dimanche 15 septembre 2013

Salut aux pauvres de la ville de Châteaux Thierry en France, le big hyper-rmarket "Leclerc", d'habitude mettait du fuel dans ses poubelles, maintenant, le directeur fait mettre des produits chimiques.
Et, dire que le fils du fondateur aimerait se présenter à un poste de député !

Je ne parle pas espagnol mes chers cinq lecteurs, mais, je comprends le titre de cet article, alors, je vous le balance et je traduis le titre, la ville de Rotterdam en Hollande interdit l'utilisation du pesticide round up de Mosanto.

(source : Stop Mosanto Espagne)

La ciudad de Rotterdam prohíbe la utilización del herbicida Roundup #StopMonsanto

El pasado 27 de junio, el Ayuntamiento de Rotterdam votó a favor de prohibir el polémico herbicida Roundup de Monsanto. La iniciativa forma forma de una campaña ciudadana denominada “Por unas calles sin compuestos tóxicos para los niños”, con el apoyo del Partido Verde para su aprobación.
El pasado 27 de junio, el Ayuntamiento de Rotterdam votó a favor de prohibir el polémico herbicida Roundup de Monsanto. La iniciativa forma forma de una campaña ciudadana denominada “Por unas calles sin compuestos tóxicos para los niños”, con el apoyo del Partido Verde para su aprobación.Si ya desde hace tiempo se tenían pruebas de que el glifosato (ingrediente activo del herbicida Roundup) era muy tóxico, hoy día son más abrumadoras. Este herbicida es actualmente el más utilizado en todo el mundo, habiéndose descubierto que es especialmente perjudicial cuando se combina con los adyuvantes, unos ingredientes inertes que están diseñados para aumentar la eficacia del herbicida.
Esta prohibición es considerada como una gran victoria, gracias al trabajo de muchos ciudadanos que se han esforzado para que la iniciativa saliese adelante y se lograse su aprobación. Roundup se ha encontrado en la orina de las mayoría de los habitantes de las ciudades de Europa occidental, de acuerdo con un reciente estudio.
Se trata de prohibir un producto tóxico y me alegro de que la iniciativa haya salido adelante”, dice Emile Cammeraat, líder del Partido Verde en el Consejo Municipal. “Monsanto también produce semillas modificadas genéticamente, las propias plantas que son resistentes al herbicida Roundup. No es necesario utilizar Roundp, ya que hay otras alternativas ecológicas”.
Los Verdes tienen más cosas que celebrar, ya que 12 de sus propuestas fueron aprobadas. En la ciudad se van a diseñar y construir más zonas verdes y áreas de juegos, se plantarán árboles frutales, otras iniciativas para preservar las abejas y otra fauna silvestre. “Más plantas, más espacio para la fauna urbana, más setos naturales y menos podados”, dijo Cammeraat.
La iniciativa surgió a raíz de las preocupación de los padres por sus hijos que juegan en parques y otras áreas contaminadas por pesticidas, obteniéndose con la medida un gran beneficio. El coste total de estas 12 iniciativas se prevé que sea de unos 90.000 euros ( la prohibición del glifosato cuesta muy poco o nada en absoluto).
Et, voilà, une nouvelle qui vaut bien d'accompagner mon café du matin.
Et, une autre nouvelle qui me donne envie de vomir en Syrie, c'est la haine des djihadistes pour les autres confessions. Et, il semblerait que l'occident les soutiennent, encore que cela reste à éclaircir.
Peut-être, un jour, verrons-nous les GI américains combattre aux côtés des djihadistes.
Mais, ce jour-là, il faudra peut-être nous expliquer pourquoi dans l'horreur, les méchants deviennent soudain des bons à défendre !
Evidemment, si, cette nouvelle est confirmée.
Hollande soutenant Al Quaïda, cela la foutrait mal !

(source : Global Relay Network)

A Qusseir, des officiers belges, hollandais, français et britanniques ont été capturés








