’eau potable
Gastem, société pétrolière canadienne, réclame plus d'un millions d'euros à une petite commune québécoise de seulement 168 habitants. En cause, la décision de la municipalité de faire interdire le forage dans un rayon de 2 km autour des sources d'eau potable, afin de les préserver de la pollution liée à l'extraction des énergies fossiles. En mars 2013, la petite commune de Gaspésie (péninsule canadienne) avait adopté un règlement visant à protéger les sources d’approvisionnement en eau. “C’est un règlement populaire demandé par une majorité écrasante des résidents. En adoptant ce règlement, le conseil municipal a fait son devoir de protéger le bien commun de la communauté" a déclaré François Boulay, maire de Ristigouche.
Or, en juillet 2012, les autorités provinciales du Québec avait accordé à Gastem une licence d’exploitation. C’est pourquoi la firme pétrolière, s’estimant lésée, intente une action en justice à Ristigouche, lui réclamant une somme qui représente 5,5 fois le budget annuel de la municipalité.
La commune appelle à la solidarité pour pouvoir se défendre
En plus des indemnités colossales réclamées par Gastem, Ristigouche doit faire face à d’importants frais de justice. Mais la petite commune n’en a pas les moyens. “Avec 168 habitants, on n'a pas les capacités pour se défendre” confiait le maire au journal canadien La Presse.
C’est pourquoi la municipalité appelle à la solidarité et le soutien financier des Québécois en lançant Solidarité Ristigouche, une plateforme de dons en ligne. À ce jour, le montant des donations s’élève à 87 500 $CA, soit 39 % des 225 000 $CA nécessaires.
La société pétrolière, quant à elle, assure vouloir simplement récupérer la somme investie dans la préparation du forage.
Ristigouche demande l'appui du gouvernement
Après l'interdiction décrétée par Ristigouche en mars 2013, 70 communes canadiennes lui avaient emboîté le pas, dès juillet 2014, lorsque fut adopté le Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection (RPEP) dans l'ensemble du Québec. Pourtant, la commune est la seule à être sous le coup d'une procédure judiciaire. Le RPEP n'étant pas rétroactif, Gastem est libre de poursuivre la commune en justice pour demander réparation.
Aujourd’hui encore, la municipalité gaspésienne cherche du soutien auprès du gouvernement, jusque-là sans succès. Sa demande auprès de Pierre Moreau, ministre des Affaires municipales s’est heurté à un refus. Le ministère estimant qu’il ne pouvait “s’immiscer dans un dossier faisant l’objet d’une poursuite judiciaire.” Mais les élus de la commune n’excluent pas de se tourner à nouveau vers Pierre Moreau pour demander au gouvernement une aide financière ou au moins sa participation aux négociations avec Gastem.
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Bien le bonjour chez vous.
René.

PS : De plus en plus de doute s'expriment sur l'origine de l'épidémie d'Ebola en Afrique.

(source : Wikistrike)

Des experts d'un laboratoire d'armes biologiques qui fabriquait une nouvelle souche du virus Ebola tués dans le vol MH17 ?
Traduit de l'Italien - Photo: Glenn Thomas
Des experts d'un laboratoire d'armes biologiques qui fabriquait une nouvelle souche du virus Ebola tués dans le vol MH17 ?


Glenn Thomas, consultant principal à Genève pour l'OMS, un expert du sida et, surtout, expert du virus Ebola, était à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines abattu à la frontière entre l'Ukraine et la Russie.
 
Glenn Thomas était également le coordonnateur des médias pour l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et il a été impliqué dans les enquêtes qui s'intéressaient à la question des opérations d'essai du virus Ebola dans le laboratoire d'armes biologiques à l'hôpital de Kenema. Maintenant que ce laboratoire a été fermé par décret du gouvernement du Sierra Leone, plus de détails émergent sur ​​les intérêts cachés derrière sa gestion.
 
