mardi 24 septembre 2013

Salut aux sénateurs français qui ne veulent pas d'un loi leur interdissant le cumul des mandats et des indemnités. En tout cas, je vous remercie pour l'augmentation des impôts de tous ces français qui étaient considérés comme précaire,  millions en plus. Rendez-vous pour les prochaines élections municipales.

Parlons donc de la corruption, mes chers cinq lecteurs, vous savez celle qui est élevé en fonctionnement de l'état aux States avec l'approbation de tous les médias possédés par les financiers et industriels les plus contestables.
En France, grâce aux sociaux libéraux de françois hollande et à l'UMP (droite), ce type de corruption rampante devient commune en France et je ne parle pas de l'Europe, c'est carrément les States.

(source : Basta !)

Deux multinationales condamnées pour corruption de fonctionnaire européen

Par Agnès Rousseaux (4 juillet 2012)
Le groupe agricole français Invivo et le conglomérat suisse Glencore ont été condamnés à un demi-million d’euros d’amende chacun par la justice belge. Les deux entreprises sont reconnues coupables d’avoir corrompu un fonctionnaire de la Commission européenne en échange d’informations confidentielles sur les prix des marchés de céréales.
    Comment garder une longueur d’avance sur les concurrents et booster ses exportations ? Certains ont trouvé la bonne combine : corrompre un fonctionnaire de la Direction générale de l’Agriculture au sein de la Commission européenne, pour s’assurer un accès « exclusif » à des informations confidentielles permettant de gagner des marchés. Deux multinationales de l’agrobusiness, la française Invivo et la suisse Glencore, spécialisée dans le négoce de matières premières, ont été condamnées le 27 juin à 500 000 euros d’amende chacune pour des faits de corruption.
    Cette condamnation est le résultat qu’une procédure qui dure depuis… dix ans ! L’enquête débute en 2002. Arrestations et perquisitions se déroulent en 2003 sous l’égide du juge Van Espen. Elles révèlent qu’un fonctionnaire néerlandais, Karel Brus, communiquait chaque semaine à plusieurs entreprises, et avant leur publication officielle, les prix fixés par la Commission européenne pour l’achat ou la vente des céréales. En échange, il recevait de généreux cadeaux – dont « plusieurs nuits dans des hôtels parisiens », « de très nombreux déjeuners ou dîners dans des restaurants ou des bars à hôtesses ». Celui qui payait la facture se nomme Jean-Jacques Vies. Installé à Bruxelles, ce lobbyiste était employé par le Syndicat national pour l’expansion de la coopération agricole (Syncopex) [1], dont l’adhérent principal est Union Invivo.
    Un « sous-marin des gros intérêts agroalimentaires français »
    Sur le banc des accusés, parmi les douze personnes et les trois sociétés mises en examen par la justice belge, on retrouve six responsables d’Invivo. Le « premier groupe coopératif agricole français » est spécialisé dans le stockage de céréales et le commerce international des grains. Il est le premier exportateur de blé français. Il vend également des pesticides et s’occupe de « santé végétale », de conseil à l’agriculture intensive, et est le propriétaire de la marque de magasins Gamm Vert. Invivo détient également de nombreuses participations croisées avec Sofiprotéol, un fonds d’investissement dirigé par le président de la FNSEA, Xavier Beulin. La société Glencore Grain Rotterdam est également condamnée pour avoir corrompu le même fonctionnaire, en lui versant notamment des sommes d’argent en liquide, et en lui remboursant 20 000 euros de factures de téléphone.