armcsyriennePar Luc Michel, le 9 juin 2013
"Des Belges auraient aidé à décapiter un homme en Syrie (…) Le parquet fédéral a pris connaissance d’une vidéo dans laquelle des jeunes parlant néerlandais auraient aidé à décapiter un homme nu gisant sur le sol, a indiqué la porte parole du parquet, Lieve Pellens. La vidéo a été postée en juin sous un pseudonyme, sur un site internet proposant d’autres vidéos sinistres. Selon la légende, la victime serait un vieil homme chiite (…) On peut y voir un groupe de jeunes, criant "Allah Akbar" et "Tafkir", se tenant près de l’homme nu pendant que l’un d’entre eux lui coupe la tête avec un couteau. Durant cette scène macabre, on entend clairement des propos en néerlandais avec un accent flamand. On entend une voix dire "tournes-le", suivi d’un "sur son ventre" et de "tiens bien son pied". En plus du néerlandais, on entend également des phrases en français et en arabe."
C’est la vidéo du scandale, la vidéo de trop. Celle qui fait les unes à Bruxelles, mais aussi à Beyrouth et à Damas.
"C’est une vidéo de plusieurs minutes difficilement supportables" (…). La vidéo a été postée le 2 juin sur des sites spécialisés qui présentent des vidéos d’exécution, de faits de guerre ou d’attentats, préciseLa Libre Belgique. La légende dit qu’il s’agit d’une exécution d’un chiite en Syrie où la guerre civile a pris un tour confessionnel. Les Djihadistes inspirés par Al-Qaïda nourrissent une haine féroce pour les chiites. Et ils sont nombreux à consulter de telles vidéos comme l’avait montré le procès d’une filière Al-Qaïda à Bruxelles en 2004. De jeunes Belges se nourrissaient de telles images. Aucun visage, ni même silhouette des bourreaux ne sont visibles sur la vidéo. Deux objectifs se focalisent sur le corps du supplicié. Mais les voix sont audibles. On entend beaucoup d’Allah Akbar! (Allah est grand) et d’encouragements qui s’intensifient quand le couteau est placé sous la gorge du malheureux. On sent que l’effet de groupe joue.
Le quotidien bruxellois précise encore : "Il est clair que des Belges figurent parmi les bourreaux. Leur accent ne trompe pas. Leurs paroles sont prononcées en néerlandais et en français : "Comme ça, c’est bon", "Tues-le", "Sale chiite" ou encore – en néerlandais – "Tournes-le", "Mets-le sur le ventre"."
Selon la porte-parole du parquet fédéral belge, la vidéo n’était pas encore connue du parquet. "C’est une nouvelle information pour nous" (sic), explique Lieve Pellens. "Elle va être examinée dans le cadre de l’enquête judiciaire menée actuellement par le juge d’instruction d’Anvers sur différents membres de Sharia4Belgium."
C’est le dernier épisode du feuilleton des "djihadistes belges" qui secoue le royaume. Épisode faisant partie du gros dossier des djihadistes de l’UE partis combattre en Syrie dans les rangs de l’ASL. Une centaine de Belges – beaucoup de jeunes, et une part de Flamands et Bruxellois de souche convertis – selon Bruxelles, moins d’un millier de ressortissants de l’UE selon l’OTAN. En réalité 6.000 ou 7.000 – dont 800 Belges – selon nos sources syriennes et libanaises.
LE VRAI SCANDALE DERRIÈRE L’ANECDOTE DE PRESSE : A QUSSEIR DES OFFICIERS BELGES, HOLLANDAIS,  FRANÇAIS, BRITANNIQUES, QATARIS CAPTURÉS!
Mais le vrai scandale, celui que personne n’évoque à Paris ou Bruxelles, n’est pas celui des djihadistes, salafistes et autres paumés de Sharia4Belgium partis en Syrie.
C’est qu’ils étaient là bas encadrés par des officiers des forces spéciales de l’OTAN, dont des officiers belges et néerlandais.
À Qusseir, des officiers belges, hollandais, français, britanniques et qataris ont en effet été capturés!
Selon le journal libanais Al Nachra (fin mai 2013) – infos choc soigneusement occultées dans les médias de l’OTAN -, citant un député du parlement libanais, "des officiers français, britanniques, belges, hollandais et qataris ont été arrêtés au cours des combats à Qusseir alors que l’étau continue de se resserrer autour les terroristes d’Al Nosra."
Assem Qanso, député du parti Ba’aths socialiste libanais qui se confiait à Al Nachra, ajoute que "le nombre de ces officiers étrangers s’élève à des dizaines. Le chef d’Al Nosra Abou al Walid a été tué alors qu’il combattait au milieu de ces officiers étrangers… 36 villages situés dans la banlieue de Qusseir ont été libérés et l’armée arabe syrienne a réussi en deux jours de combats à nettoyer les régions du nord-ouest de la ville; ce qui veut dire que les voies d’approvisionnement d’Al Nosra depuis Arsal et Homs sont totalement coupées". Selon ce député libanais de premier plan, des milliers de terroristes se sont rendus et près de 18 Libanais, tous des partisans du cheikh Salem Al Rafaï le religieux salafiste libanais, ont été arrêtés. Il y a aussi des salafistes libanais tués ou encore arrêtés. "Chaque famille libanaise qui a envoyé son fils au front du combat contre la Syrie a reçu 50000 dollars". Le député s’inquiète aussi du retour des dizaines de combattants salafistes au Liban . "Le Liban ne peut pas tolérer éternellement ces éléments sur son sol surtout quand ils sont équipé" d’armes et de munitions."