Bill et Melinda Gates ont des liens avec des laboratoires d'armes biologiques situés à Kenema, l'épicentre de l'épidémie d'Ebola développée à partir de l'hôpital où des essais cliniques étaient menés sur l'homme pour le développement d'un vaccin. Après l'ouverture d'une enquête informelle, il semble que le nom de George Soros, via ses fondations, finance le laboratoire d'armes biologiques.
 
Glenn Thomas était au courant de preuves montrant que le laboratoire avait manipulé un diagnostic positif du virus Ebola [au nom de l'Université de Tulane] pour justifier un traitement médical coercitif sur la population, un vaccin expérimental qui, en fait, a propagé le virus Ebola. Glenn Thomas avait refusé de cautionner cette imposture, contrairement à certains qui travaillent à l'Institut de la Santé et qui sont maintenant conscients que Glenn Thomas a été assassiné. 
 
Les médias officiels n'ont jamais rapporté une seule nouvelle sur la présence du laboratoire d'armes biologiques à Kenema, et encore moins l'ordre donné à l'Université de Tulane d'arrêter les essais impliquant le virus Ebola.
 
Le milliardaire George Soros, à travers son réseau de fondations "Open Society", a mis en place depuis de nombreuses années "des investissements importants" dans le "triangle de la mort de l'Ebola", soit au Sierra Leone, au Libéria et en Guinée. Par conséquent, le motif de George Soros pour éliminer le porte-parole de l'OMS, Glenn Thomas, était d'arrêter la propagation des nouvelles par les voies officielles à l'effet que l'épidémie d'Ebola a été orchestrée à une table dans un laboratoire d'armes biologiques. 
 
Une longue série de coïncidences étranges émergent de l'hôpital de Kenema, centre de recherche où a travaillé Cheikh Humar Khan, le médecin-héros qui est décédé le 29 juillet dernier après avoir été infecté par le virus Ebola. Khan a dirigé le laboratoire où les tests ont été effectués sur la population locale pour trouver de nouveaux cas. Laboratoire qui a un partenariat avec l'Université Tulane à la Nouvelle-Orléans, célèbre pour son expertise sur les maladies tropicales et la recherche sur l'Ebola.
 
L'hôpital de Kenema collabore également avec l'Institut de recherche médicale de l'Us Army, le secteur des forces armées américaines qui est en charge des maladies infectieuses. Selon les déclarations officielles, des expérimentations et tests ont été faits pour le développement de vaccins contre la fièvre jaune et la fièvre de Lassa pour vacciner les soldats. Selon les populations locales, des essais d'armes biologiques, soit de nouveaux virus créés pour être utilisés en temps de guerre, ont été faits, raison pour laquelle elles ont attaqué le centre de Kenema puisque tous ceux qui sont venus passer un dépistage pour le virus Ebola sont ressortis malades. Tant et si bien que le Ministère de la Santé du Sierra Leone, le 23 juillet, a fermé le laboratoire et l'hôpital et a transféré les patients au centre de traitement Kailahun et a ordonné à l'Université de Tulane de cesser les tests sur le virus Ebola. Quel test? Ça n'a pas été précisé. Le Ministère a également ordonné au CDC, le Center for Disease Control aux États-Unis, «d'envoyer officiellement les conclusions et recommandations de l'évaluation du laboratoire de Kenema" à propos de ce qui n'est pas clair. 
 
Une étude publiée en juillet par le CDC et signée par Humar Khan, Randall Schoepp, Cynthia Rossi et Joseph Augustin Goba Foire, a signalé que «le virus Ebola qui a infecté le Sierra Leone pourrait être le résultat d'un virus ou d'une variante de la génétique Bundibugyo du virus Ebola". Le 31 juillet, le président de ce petit pays d'Afrique Ernest Bai Koroma a déclaré l'état d'urgence et il a parlé de la recherche du Dr Khan qui demandait si la virulence du virus Ebola avait été obtenue par une mutation génétique. Pourquoi le virus qui cause la fièvre hémorragique en Afrique existe (et tue) depuis des siècles séjourne dans certaines limites? La directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, a commencé en août à se demander s'il existe une mutation du virus Ebola ou une adaptation du virus.
 
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