lundi 24 février 2014

(blog à finir et à corriger)

J'intercale ici une nouvelle importante, les suisses récupèrent le droit inné de la nation à fabriquer son propre argent.
Prenez exemple, citoyens américains, prenez exemple citoyens européens dont les gouvernements ont vendu  ce droit in-saisissable au profit des banques privées afin d'asservir les nations.
Pensez-y, aux Etats-Unis, la FED corrompt et fabrique la dette pour soumettre l'état démocratique et le transformer en administration au service de la finance de Wall Street et des multinationales.
En rendant, le citoyen américain au même niveau que le serf du moyen âge en Europe, le serf ou le moujik.

(source : Inform'Action)

Contre la dictature de la finance : la bombe atomique des citoyens suisse !

Portrait de Renaud Schira
Date: 
19/02/2014
Avant-hier, en parcourant ce « cerveau collectif » qu’est Facebook, je suis tombé sur la publication d’un de mes amis et par la même occasion, je suis tombé des nues. Les médias « main stream », si prompts à sortir l’artillerie lourde contre les votations des Suisses sur les minarets ou l’immigration massive, se sont bien gardés de nous informer de cette initiative en cours, qui a recueilli à ce jour près de 50 000 signatures mais il lui en faudra le double pour déboucher sur un référendum. C’est de la bombe. J’en ai rêvé, et les Suisses sont peut-être en train de le faire. Il faut absolument qu’ils aboutissent. Non seulement pour eux mais pour nous tous. C’est pourquoi nous devons les soutenir. J’invite tous ceux d’entre nous qui ont des amis et connaissances au pays des Helvètes de les contacter et de faire la promotion de cette initiative citoyenne. Si l’insurrection des fils (et des filles) de Guillaume Tell contre les Banksters (et les banques suisses sont puissantes !) est couronnée de succès, alors tout espoir sera permis pour nous-mêmes et les générations futures.

Voici donc de quoi il s’agit :

J’ai traduit l’essentiel de l’article ci-après :

« L’initiative citoyenne la plus importante des 20 dernières années devrait être lancée le 1er mai : la transformation du franc suisse d’argent-dette en « plein argent » [100 % money comme disent les économistes anglo-saxons]. C’est ce qu’ont décidé hier [le 8 janvier 2014 puisque l’article est daté du 9] à Zurich les responsables de l’association pour la modernisation de la monnaie. L’initiative « Plein argent – pour un argent à l’abri de la crise dans l’intérêt de tous : la création monétaire à la seule banque centrale » veut mettre fin à la création de la monnaie par les banques privées.

90 % de l’argent – la plupart des gens n’ont pas conscience de cette monstruosité – est créé littéralement à partir de rien par les banques. Le monopole de la banque centrale ne s’étend qu’à la monnaie fiduciaire [pièces et billets]. L’argent scripturaire, utilisé pour la plupart des paiements, est créé par les banques elles-mêmes chaque fois qu’elles octroient un crédit. Elles ne prêtent pas l’argent des épargnants – ceux-ci le conservent et peuvent s’en servir pour leurs paiements – , mais créent de l’argent qui n’existait pas par un simple jeu d’écritures. (…) La loi ne les oblige qu’à avoir 2,5 % du montant des prêts en dépôt. [c’est ce qu’on appelle le système des « réserves fractionnaires »]
 
Le revers de la médaille n’est pas seulement l’insécurité de nos dépôts bancaires, mais une montagne de dettes qui grossit sans cesse, qui est de plus en plus difficile à rembourser et dont souffrent principalement les salariés. Car la plus grande partie de la richesse nouvellement créée n’irrigue pas l’économie réelle, où la majorité gagne son pain quotidien, mais la finance qui permet de réaliser des gains rapides. (…)

Le privilège de la création monétaire draine des sommes considérables dans des poches privées alors qu’elles devraient revenir à la collectivité. L’article 99 de la Constitution (…) n’inclut pas la monnaie scripturaire (…). C’est cette lacune que les initiateurs veulent corriger. Le 100 % monnaie est ainsi appelé car toute la monnaie, même la monnaie scripturaire, est garantie par la banque centrale, et pas seulement 2.5 %. C’est pourquoi cet argent est à l’abri des faillites bancaires. L’idée selon laquelle un tel scénario ne pourrait se produire que dans les pays du Sud de l’Europe, fortement endettés, mais pas dans l’opulente Suisse est malheureusement une illusion. (…)