    Les responsables d’Union Invivo et de Syncopex nient les faits. Ils assurent qu’ils n’étaient pas au courant que les renseignements fournis par Jean-Jacques Vies provenaient de documents confidentiels. Selon eux, le lobbyiste a agi de sa propre initiative. Une version jugée non crédible par les enquêteurs. « Il paraît peu vraisemblable que les dirigeants d’Union Invivo aient dépensé pour des informations inexploitables entre 170 000 et 200 000 euros, représentant le budget annuel de Syncopex (émanant pour la moitié du département Direction des Marchés et du département Siège du Groupe Invivo) », estiment en 2005 les enquêteurs français dans un rapport de la Division nationale des investigations financières (DNIF). « Il apparaît donc que le budget annuel de Syncopex, constitué du salaire de l’unique employé, M. Vies, et de ses frais "professionnels", réels et fictifs, puisse être considéré dans sa globalité comme ayant été utilisé à corrompre M. Karel Brus », conclut la DNIF [2].
    « Tous les secteurs d’activités sont touchés »
    « J’ai été un excellent sous-marin de gros intérêts agroalimentaires français », explique Jean-Jacques Vies. Cet ancien membre du Service de la répression des fraudes estime qu’il s’agit clairement de « corruption » et que ses supérieurs étaient au courant de ses activités. Ce que confirme des courriers retrouvés lors de l’enquête. « C’est un système qui a été mis en place pour répondre aux concurrents, parce que je n’avais pas d’autres moyens », a expliqué l’ancien lobbyiste au micro de France Inter [3]. « Cela a fait l’objet d’une note auprès du directeur financier-adjoint du groupe. Ça a été parfaitement accepté par le directeur financier, qui a mis à ma disposition les fonds pour corrompre le fonctionnaire. […] Tous les secteurs d’activités à la Commission européenne sont touchés. Mais ça ne se dit pas, parce que les marchés et les intérêts nationaux et politiques sont énormes. Les syndicats agricoles sont puissants. »
    L’enquête du juge Van Espen a également épinglé un important groupe français du secteur alimentaire. Une entreprise qui aurait obtenu des informations en échange « de plusieurs dîners dans des restaurants, de nuits d’hôtel à Paris », « de service de prostituées », « de voyages personnels au Club Méditerranée et/ou vers des destinations exotiques (Caraïbes, Thaïlande, Ceylan) », et « de paiements de sommes d’argent pour un total d’au moins 5 327 211 [francs belges, soit environ 130 000 euros], payées sur deux comptes luxembourgeois ». Des comptes présentées comme appartenant à Karel Brus. Mais, « pour une raison inexpliquée dans la procédure, ce géant de l’alimentation française − que nous ne nommerons donc pas − ne sera finalement pas poursuivi par la justice belge… », expliquait France Inter en 2011.
    Le fonctionnaire européen, Karel Brus, qui a aujourd’hui quitté la Commission, a été condamné à 40 mois de prison, à une amende de 55 000 euros et à la confiscation de près de 140 000 euros par le tribunal correctionnel de Bruxelles. Le lobbyiste Jean-Jacques Vies a été condamné à 18 mois de prison avec sursis. Du côté d’Invivo, pas de commentaires sur l’amende de 500 000 euros. Glencore, multinationale régulièrement pointée du doigt pour son pillage des ressources minières, sa pratique de l’évasion fiscale et autres transferts douteux via des paradis fiscaux, a annoncé qu’elle étudiait le possibilité de faire appel de la décision.
    Agnès Rousseau
    Eh, oui, mes chers lecteurs, ces multinationales qui nous pourrissent la vie. Qui veulent découper le vie en segments rentables à leur seul profit. Bientôt, ils vont nous faire payer l'air que l'on respire.
    De toute façon pour ce qu'il va en rester de l'air que l'on respire, elles sont gagnantes d'avance, car, elles le purifieront et nous le revendront.