MAIS QUE FONT LES BELGES ET LES NÉERLANDAIS EN SYRIE ?
Pourquoi des Belges et des Néerlandais? Parce que justement le gros contingent des djihadistes venus de l’UE provient de Belgique et singulièrement de Flandre. Et que ces jeunes sans éducation ne parlent pas l’arabe mais juste le Néerlandais.
On comprend mieux aussi la soudaine modération des Belges lors de la dernière réunion de l’UE à Bruxelles fin mai. A Bruxelles ce 27 mai, les 27 de l’UE examinaient en effet la question de la levée de l’embargo sur les armes à destination de la pseudo "opposition syrienne". Mis en place il y a deux ans, l’embargo européen, y compris sur les armes, expirait fin mai. Londres, le cheval de Troie US dans l’UE, a revendiqué le droit d’agir seul pour aider les opposants syriens. Paris a appuyé ce chantage. Les modérés l’ont accepté.
Curieusement – ou pas? – la Belgique est passée du camp des bellicistes à celui des modérés. Alors que le ministre belge des affaires étrangères Reynders était l’un des chiens enragés de l’UE-OTAN contre Damas, le voilà soudainement devenu très modéré. Il va en effet falloir négocier avec Damas …
QUSSEIR, NID DE BARBOUZES
Qusseir, base principale à la fois de la pseudo ASL et d’al-Nosra (al-Qaïda en Syrie), ville stratégique entre Damas, le pays alaouïte et le nord-Liban, était aussi un "nid d’espions".
Outre les forces spéciales de l’OTAN venues encadrer les djihadistes de l’OTAN, on y trouvait aussi les barbouzes de Tsahal et du Mossad.
"Les membres des forces spéciales de l’armée sioniste viennent d’entrer à Al Qusseir où les terroristes d’Al Nosra et de l’ASL sont encerclés par les soldats de l’armée nationale", écrivait encore Al Khabar Press. "Des forces spéciales israéliennes arrivent expressément pour venir en aide aux terroristes d’Al Nosra. ils ont traversé les frontières du côté libanais et cherchent à empêcher l’avancée des soldats de l’armée syrienne."
Il s’agissait en effet d’éviter une victoire des loyalistes à Qusseir (libérée ce 6 juin): "Al Qusseir est la principale base des terroristes en action contre l’état et l’armée syriens. C’est une ville qui entre dans la cinquième semaine de son siège par les forces de l’armée nationale. Si l’armée syrienne parvient à entrer dans la ville, l’une des principales artères d’approvisionnement des terroristes sera coupée, au risque de mettre hors-jeu le front terroriste d’Al-Nosra ».
LE JEU VICIEUX DE L’OTAN AVEC LES ISLAMISTES RADICAUX
Mais revenons à nos djihadistes belgo-flamands, un dossier pourri qui illustre tragiquement la politique incohérente de l’OTAN envers les islamistes radicaux… Dénoncés à Bruxelles ou à Paris. Combattus en Afghanistan. Mais financés et armés comme alliés et infanterie coloniale de l’OTAN en Libye, en Syrie, au Mali, ou encore dans le Caucase contre la Russie.
Tout cela se paye déjà en Afghanistan et au Mali avec le sang de jeunes Européens, livrés au Moloch yankee pour mener une guerre néo-coloniale, qui est avant tout une guerre contre la Grande-Europe !
Le groupe salafiste et criminel "Sharia4Belgium", branche d’un réseau islamiste – basé à Londres, "Sharia4UK" – et implanté dans toute l’UE, illustre ce jeu pervers! Il a longtemps été toléré par les polices politiques belge et de l’OTAN, et est sous les feux de l’actualité depuis les émeutes islamistes à Bruxelles du printemps 2012. "Durant la même soirée du 31 mai, une émeute avait eu lieu devant le commissariat de police molenbeekois (une des 19 communes de Bruxelles) de la rue du Facteur, après que Shariah4Belgium, un mouvement islamiste radical (…) ait appelé à des actes de protestation. Durant les jours suivant ces deux événements, les rues de la commune bruxelloise furent agitées. Un extrémiste musulman parisien avait même poignardé deux agents de police dans la station de métro Beekant", écrivait alors La Libre Belgique.
Depuis, après avoir bénéficié d’une publicité médiatique indécente sur tous les médias belges, TV inclus, Sharia4Belgium s’est ensuite révélée comme une des filières principales de recrutement des djihadistes vers la Syrie…
Les autorités judiciaires, commente La Libre Belgique, "qui savaient que des membres actifs de Sharia4Belgium étaient en Syrie depuis août dernier, soupçonnaient de longue date que certains avaient pris part à des exécutions. Le parquet fédéral l’avait indiqué après l’arrestation de Fouad Belkacem (leader du groupuscule islamiste) le 16 avril dernier: "Ils auraient rejoint en Syrie des groupes de combattants aux idées salafistes djihadistes inspirées par Al-Qaïda. Ils participeraient à des combats et même à l’enlèvement et à l’exécution de ce qu’ils appellent des "mécréants". Cette conviction s’appuyait sur des écoutes téléphoniques (…) signalant que son groupe avait décapité un homme qu’il avait enlevé, initialement pour une rançon."
COMME AU SAHEL, LA VAGUE DJIHADISTE DE L’UE REPOND AU MAUVAIS SIGNAL DES USA ET DE L’OTAN