Bien qu’il paraisse révolutionnaire, ce concept n’est pas nouveau. Dans les années 1930, une large majorité de professeur d’économie américains se sont prononcés pour le « 100 % money » pour sortir de la crise. Dans une étude du FMI de 2012, le contrôle étatique de la création monétaire a été préconisé. (…)

Pourtant, les obstacles à cette initiative sont considérables : la compréhension générale de la vraie nature de l’argent bancaire est faible, même parmi les banquiers et politiciens qui devraient bien connaître le sujet. Les médias y portent peu d’intérêt, en particulier ceux qui vivent de la publicité pour les banques. Et les banquiers n’ont absolument pas intérêt à se soumettre à un débat public sur leurs privilèges insoupçonnés (…). Les initiateurs et leurs conseillers économiques (dont quelques professeurs émérites) sont ainsi dépendants du soutien des rares personnes qui sont conscientes des énormes enjeux de la création monétaire. Jusque là, 40 000 signatures [47 500 à ce jour] et 30 000 francs de dons ont été recueillis, ce qui est encore insuffisant. (…) »

Pour plus de renseignements et un suivi de cette initiative : http://www.vollgeld-initiative.ch/?&L=1

En quoi est-ce révolutionnaire ? Comme l’expliquent André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder dans La dette publique, une affaire rentable, (1) le système bancaire vampirise littéralement l’économie réelle en ponctionnant des sommes considérables et parfaitement indues, par l’entremise de la dette publique. Un Etat n’a pas besoin d’emprunter aux banques privées, il peut se prêter à lui-même, sa banque centrale peut créer la monnaie dont il a besoin pour financer les services publics, puis la détruire en se remboursant (l’opération n’est donc pas inflationniste). Le tout sans intérêts.

Or, voici que notre souveraineté monétaire a été transférée à l’Europe donc la banque centrale s’interdit de financer directement les Etats (art. 104 du traité de Maastricht, confirmé par l’art. 123 du traité de Lisbonne), les obligeant à emprunter à des banques privées moyennant des intérêts dont le taux varie en fonction de la confiance des investisseurs dans la capacité de remboursement du pays : la crise grecque n’a pas d’autre origine. Quant à nous, qui bénéficions d’un taux faible, notre stock de dette avoisinant les 2000 milliards d’euros nous coûte quand-même près de 50 milliards d’intérêts par an ! Oui, vous avez bien lu : cela fait une saignée de 130 millions PAR JOUR, et sans que le premier centime du principal ne soit remboursé ! La dette publique n’est d’ailleurs pas faite pour être remboursée, mais pour assurer une rente ad vitam aeternam aux titulaires des emprunts d’Etats, qui ne peut être extorquée qu’en sacrifiant les besoins légitimes de la population en matière de santé, d’éducation, d’infrastructures, etc. En ce sens, il est (à moitié) faux d’affirmer que la dette pèsera sur les générations futures : elle pèsera sur les enfants des pauvres (ceux dont les services publics sont le seul patrimoine) mais profitera aux enfants des riches qui pourront continuer à ponctionner une part considérable de la richesse nationale. C’est pourquoi les milieux populaires et les classes moyennes ont un INTERÊT VITAL à ce que la monnaie soit déprivatisée !

Si cette initiative suisse réussit, elle ne manquera pas de donner des idées à toute l’Europe, et l’outil qui aura permis d’arracher la création monétaire aux banques, le référendum d’initiative citoyenne, deviendra une revendication incontournable (2). Autrement dit : c’est l’avenir de la démocratie sur tout le continent qui est en jeu !

(2) Pour rappel, l'association Article 3 (www.article3.fr) a le référendum d'initiative citoyenne pour seule revendication.
Source: 
Agoravox.fr
Types de contenu: 

Messieurs, félicitons le gouvernement japonais qui sait si bien s'occuper de ses citoyens.

(source : les moutons enragés)

Fukushima: une partie des réfugiés pourront retourner chez eux

Cette décision n’est-elle pas criminelle quand on connait la gravité de la situation? Juste pour le rappeler, personne à l’heure actuelle n’habite à proximité de la centrale de Tchernobyl toujours dangereuse, l’environnement de celle-ci étant complètement contaminé et mortel…

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Presque trois ans après le séisme, le tsunami et l’accident nucléaire, le Japon va lever un ordre d’exclusion portant sur une zone proche de la centrale nucléaire de Fukushima, ce qui va permettre à des réfugiés de retourner chez eux, ont annoncé les autorités japonaises lundi.

