Le New York Post a rapporté que les courriels de Colin Powell ont été piratés et étalés en public. Un courriel de 2014, envoyé à Jeffrey Leeds, contenait ce commentaire de Powell : « Bill [Clinton] fornique toujours avec des marie-couche-toi-là à la maison. »
Les naïfs Étasuniens croient que les agents secrets qui se servent du sexe ne sont que fiction.
Dans la ribambelle interminable de minettes de Bill, toutes seraient des filles de péquenauds ? Êtes-vous sérieux ? Les agences de renseignement étrangères exploitent ce genre de situation. C’est si facile, c’est de la plaisanterie. Se servir d’une femme agent secret, ou de cinq ou six. Conversation sur l’oreiller, reconnaissance sur place, chantage, la routine.
Qui sait ? Il est vraiment possible que Bill veuille divulguer les secrets. Après tout, n’a-t-il pas un jour envoyé de la technologie militaire avancé en Chine, en échange d’argent pour la campagne. Et en tant que grand mondialiste, pourquoi devrait-il se soucier de la souveraineté des USA ?
Pendant ce temps, Hillary, affligée d’une espèce de chienlit nerveuse, s’installe un serveur de messagerie privé, grâce auquel elle envoie et reçoit des informations classées confidentielles. Soit elle est trop égarée pour se rendre compte de ce qu’elle trafique, soit elle s’en fiche.
Quelle paire !
Si elle titube à la Maison Blanche en novembre, avec Bill à ses côtés, pourquoi ne pas déballer tous les livres et briefings classés secrets et les imprimer dans le New York Times ?
Les seuls secrets que les Clinton veulent garder cachés, sont les leurs ; par exemple, le fonctionnement interne de la blanchisseuse automatique d’argent « casquez pour en profiter », connue sous le nom de fondation Clinton.
Et pendant que nous y sommes, que pense Hillary du défilé incessant des pouffiasses de Bill ? Ne lui est-il jamais venu à l’esprit que certaines d’entre elles extorquent des informations à son mari, travaillent pour des gouvernements étrangers ? Elle a apparemment dépassé le stade de se soucier de ça. Ce qui en dit long sur son attitude générale envers les questions de sécurité. Car au-dedans d’elle,  c’est un désastre.
Encore une fois, il se pourrait qu’elle et son mari regagnent la Maison Blanche dans quelques mois.
Les médias dominants évitent de parler des questions de sécurité à propos de Bill. Mis à part le fait qu’ils veuillent qu’Hillary soit présidente, ils ne veulent certes pas revenir sur le passé sexuel de Bill, remontant à l’époque en Arkansas.
Je vous assure qu’il existe de banals journalistes qui comprennent les implications des questions de sécurité et de l’espionnage que j’ai décrites ci-dessus. Ils savent très bien que, depuis très très longtemps, Bill est, de ce point de vue, une cible passive. Mais ils ne prennent pas la peine d’écrire à ce sujet, parce que leurs éditeurs n’apprécieront jamais ce genre d’histoires.
En lien avec la CIA, chacun de ces journalistes pourrait, en peu de jours, ouvrir une ligne de conversation publique qui n’arrêterait pas de fumer. Que ressentent les agents de la CIA et ceux qui sont en service à l’étranger à propos d’un fantôme d’ancien président étasunien qui était, et est toujours, un candidat idéal pour être exploité sexuellement par des femmes agents secrets le piégeant avec des mon chéri ?
Non, ce n’est pas de la fiction. Le recours à ces agents secret est un fait de la vie politique depuis la découverte du sexe. Dans la communauté du renseignement, refuser ce genre d’activité serait risible.
Les Clinton. Un couple de rêve.