Le déclencheur de l’activisme terroriste des djihadistes au Sahel et au Maghreb comme en Europe est en effet la réponse à un signal fort, et extrêmement irresponsable, donné depuis plus de deux ans par les USA et l’OTAN: la collaboration des services spéciaux de l’OTAN, et singulièrement de la CIA, des Français et des Britanniques avec des leaders d’Al-Qaida et d’AQMI, sa branche nord-africaine en Libye, en Syrie et en Algérie.
On ne le répétera jamais trop, la vision, exemple emblématique, d’un ancien prisonnier de Guantanamo, Abdelhakim Belhadj, adoubé par les généraux de l’OTAN, français en tête, comme "gouverneur militaire de Tripoli" en Août 2011 est un mauvais signal donné à tous les djihadistes. Relire les déclarations délirantes des généraux français de l’OTAN lors de la prise de Tripoli en Août 2011…
Le même Abdelhakim Belhadj fut ensuite chargé de mission contre Damas en novembre 2011, à la tête d’une brigade en Syrie mais basée en Turquie, et dont les camps d’entrainement étaient précisément organisés en Libye avec la bénédiction du CNT et de ses protecteurs de l’OTAN.
LE SCÉNARIO DU DIABLE
Les USA, l’OTAN et singulièrement la France payent cash le prix fort pour cette politique aventuriste et irresponsable.
Et ce n’est que le début. Les djihadistes ont le vent en poupe, disposant maintenant de relais forts et de gouvernements favorables en Libye, en Égypte, en Tunisie et au Maroc, où les salafistes et les Frères Musulmans dominent maintenant la vie politique, toujours sous la protection de généraux "arabes" protégés par les USA et l’OTAN.
A cela s’ajoute le pillage des arsenaux libyens par les "katibas" djihadistes du CNT et la vente par les dirigeants corrompus du CNT libyen d’un impressionnant arsenal à AQMI aux début du coup d’état en Libye, en mars-mai 2011 (notamment des ventes de missiles exposées par le Canard Enchaîné à Paris, à l’époque).
Sans oublier aussi la Centrafrique, où les Occidentaux, pas échaudés apparemment par les désastres libyen et malien, ont rejoué le scénario maudit, le scénario du diable, installant au pouvoir la Séléka et ses islamistes – via un nouveau CNT. On comprend mieux alors le nom du pouvoir "de transition" installé au pouvoir en Centrafrique – et que Paris aurait pu balayer sans problème, ce CNT inspiré du CNT libyen de Benghazi…
Derrière ce scénario du diable, il y a le projet géopolitique états-unien, celui des néo-cons de Bush réactivé par Obama, dit du "Grand Moyen-Orient", au sens de plus en plus large et où l’Afrique est devenue l’arrière-cour de ce "Grand Moyen-Orient" remodelé et de sa cible géostratégique, le contrôle de l’Eurasie, clé d’un "XXIe siècle états-unien". Dans ce projet la tactique est simple, toujours la même : allier dans un état faible ou fragmenté un pouvoir militaire et des forces islamistes, tous deux gagnés à l’économie libérale (la première caractéristique des Frères Musulmans, par exemple, est leur hostilité absolue au socialisme). Pour arriver à cela, il faut évidemment s’allier au diable djihadiste !
LA SCHIZOPHRÉNIE CRIMINELLE DES USA ET DE L’OTAN, JUSQU’À BRUXELLES
La politique des USA et de l’OTAN, dont la France des Sarkozy et Hollande – qui a enterré la politique du général de Gaulle aussi bien au niveau européen qu’arabe – réintégrée dans l’OTAN est le bon élève servile, peut être qualifiée de schizophrène. Chaque jour de jeunes soldats sont sacrifiés en Afghanistan, en Irak ou au Mali pour combattre des djihadistes que par ailleurs on a armés et organisés, comme allié principal, en Libye ou en Syrie. Incohérence ou cynisme …
Schizophrénie qui touche aussi les services spéciaux de l’OTAN. Ainsi les branches Sécurité Intérieure des services français, britanniques ou belges, qui doivent suivre les djihadistes et autres salafistes en Europe, doivent regarder d’un drôle d’œil leurs collègues des branches Action Extérieure et du Service Action, qui ont encadré et armé les mêmes islamistes en Libye ou le font encore contre la Syrie. En particulier les barbouzes français qui ont organisé les livraisons d’armes aux Brigades de Zenten et de Tripoli en juin 2011, avant de remettre la capitale libyenne à leur chef Abdelhakim Belhadj. Où les officiers belges, hollandais, français et britanniques qui ont été capturés à Qusseir …
Cette schizophrénie touche aussi toute la classe politique belgo-flamande (à l’exception des républicains flamands), mais aussi les magistrats, les élites ou les policiers. Qu’attendre encore lorsque que le porte-parole du Parquet fédéral belge, compétent en matière de terrorisme, ose déclarer ce qui suit (16 avril 2013) : "Le Parquet fédéral a souligné l’importance de s’attaquer aux structures et aux groupes qui permettent à des jeunes Belges de se rendre en Syrie. Il précise toutefois qu’il ne faut pas mettre tous les jeunes partis en Syrie dans le même panier, soulignant que certains cherchent à protéger la population civile (sic) et à renverser le régime en place pour le remplacer par un État démocratique (re-sic)." ?