« La levée formelle de l’ordre d’évacuation prendra effet le 1er avril et concernera 300 personnes » dont les maisons sont à Tamura, une ville à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la centrale accidentée, a expliqué à l’AFP un responsable du cabinet du Premier ministre. Dans les deux années à venir, jusqu’à 30 000 personnes seront autorisées à retourner dans leur logement d’origine, qu’elles avaient dû quitter en raison des fortes radiations émanant du site nucléaire dévasté, a ajouté ce responsable. Mais les anciens résidents des zones évacuées sont divisés sur l’opportunité ou non de retourner chez eux, certains craignant pour leur santé en raison des niveaux de radiation résiduels toujours mesurés sur place.
En vertu des directives gouvernementales, les zones proches de la centrale Fukushima Daiichi peuvent être déclarées comme de nouveau habitables si une personne y est exposée à une dose radioactive de moins de 20 millisieverts par an. Officiellement, les autorités voudraient que les travaux de décontamination abaissent ce niveau à un millisievert par an. La Commission internationale de protection radiologique (CIPR) recommande une exposition moyenne d’un millisievert par an, mais estime qu’en dessous de 100 millisieverts par an il n’y a pas de hausse importante de risque de cancer chez les personnes concernées. Une radio effectuée dans un hôpital délivre quelque 10 millisieverts, d’après l’Institut national des sciences radiologiques du Japon.


Grâce à l'argent du gouvernement Tepco, la société qui exploite Fukushima a fait des bénéfices en 2013, mais, par contre, on peut se demander combien de millions de yens, elle a déboursé pour indemniser les victimes de cette catastrophe planétaire.
D'ailleurs, je me demande, si, moi en France, je ne pourrais pas exiger une indemnisation. En tout cas, si, c'était californien, c'est ce que je ferais, et, sûrement, si, j'étais Hawaïen.

(source : le Monde Planète)

Pour indemniser les victimes de Fukushima, Tepco vend 188 millions d'euros d'actions dans l'éolien

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
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La fuite est due à un problème de remise en place d'une pièce après une session de maintenance.

L'opérateur de la centrale nucléaire accidentée Fukushima Daiichi, Tokyo Electric Power (Tepco), va vendre une partie des parts qu'il détient dans une société spécialisée dans l'éolien pour indemniser des victimes de la catastrophe nucléaire, selon le quotidien des affaires Nikkei paru dimanche.

Tepco va vendre 20 % d'Eurus Energy Holdings à la société Toyota Tsusho, pour un montant estimé à 20 milliards de yens (188 millions d'euros), précise le journal. Eurus Energy, principal exploitant de parcs éoliens au Japon, est détenu à 60% par TEPCO and 40 % par Toyota Tsusho.
Environ la moitié des 20 milliards de yens que Tepco retirera de la vente seront consacrés à l'indemnisation de victimes de l'accident nucléaire provoqué par le séisme et le tsunami du 11 mars dernier, indique le Nikkei sans préciser sessources. Tepco s'est refusé à tout commentaire, affirmant dans un communiqué qu'"aucune décision n'a été prise à ce sujet".
Le groupe doit lever des fonds pour financer des indemnisations dont le montant pourrait s'élever au total à quelque 43 milliards d'euros d'ici à mars 2013, selon un panel d'experts mandatés par le gouvernement. Il espère y parvenir par des réductions de coûts, des ventes d'actifs et des restructurations, et grâce à uneaide de l'Etat.

Et, pour changer, dans la rubrique, "Les femmes sont victimes".

(source : Inform'Action)