    (souce : Le Matin)

    La piscine de Fukushima fait trembler la planète

    Le réacteur 4 de la centrale japonaise inquiète les scientifiques. Au moment où débute la saison des typhons, un nouveau coup dur pourrait engendrer une radioactivité durable dans tout l’hémisphère Nord.
    Par Pierre-François Besson. Mis à jour le 29.08.2012
    Le réacteur 4 de la centrale de Fukushima-Daiichi et sa piscine de refroidissement.
    Le réacteur 4 de la centrale de Fukushima-Daiichi et sa piscine de refroidissement.
    Image: Keystone

    Explications d'un scientifique américain

    «Si le bassin du réacteur numéro quatre devait s’effondrer, les émissions de matière radioactive seraient énormes: une estimation prudente donne une radioactivité équivalente à 5000 fois la bombe nucléaire de Hiroshima.»
    Ces propos d’un spécialiste japonais font froid dans le dos. Rapportés par Le Nouvel Observateur, ils font écho à plusieurs articles parus ces derniers jours après le cri d’alarme lancé par des scientifiques.
    Cette piscine couverte d’une simple bâche plastique contient 1500 barres de combustible nucléaire. Soit 264 tonnes. Le «pire legs de la catastrophe du 11 mars 2011», assure Le Figaro, citant des experts.
    Le bassin en question fait onze mètres de profond. Juché à trente mètre du sol sur le bâtiment très abîmé du réacteur 4, il sert à refroidir le combustible issu de la fission nucléaire avant son retraitement.
    Tepco, l’opérateur de la centrale, assure avoir renforcé le bâtiment qui le supporte. Et ne prévoit pas de commencer à retirer les barres avant l’an prochain.
    Tchernobyl fois dix
    A ce stade, la piscine reste pleine d’eau. Environ un million de litres. Mais un nouveau séisme, un second tsunami, une violente tornade changeraient la donne.
    A l’air libre, les barres chaufferaient sans pouvoir être freinées. Elles dégageraient dans l’atmosphère au moins dix fois plus de radioactivité qu’après Tchernobyl, selon les scientifiques.
    D’autant plus inquiétant que cet été, les choses ont failli mal tourner. Le système de refroidissement tombé en panne, l’eau a commencé à chauffer, indique La Libre Belgique. Elle aurait pu bouillir et disparaître. Heureusement, la situation a pu être rétablie.
    Gravement et durablement
    Mais en Extrême-Orient, la saison des typhons commence. «Je prie pour que, dans les semaines à venir, une violente tornade saisonnière ne s’abatte pas sur la centrale», confie au Nouvel Obs l’ancien patron de l’Agence japonaise pour les sciences et la technologie.
    Une nouvelle catastrophe pourrait signifier «la fin du Japon moderne et, en tout cas, une calamité pour l'ensemble de l'hémisphère Nord qui deviendrait gravement et durablement contaminé», assure l'envoyé spécial de l’hebdomadaire. (Newsnet)"

    Bof, tout ça ne vaut pas le FMI qui s'excuse pour la Grèce et maintenant pour le Portugal.
    Et, pour l'Afrique, c'est pour quand ?
    Il a foutu un grand bordel partout et tout ce qu'il trouve à dire, c'est, "Euh, pardon, on s'est trompé".

    (source : Presseurop)

    “Le FMI fait son ‘mea culpa’ sur le Portugal”

    18 septembre 2013

    Un rapport interne du Fonds monétaire international (FMI) publié le 17 septembre soutient qu’on doit poser des "limitations de vitesse" à l’austérité et admet que certaines politiques qu’il a imposées comportaient des risques "auto-destructeurs".
    Alors que la troïka BCE-FMI-UE est arrivée au Portugal pour la huitième et la neuvième évalutation du plan de sauvetage, Público souligne que
    neuf mois avant que le Portugal arrive à la fin du programme de la troïka, le FMI a perdu sa foi en certaines idées comme le fait que "la consolidation fiscale peut avoir un effect expansionnsite sur l'économie", "que plus vite le déficit est corrigé, mieux c'est", "que la consolidation fiscale doit se concentrer principalement sur les dépenses" et que "le rachat de dette souveraine par les banques centrales est toujours négatif".
    Dans son éditorial, le quotidien se demande :
    Le FMI sera-t-il capable de comprendre, pour une fois, ce qui doit être fait dans le cas de la dette portugaise ? Ou le Portugal devra-t-il se résigner à rester un cobaye docile pour un salmigondis de solutions qui changent sans arrêt ?