Bon, passons, en attendant, je vous invite à chercher ladite vidéo et nous attendrons des preuves quant-à l'arrestation desdits officiers.
Passons plutôt à une nouvelle intéressante de Scoop it.

DETROIT: Une serre biologique change la vie d’un hôpital


DETROIT: Une serre biologique change la vie d’un hôpital | Nature to Share | Scoop.it
La serre biologique de l’hôpital Henry Ford de West Bloomfield, cité de la banlieue de Détroit, fait figure de modèle aux Etats-Unis. Depuis son lancement il y a un an, des dizaines de variétés de légumes y sont cultivées pour la consommation des patients qui mettent la main à la patte lors d’ateliers.
A travers cette thérapie par le jardinage, le projet vise à sensibiliser les patients sur les bienfaits d’une alimentation saine contre les maladies chroniques telles que l’obésité.

Alimentation et participation
C’est un donateur anonyme qui a permis à la serre de sortir de terre en septembre 2012. L’espace de 140 m2 est géré par Michelle Lutz, jardinière attitrée. Derrière les parois de verre des dizaines d’espèces de légumes et herbes y sont cultivées grâce aux techniques bio et selon des saisons. Une fois récoltés, les produits sont cuisinés par le chef de l’hôpital et atterrissent dans les assiettes des patients. L’établissement de 200 lits a ainsi fait chuter sa facture annuelle d’achats alimentaires de plusieurs milliers d’euros.
En pratique, Lutz a opté pour un mode de culture en hydroponie (hors-sol) pour deux raisons.
Cette méthode permet d’abord de mieux contrôler la croissance des plantes et de consommer 10 fois moins d’eau que les cultures traditionnelles. En l’absence de terre, elle offre aussi un gain de place utile à la venue de patients, scolaires et autres visiteurs à l’occasion d’ateliers et autres leçons de jardinage. Car la serre joue aussi un rôle de sensibilisation clef.
Sensibiliser au-delà de l’hôpital
Lieu de détente et de thérapie par le jardin, cette serre biologique s’accompagne d’une cuisine de démonstration où des cours de gastronomie sont dispensés. Les patients y apprennent les manières de prévenir ou gérer les maladies chroniques grâce à des méthodes de culture et pratiques alimentaires saines.
Non loin de la serre, un centre éducatif accueille les plus jeunes. Des cars scolaires affluent de tout le Michigan. La serre de l’hôpital de West Bloomfield représente un modèle dans cet état, et même au-delà à travers les Etats-Unis.
« Nous voulons influencer nos jeunes à porter un autre regard sur la nourriture et sur ce qu’ils mettent dans leur ventre » indique Gerard Van Grinsven, directeur de l’établissement.Quant à Michelle Lutz à qui l’on demande souvent si elle la seule jardinière d’hôpital aux du pays, elle répond : « Je pense que oui, mais ne veux pas le rester. J’espère que de nombreux autres hôpitaux s’inspireront de ce que l’on fait ici ».
Et, oui, mes chers lecteurs, cultiver des légumes pour les patients d'un hôpital a un effet thérapeutique et agit donc, par le moral, à une amélioration de leur état de santé.
Par contre, ce qui ne va pas agir en faveur de notre santé à nous européens, ce sont les accords de libre échange entre les Etats-Unis et l'Europe, qui nous imposeront la malbouffe américaine.
Eux, ils ne savent même pas ce qu'ils mangent parce que les médias ne leur disent qu'à la marge, tant pis pour eux, mais bientôt, cela va être notre tour.
Consommateur, n'oublie jamais qu'au bout de la chaîne, c'est toi qui décide. Tu bouffe de la merde, un jour, tu te poses des questions, alors, renseigne-toi !

(source : Eat Local Grown)

10 American Foods that are Banned in Other Countries HOT

10 American Foods that are Banned in Other Countries


Americans are slowly waking up to the sad fact that much of the food sold in the US is far inferior to the same foods sold in other nations. In fact, many of the foods you eat are BANNED in other countries.
Here, I’ll review 10 American foods that are banned elsewhere.
Seeing how the overall health of Americans is so much lower than other industrialized countries, you can’t help but wonder whether toxic foods such as these might play a role in our skyrocketing disease rates.

BANNED FOODS

#1: Farm-Raised Salmon


If you want to maximize health benefits from fish, you want to steer clear of farmed fish, particularly farmed salmon fed dangerous chemicals. Wild salmon gets its bright pinkish-red color from natural carotenoids in their diet. Farmed salmon, on the other hand, are raised on a wholly unnatural diet of grains (including genetically engineered varieties), plus a concoction of antibiotics and other drugs and chemicals not shown to be safe for humans.
This diet leaves the fish with unappetizing grayish flesh so to compensate, they’re fed synthetic astaxanthin made from petrochemicals, which has not been approved for human consumption and has well known toxicities. According to the featured article, some studies suggest it can potentially damage your eyesight. More details are available in yesterday’s article.
Where it’s banned: Australia and New Zealand
How can you tell whether a salmon is wild or farm-raised? The flesh of wild sockeye salmon is bright red, courtesy of its natural astaxanthin content. It’s also very lean, so the fat marks, those white stripes you see in the meat, are very thin. If the fish is pale pink with wide fat marks, the salmon is farmed.
Avoid Atlantic salmon, as typically salmon labeled “Atlantic Salmon” currently comes from fish farms. The two designations you want to look for are: “Alaskan salmon,” and “sockeye salmon,” as Alaskan sockeye is not allowed to be farmed. Please realize that the vast majority of all salmon sold in restaurants is farm raised.
So canned salmon labeled “Alaskan Salmon” is a good bet, and if you find sockeye salmon, it’s bound to be wild. Again, you can tell sockeye salmon from other salmon by its color; its flesh is bright red opposed to pink, courtesy of its superior astaxanthin content. Sockeye salmon actually has one of the highest concentrations of astaxanthin of any food.

#2: Genetically Engineered Papaya


Most Hawaiian papaya is nowgenetically engineered to be resistant to ringspot virus. Mounting research now shows that animals fed genetically engineered foods, such as corn and soy, suffer a wide range of maladies, including intestinal damage, multiple-organ damagemassive tumorsbirth defects, premature death, and near complete sterility by the third generation of offspring. Unfortunately, the gigantic human lab experiment is only about 10 years old, so we are likely decades away from tabulating the human casualties.
Where it’s banned: The European Union
Unfortunately, it’s clear that the US government is not in a position to make reasonable and responsible decisions related to genetically engineered foods at this point, when you consider the fact that the Obama administration has placed former Monsanto attorney and Vice President, Michael Taylor, in charge of US food safety, and serious conflicts of interest even reign supreme within the US Supreme Court! That’s right. Supreme Court Justice Clarence Thomas is also a former Monsanto attorney, but refuses to acknowledge any conflict of interest.