Pilule contraceptive : cette vérité cachée aux femmes depuis 50 ans

Portrait de Renaud Schira

Date: 
11/07/2013
Des millions de Françaises prennent la pilule, une contraception hormonale ou un traitement de la ménopause. Mais la plupart ignorent toujours comment fonctionnent ces médicaments et quels effets ils peuvent avoir sur leur corps. Entretien avec le Pr Henri Joyeux, co-auteur du livre « La pilule contraceptive » (Éditions Rocher), avec Dominique Vialard, qui sort ce 11 juillet en librairie.
Des centaines d’études ont été publiées sur les effets nocifs de la pilule et le scandale des pilules de 3e et 4e générations n’est que le premier épisode de ce qui pourrait être la plus grande déroute médicale du XXIe siècle. Sait-on par exemple que les hormones de synthèse sont au cancer du sein ce que l’amiante est au cancer de la plèvre ?
En 1975, on découvrait 7 000 cas de nouveaux cancers du sein par an en France. En 2013, on approche des 60 000 cas, et chez des femmes de plus en plus jeunes... Cancers, AVC, thrombo-embolies, dépressions, perte de libido, autisme chez les enfants... de nombreux effets secondaires graves et plusieurs maladies sont impliquées.
Les femmes ont peur à juste raison, nombreuses sont celles qui veulent changer, mais les labos et les médecins résistent. Ce marché colossal ne disparaîtra pas pour quelques morts, pour quelques handicaps...
Avec La pilule contraceptive (Éditions Rocher) du Pr Henri Joyeux et de Dominique Vialard, on découvre comment fonctionnent la contraception hormonale et le THS (un traitement hormonal substitutif peut être conseillé à certaines femmes ménopausées). On découvre aussi pourquoi les autorités médicales et la plupart des médecins se taisent et continuent à prescrire des médicaments dangereux. Rencontre avec l’un des deux auteurs, le Pr Henri Joyeux. Entretien.
 

JOL Press : Pourquoi avoir choisi d'écrire ce livre ?
 

Pr Henri Joyeux : Le scandale des pilules de 3ème et 4ème générations a sonné le tocsin. Des femmes consommatrices ont révélé la dangerosité de ces pilules. Ces informations reprises largement par les médias ont perturbé, désorienté beaucoup de jeunes femmes. Elles étaient en effet de plus en plus nombreuses à consommer ces pilules.
Encore récemment une femme de 35 ans sans la moindre anomalie cardiaque ou sanguine et non fumeuse est décédée d'un infarctus du cœur. Elle consommait ce type de pilule… Je vous laisse imaginer la famille avec des enfants petits !
Très brutalement, la vente de ces pilules a chuté, du fait des nombreuses peurs et de la décision gouvernementale de ne plus les rembourser pour ne pas être responsable des complications et ne pas se retrouver devant les tribunaux, comme Mr Servier avec le Médiator.
 

JOL Press : Quelles sont concrètement les conséquences de la contraception hormonale sur la femme ?
 

Pr Henri Joyeux : La moitié de notre livre les liste jusque dans le détail et les explique d'une manière scientifique compréhensible par le grand public. L'apport hormonal excessif des deux hormones féminines (œstrogène et progestérone) fabriquées synthétiquement ou issues des urines de jument est logiquement dangereux pour des organes aussi sensibles que les seins, l'utérus, les ovaires. De nombreuses maladies bénignes comme malignes dues à la pilule, que les femmes considéraient trop comme un bonbon, remplissent les hôpitaux, avec des complications cardio-vasculaires, cérébrales, cutanées chez des personnes jeunes, mais aussi des atteintes cancéreuses des seins, du col de l'utérus, des ovaires. Récemment on a même relié certaines maladies auto-immunes, telles que thyroïdite, lupus érythémateux... à la consommation de la pilule.   
 

JOL Press : Vous dites que l'on cache la vérité aux patientes. Qui aurait intérêt à cacher cette vérité ?
 

Pr Henri Joyeux : Les laboratoires fabricants gagnent des milliards avec les différentes marques de pilules. Ils se disputent le marché à coup de publicités très bien choisies, testées, évaluées en termes de marketing, jusque dans les lycées et collèges, c'est-à-dire présentation, argumentaire, suppression (enfin) des effets secondaires observés avec les pilules de générations précédentes.
Le malheur dans cette histoire est que le gouvernement est obligé de passer comme message aux utilisatrices de choisir les pilules de 1ère et 2ème générations, celles justement qui étaient dangereuses, responsables d'une baisse de la libido, de signes de virilisation (acné, duvet sur les joues..), de surpoids et d'obésité ou de pathologies mammaires, ovariennes bénignes ou malignes. 
Les laboratoires se posent les bonnes questions désormais. Iront-ils inventer et promouvoir des pilules de 5ème et 6ème générations, enfin totalement inoffensives, c'est peu probable, car les femmes ont perdu confiance et désormais se méfient.   
 

JOL Press : Quelles alternatives contraceptives peut-on alors proposer aux femmes ? 
 