    Et, pour finir, finalement, on va finir par savoir qui a gazé des civils en Syrie. Peut-être que le président français, françois hollande était au courant, ce qui expliquerait pourquoi, il était tellement pressé de balancer des missiles sur la tête d'Assad avant que la vérité ne finisse par sortir.
    Donc, nous mettre devant le fait accompli, exactement comme son prédécesseur, nicolas sarkozy.

    (source : Le Grand Soir)

    Les fusées utilisées dans l’attaque chimique du 21 août n’ont jamais été vendues à la Syrie (The Independent)

    Inspecteurs des Nations Unies dans les faubourgs de Damas
    Alors que le régime de Bahar al-Assad à Damas a nié toute responsabilité dans les tirs d’obus de gaz sarin qui ont tué près de 1400 Syriens dans la banlieue de Ghouta le 21 août, l’information circule maintenant dans Damas, que la nouvelle « preuve » de la Russie à propos de l’attaque, comprend les dates d’exportation des obus utilisés et - plus important encore - la liste des pays auxquels ils ont été vendus.
    Ces obus ont apparemment été fabriqués en Union soviétique en 1967 et vendus par Moscou à trois pays arabes : le Yémen , l’Égypte et la Libye du colonel Mouammar Kadhafi. Ces informations ne peuvent être encore vérifiées par des documents, et Vladimir Poutine n’a pas révélé les raisons pour lesquelles il avait déclaré à Barack Obama qu’il savait que l’armée d’Assad n’avait pas tiré les roquettes de gaz sarin. Mais si l’information est exacte - et l’on croit qu’elle vient directement de Moscou - la Russie n’a jamais vendu ce lot particulier de munitions chimiques en Syrie.
    Depuis la chute de Kadhafi en 2011, de grandes quantités d’armes de fabrication soviétique abandonnées sont tombées dans les mains de groupes rebelles et d’insurgés affiliés à Al-Qaïda. Beaucoup de ces armes ont été retrouvées au Mali, certaines en Algérie et une grande quantité dans le Sinaï. Les Syriens ont depuis longtemps affirmé qu’une quantité importante d’armes de fabrication soviétique avait fait son chemin à partir de la Libye jusqu’aux rebelles dans la guerre civile syrienne, avec l’aide du Qatar - qui avait soutenu les rebelles libyens contre Kadhafi et qui finance aujourd’hui les livraisons d’armes aux insurgés syriens.
    Il ne fait aucun doute que la Syrie dispose d’un arsenal d’armes chimiques considérable. Ni que les stocks syriens contiennent de grandes quantités de gaz sarin dans des roquettes de 122mm. Mais si les Russes ont en effet été en mesure d’identifier les types d’obus précis à partir des fragments trouvés dans Ghouta - et si ceux-ci appartiennent à des munitions qui n’ont jamais exportées vers la Syrie - le régime d’Assad va pouvoir se vanter que son innocence a été prouvée.
    Dans un pays - en fait un monde - où la propagande est plus influente que la vérité, découvrir l’origine des produits chimiques qui ont asphyxié tant de Syriens il y a un mois est une enquête journalistique périlleuse. Les reporters qui envoient des dépêches depuis les zones tenues par les rebelles sont accusés par le régime d’Assad de pactiser avec les terroristes. quant aux journalistes qui sont du côté des lignes de front du gouvernement la Syrie, ils sont régulièrement accusés de relayer la propagande du régime. Et même si le régime d’Assad n’était pas responsable de l’attaque du 21 août, ses forces ont commis des crimes de guerre en abondance au cours des deux dernières années. La torture, les massacres, les bombardements de cibles civiles ont depuis longtemps été établis.