#3: Ractopamine-Tainted Meat


The beta agonist drug ractopamine (a repartitioning agent that increases protein synthesis) was recruited for livestock use when researchers found that the drug, used in asthma, made mice more muscular. This reduces the overall fat content of the meat. Ractopamine is currently used in about 45 percent of US pigs, 30 percent of ration-fed cattle, and an unknown percentage of turkeys are pumped full of this drug in the days leading up to slaughter. Up to 20 percent of ractopamine remains in the meat you buy from the supermarket, according to veterinarian Michael W. Fox.
Where it’s banned: 160 countries across Europe, Russia, mainland China and Republic of China (Taiwan)
Since 1998, more than 1,700 people have been “poisoned” from eating pigs fed the drug, and ractopamine is banned from use in food animals in no less than 160 different countries due to its harmful health effects! Effective February 11, 2013, Russia issued a ban on US meat imports, slated to last until the US agrees to certify that the meat is ractopamine-free. At present, the US does not even test for the presence of this drug in meats sold. In animals, ractopamine is linked to reductions in reproductive function, increase of mastitis in dairy herds, and increased death and disability. It’s also known to affect the human cardiovascular system, and is thought to be responsible for hyperactivity, and may cause chromosomal abnormalities and behavioral changes.
Read about the benefits of grass-fed beef compared to standard feed lot beef.

#4: Flame Retardant Drinks


If you live in the US and drink Mountain Dew and some other citrus-flavored sodas and sports drinks, then you are also getting a dose of a synthetic chemical called brominated vegetable oil (BVO), which was originally patented by chemical companies as a flame retardant.
BVO has been shown to bioaccumulate in human tissue and breast milk, and animal studies have found it causes reproductive and behavioral problems in large doses. Bromine is a central nervous system depressant, and a common endocrine disruptor. It’s part of the halide family, a group of elements that includes fluorine, chlorine and iodine. When ingested, bromine competes for the same receptors that are used to capture iodine. This can lead to iodine deficiency, which can have a very detrimental impact on your health. Bromine toxicity can manifest as skin rashes, acne, loss of appetite, fatigue, and cardiac arrhythmias.
Where it’s banned: Europe and Japan
According to the featured article:
“The FDA has flip-flopped on BVO’s safety originally classifying it as ‘generally recognized as safe’ but reversing that call now defining it as an ‘interim food additive’ a category reserved for possibly questionable substances used in food.”

#5: Processed Foods Containing Artificial Food Colors and Dyes


 More than 3,000 food additives — preservatives, flavorings, colors and other ingredients — are added to US foods, including infant foods and foods targeted to young children. Meanwhile, many of these are banned in other countries, based on research showing toxicity and hazardous health effects, especially with respect to adverse effects on children’s behavior. For example, as reported in the featured article:
“Boxed Mac & Cheese, cheddar flavored crackers, Jell-O and many kids’ cereals contain red 40, yellow 5, yellow 6 and/or blue 2, the most popularly-used dyes in the United States. Research has shown this rainbow of additives can cause behavioral problems as well as cancer, birth defects and other health problems in laboratory animals. Red 40 and yellow 6 are also suspected of causing an allergy-like hypersensitivity reaction in children. The Center for Science in the Public Interest reports that some dyes are also “contaminated with known carcinogens.”
Where it’s banned: Norway and Austria. In 2009, the British government advised companies to stop using food dyes by the end of that year. The European Union also requires a warning notice on most foods containing dyes.
In countries where these food colors and dyes are banned, food companies like Kraft employ natural colorants instead, such as paprika extract, beetroot, and annatto. The food blogger and activist Vani Hari, better known as “Food Babe,” recently launched a Change.org petition2 asking Kraft to remove artificial dyes from American Mac & Cheese to protect American children from the well-known dangers of these dyes.

#6: Arsenic-Laced Chicken


Arsenic-based drugs are approved for use in animal feed in the US because they make animals grow quicker and make the meat appear pinker (i.e. “fresher”). The US Food and Drug Administration (FDA) has stated these products are safe because they contain organic arsenic, which is less toxic than the other inorganic form, which is a known carcinogen.
Where it’s banned: The European Union
The problem is, scientific reports surfaced stating that the organic arsenic could transform into inorganic arsenic, which has been found in elevated levels in supermarket chickens. The inorganic arsenic also contaminates manure where it can eventually migrate into drinking water and may also be causing heightened arsenic levels in US rice.
In 2011, Pfizer announced it would voluntarily stop marketing its arsenic-based feed additive Roxarsone, but there are still several others on the market. Several environmental groups have filed a lawsuit against the FDA calling for their removal from the market. In the European Union, meanwhile, arsenic-based compounds have never been approved as safe for animal feed.