Pr Henri Joyeux : C'est la deuxième partie de notre livre. Evidemment ce sont les alternatives les plus modernes, celles qui utilisent les nouvelles technologies. Elles consistent à aider la femme à bien se comprendre dans ses fonctionnements intimes, à repérer de façon très fiable ses jours de fécondité pour qu'ainsi la fertilité du couple soit gérée comme il le souhaite, donc avoir ou ne pas avoir l'enfant, sans consommer des drogues chimiques qui perturbent non seulement la libido mais sont responsables de complications que les femmes ont déjà payé très cher.
Il existe déjà sur le marché des mini-ordinateurs de cycle avec un réveil et un thermomètre incorporés, simples à utiliser. Il suffit de prendre sa température tous les matins sous la langue pendant quelques secondes et le moniteur calcule l’évolution de votre cycle et vous indique par un voyant de couleur vos jours d’infertilité et de fertilité potentielle. C’est fiable, pas plus contraignant que de penser à avaler sa pilule, sans danger et respectueux de l’écologie féminine. Ces mini-ordinateurs de la taille d’un téléphone portable sont en plein développement et se généraliseront certainement avec la révolution technologique et la prise de conscience en cours.

Propos recueillis par Marine Tertrais pour JOL Press

Le Pr Henri Joyeux, est chirurgien cancérologue, Professeur de Cancérologie et Chirurgie digestive à la Faculté de Médecine de Montpellier, chirurgien des Hôpitaux et de l’Institut du Cancer de Montpellier. Prix International de Cancérologie Antoine Lacassagne pour ses travaux sur la Nutrition, il est aussi Président de Familles de France. Ce cancérologue de renom a été le premier en France à alerter les femmes sur les dangers de la pilule avec Femmes si vous saviez... publié en 2001.
Dominique Vialard, diplômé de Sciences Po, est journaliste depuis plus de 25 ans. Il a coécrit plusieurs ouvrages dont le dernier livre du prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, Les Combats de la Vie – Mieux que guérir, prévenir, un essai sur la médecine du futur qui a été traduit dans plusieurs pays. Journaliste spécialisé dans la santé et les médecines complémentaires, il collabore à la revue en ligne Alternative Santé.

Source: 
Jolpress.com
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Pendant ce temps, l'Islande continue son bonhomme de chemin.

(source : idem)

ature à l'UE

Portrait de Renaud Schira

Date: 
21/02/2014
L'Islande va enterrer sa candidature à une adhésion à l'Union européenne, sans le référendum initialement promis par les deux partis eurosceptiques au pouvoir, a annoncé vendredi le gouvernement.

Ces deux partis, le Parti du Progrès (centre) et de l'Indépendance (droite) se sont mis d'accord sur un projet de loi demandant au gouvernement de «retirer la candidature à une adhésion à l'Union européenne» déposée par le pays en 2010. «Un tel projet de loi sera de ma responsabilité.

Le «non» était favori

Le ministre des Affaires étrangères à l'époque avait présenté le projet de candidature, donc il est naturel que je présente le projet pour la retirer», a déclaré à la télévision publique Ruv le ministre des Affaires étrangères Gunnar Bragi Sveinsson.Cette issue était prévisible.
Le gouvernement avait déjà dissous les instances de négociation avec l'UE, dont le travail était suspendu depuis le début de la campagne des législatives de 2013. En mai, les deux partis s'étaient pourtant mis d'accord pour promettre dans leur plateforme gouvernementale un référendum, où le «non» était favori.

La pêche, le principal obstacle

«Une autre candidature ne sera pas déposée sans d'abord tenir un référendum», indique le projet de loi.Alors que l'Islande est associée à l'UE via la Convention de Schengen et l'Espace économique européen, le principal obstacle à une adhésion est la pêche, sujet qui n'a pas été abordé lors des négociations entre Bruxelles et Reykjavik.

Les partisans de l'UE, dont une majorité des sociaux-démocrates et une minorité au sein des partis gouvernementaux, voient comme principal avantage à une adhésion la possibilité d'adopter l'euro à terme, ce qui pour eux contribuerait à la stabilité de l'économie de l'île.
La présidente du groupe parlementaire du Parti de l'Indépendance, Ragnheidur Rikhardsdottir, a dit regretter qu'il n'y ait pas de référendum.«J'aurais souhaité une issue différente. Mais le groupe parlementaire a décidé de retirer la candidature de cette manière», a-t-elle déclaré au site internet d'informations Visir.
Source: 
Tdg.ch
Types de contenu: 

bbb

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