    Néanmoins, il faut dire aussi que de sérieux doutes sont exprimés par les organisations internationales, les Nations Unies et d’autres à Damas sur le fait que les obus de gaz sarin ont été tirés par l’armée d’Assad. Bien que ces employés internationaux ne peuvent donner leur identité, certains d’entre eux étaient à Damas le 21 août et ont posé une série de questions auxquelles on n’a pas encore fourni de réponse. Pourquoi, par exemple, la Syrie attendrait-elle que les inspecteurs de l’ONU soient confortablement installés à Damas le 18 août avant d’utiliser le gaz sarin à peine deux jours plus tard - et seulement à 7 kilomètres de l’hôtel où les inspecteurs venaient de descendre ? Ayant ainsi présenté à l’ONU des preuves de l’utilisation de gaz sarin - les inspecteurs étant rapidement sur place - le régime d’Assad, s’il était coupable, se serait certainement rendu compte qu’une attaque militaire serait organisée par les nations occidentales.
    Toujours est-il que la Syrie est maintenant en train de perdre la totalité de ses défenses chimiques si stratégiques contre l’arme nucléaire israélienne - et cela uniquement parce que le régime voulait tirer sept roquettes vieilles de près un demi-siècle sur une banlieue rebelle (s’il faut en croire les pouvoirs occidentaux) où seulement 300 des 1400 victimes (s’il faut en croire les rebelles) étaient des combattants. Comme une ONG occidentale le disait hier : « si Assad voulait vraiment utiliser le gaz sarin, pourquoi, pour l’amour de Dieu, a-t-il attendu pendant deux ans, et en plus quand l’ONU était sur le terrain pour enquêter ? »
    Les Russes, bien sûr, ont apporté des démentis similaires de la responsabilité d’Assad pour les précédentes attaques au gaz sarin. Quand au moins 26 Syriens sont morts d’empoisonnement au gaz innervant à Khan al-Assal, le 19 mars - une des raisons pour lesquelles les inspecteurs de l’ONU ont été dépêchés en Syrie le mois dernier - Moscou avait également accusé les rebelles d’en porter la responsabilité. Les Russes ont ensuite présenté à l’ONU un rapport de 100 pages contenant leurs « preuves ». Toutefois, comme le témoignage de M. Poutine sur les attaques du 21 août, il n’a pas été rendu public.
    Un témoin qui se trouvait avec les troupes de la 4e division de l’armée syrienne le 21 août - un ancien officier des forces spéciales considéré comme une source fiable - a déclaré n’avoir vu aucune trace que des missiles portant du gaz aient été tirés, alors qu’il était même dans l’une des banlieues, Moadamiya, qui était une cible pour le gaz sarin. Il se souvient des soldats exprimant des inquiétudes quand ils ont vu les premières images sur YouTube de civils en état de suffocation - pas par sympathie, mais parce qu’ils craignaient d’avoir à se battre au milieu de nuages ​​empoisonnés.
    « Il faudrait peut- être aller au-delà des théories du complot et dire que le gouvernement n’était pas impliqué, » a déclaré un journaliste syrien la semaine dernière. « Mais nous sommes sûrs que les rebelles ont obtenu du gaz sarin. Ils auraient eu cependant besoin des étrangers pour leur apprendre à tirer. Ou alors il y a une ’troisième force’ que nous ne connaissons pas ? Si l’Occident avait besoin d’un prétexte pour attaquer la Syrie, ils l’ont trouvé au bon moment, au bon endroit , et devant les inspecteurs des Nations Unies. »
    Robert Fisk
    http://www.independent.co.uk/voices/comment/gas-missiles-were-not-sold...
    Robert Fisk est le correspondant du journal The Independent pour le Moyen Orient. Il a écrit de nombreux livres sur cette région dont  : La grande guerre pour la civilisation : L’Occident à la conquête du Moyen-Orient.
    Traduction : Info-Palestine.eu - al-Mukhtar

    Bien le bonjour chez vous.
    René.

     

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