#7: Bread with Potassium Bromate


You might not be aware of this, but nearly every time you eat bread in a restaurant or consume a hamburger or hotdog bun you are consuming bromide, as it is commonly used in flours. The use of potassium bromate as an additive to commercial breads and baked goods has been a huge contributor to bromide overload in Western cultures.
Where it’s banned: Canada, China and the EU
Bromated flour is “enriched” with potassium bromate. Commercial baking companies claim it makes the dough more elastic and better able to stand up to bread hooks. However, Pepperidge Farm and other successful companies manage to use only unbromated flour without any of these so-called “structural problems.” Studies have linked potassium bromate to kidney and nervous system damage, thyroid problems, gastrointestinal discomfort, and cancer. The International Agency for Research on Cancer classifies potassium bromate as a possible carcinogen.

#8: Olestra/Olean


Olestra, aka Olean, created by Procter & Gamble, is a calorie- and cholesterol-free fat substitute used in fat-free snacks like chips and French fries. Three years ago, Time Magazine3 named it one of the worst 50 inventions ever, but that hasn’t stopped food companies from using it to satisfy people’s mistaken belief that a fat-free snack is a healthier snack. According to the featured article:
“Not only did a 2011 study from Purdue University conclude rats fed potato chips made with Olean gained weight, there have been several reports of adverse intestinal reactions to the fake fat including diarrhea, cramps and leaky bowels. And because it interferes with the absorption of fat soluble vitamins such as A, D, E and K, the FDA requires these vitamins be added to any product made with Olean or olestra.”
Where it’s banned: The UK and Canada

#9: Preservatives BHA and BHT

BHA (butylated hydroxyanisole) and BHT (butylated hydroxytoluene) are commonly used preservatives that can be found in breakfast cereal, nut mixes, chewing gum, butter spread, meat, dehydrated potatoes, and beer, just to name a few. BHA is known to cause cancer in rats, and may be a cancer-causing agent in humans as well. In fact, according to the US Department of Health and Human Services, National Toxicology Program’s 2011 Report on Carcinogens, BHA “is reasonably anticipated to be a human carcinogen.” It may also trigger allergic reactions and hyperactivity, while BHT can cause organ system toxicity.
Where it’s banned: The UK doesn’t allow BHA in infant foods. BHA and BHT are also banned in parts of the European Union and Japan.

#10: Milk and Dairy Products Laced with rBGH


Recombinant bovine growth hormone (rBGH) is the largest selling dairy animal drug in America. RBGH is a synthetic version of natural bovine somatotropin (BST), a hormone produced in cows’ pituitary glands. Monsanto developed the recombinant version from genetically engineered E. coli bacteria and markets it under the brand name “Posilac.”
It’s injected into cows to increase milk production, but it is banned in at least 30 other nations because of its dangers to human health, which include an increased risk for colorectal, prostate, and breast cancer by promoting conversion of normal tissue cells into cancerous ones. Non-organic dairy farms frequently have rBGH-injected cows that suffer at least 16 different adverse health conditions, including very high rates of mastitis that contaminate milk with pus and antibiotics.
Where it’s banned: Australia, New Zealand, Israel, EU and Canada
“According to the American Cancer Society, the increased use of antibiotics to treat this type of rBGH-induced inflammation ‘does promote the development of antibiotic-resistant bacteria, but the extent to which these are transmitted to humans is unclear,’” the featured article states.
Many have tried to inform the public of the risks of using this hormone in dairy cows, but their attempts have been met with overwhelming opposition by the powerful dairy and pharmaceutical industries, and their government liaisons. In 1997, two Fox-affiliate investigative journalists, Jane Akre and Steve Wilson, attempted to air a program exposing the truth about the dangers of rBGH. Lawyers for Monsanto, a major advertiser with the Florida network, sent letters promising “dire consequences” if the story aired.
Despite decades of evidence about the dangers of rBGH, the FDA still maintains it’s safe for human consumption and ignores scientific evidence to the contrary. In 1999, the United Nations Safety Agency ruled unanimously not to endorse or set safety standards for rBGH milk, which has effectively resulted in an international ban on US milk.4 The Cancer Prevention Coalition, trying for years to get the use of rBGH by the dairy industry banned, resubmitted a petition to FDA Commissioner Margaret Hamburg, MD, in January 2010.5 Although the FDA stubbornly sticks to its position that milk from rBGH-treated cows is no different than milk from untreated cows, this is just plain false and is not supported by science. The only way to avoid rBGH is to look for products labeled as “rBGH-free” or “No rBGH.”
Source: Mercola.com
En pour vous faire participer à une action, mes chers lecteurs, je vous invite à pétitionner contre Nestlé qui est en train de pomper l'eau au Canada comme, elle le fait aux States et ailleurs et Coca Cola en Inde.

Guiart,
Thanks for calling on the British Columbia Government to enact laws so companies like Nestlé can't extract our water for free. Please spread the word to friends and family so that they will hear us loud and clear. 
Thank you,
From the SumOfUs team

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Dear Friends,
Nestlé is taking 265 million liters of fresh Canadian water every year to bottle and sell off around the world -- and it does not pay a penny.
This just isn’t right. At a time when water is in short supply around the world, it is outrageous that Nestlé can draw limitless amounts of our natural resources to sell for a huge profit.
Nestlé, the world's largest food company, gets away with this due to a lack of proper regulation in the province of British Columbia. With public outcry growing, the government says it will have public consultation on the issue -- but hasn’t committed to any immediate action. Let’s tell the government that we need new laws to protect our water from corporate freeloaders like Nestléhttp://action.sumofus.org/a/nestle-freeloading-off-BC/?sub=taf
Thank you!

Soyons solidaires des Canadiens, soyons solidaires des citoyens américains, soyons solidaires des réfugiés syriens, mais pas des djihadistes !
Mais, passons, car, je vous fais, un spécial flash pour les citoyens américains qui au lieu de se cachetonner à tire-la-rigot sous injonction de leur psychiatre feraient mieux de reconquérir la démocratie et s'occuper de leurs gamins.

(source : Scott.net)

Les sodas seraient associés à une hausse de l'agressivité infantile

Outre certains problèmes de santé, les sodas seraient également incriminés dans des modifications comportementales. Une étude vient en effet de montrer qu'une consommation excessive serait associée à une hausse de l'agressivité et une baisse de l'attention chez les jeunes enfants.

Enfant buvant du soda
© austinbarrow, Flickr, cc by nc sa 2.0
Les sodas sont riches en sucre, et ne sont pas recommandés pour les enfants. Les pédiatres préconisent plutôt de donner de l'eau aux petits pour qu'ils se réhydratent, et de leur offrir de temps en temps des jus de fruits pour leur faire plaisir. Cette nouvelle étude est un argument de plus : les enfants qui boivent trop de sodas seraient plus agressifs que les autres.
Désireux de faire pétiller nos papilles, le scientifique britannique Joseph Priestley inventa dans les années 1770 la première boisson gazeuse sucrée. Le soda était né. À cette époque, il ne se doutait probablement pas de la portée négative de son invention. Cependant, au fil des études sur le sujet, les scientifiques ont mis en lumière l'effet dramatique de la consommation de sodas sur le développement de certaines maladies comme le diabète, l'obésité, les pathologies cardiovasculaires et même certains cancers. Les sodas perturberaient aussi le sommeil des enfants. Les sodas light, peu ou pas sucrés, ont également fait leur entrée dans les rayons, mais n'ont pas résolu le problème pour autant, bien au contraire. Des travaux ont montré qu'ils étaient également très néfastes pour la santé.

Ces résultats ne semblent pourtant pas diminuer l'engouement du public pour ces rafraîchissements. Selon l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES), leur consommation serait en augmentation constante en France. En 2012, chaque Français en aurait bu en moyenne 56 litres, ce qui correspond à un peu plus d'un litre par semaine ! Une nouvelle étude alarmante parue dans The Journal of Pediatricsdevrait faire du bruit. Des chercheurs de l'université Columbia, à New York, ont montré que la consommation de soda serait liée à une augmentation de l'agressivité et une diminution de l'attention chez les jeunes enfants.

Les enfants qui boivent beaucoup de sodas sont deux fois plus violents

Au cours de ces travaux, les auteurs ont étudié le comportement de 3.000 enfants âgés de cinq ans et habitant dans 20 villes américaines. Parmi eux, près de la moitié consommait au moins un verre de soda par jour, et 4 % des enfants en buvaient quotidiennement plus de quatre verres. Les mères des candidats ont dû établir un bilan du comportement social de leurs enfants, en focalisant leurs réponses sur l'agressivité et la capacité d'attention. Les chercheurs ont également pris en compte des facteurs externes pouvant influencer les résultats, comme la quantité de bonbons consommés, le temps passé devant la télévision ou l'éducation des parents.

Pub Coca Cola Zero et Pin-ups
© Luiz Fernando Reis, Flickr, cc by 2.0
Le Coca-Cola Zero est un dérivé du Coca-Cola qui ne contient pas de sucre, mais de l'aspartame. Cela ne signifie pas pour autant qu'il est bon pour la santé. Une étude suggère un rôle des sodas allégés dans les problèmes cardiovasculaires et le diabète.
Leurs résultats sont effrayants. Ils montrent que les grands buveurs de sodas sont deux fois plus agressifs que les enfants qui n'en consomment pas. En outre, ils auraient tendance à se battre et à abîmer plus souvent les jouets des autres. « Nous avons montré un lien clair entre le nombre de boissons sucrées avalées et un comportement agressif », explique Shakira Suglia, une scientifique qui a participé à l'étude. L'abus de sodas induirait également un déficit de l'attention de ces enfants.

La chercheuse se veut cependant rassurante. Selon elle, l'étude n'est pas complètement représentative de la population, car la plupart des enfants de l'expérience étaient issus de familles monoparentales assez pauvres. D'autre part, il est difficile d'affirmer que les sodas constituent l'unique raison de la hausse de l'agressivité chez ces enfants, car de nombreux autres facteurs entrent en compte dans ce phénomène. De nouvelles études sont donc nécessaires pour démontrer ce lien, et pour découvrir la molécule potentiellement responsable du problème. À son tour, cette étude met le doigt sur le danger des sodas, et encourage les consommateurs à se limiter.

Et, cela sera tout pour aujourd'hui, parce je viens, à 20h30, de finir de boucher les trous, de la base jusqu'au toit (16 mètres de haut) d'une façade de ma maison d'habitation.
Comme, j'ai pas trop de fric, je le fais seul tout avec une échelle.
Question : "Tomberas, tomberas pas ?"
Aujourd'hui, je ne suis pas tombé et je suis content du travail fait.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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