lundi 27 août 2012

Salut aux petits consommateurs qui n'en peuvent plus. Le gouvernement français vous a déjà tourné le dos !

Re-bonjour, mes chers cinq lecteurs, en fait durant toute la semaine dernière, je n'ai pas travaillé comme commis de cuisine, mais, comme plongeur. En effet, il m'était dévolu cette tâche importante qui consistait à rendre une vaisselle impeccable pour les repas.
Vous me connaissez, je n'ai pas failli à la tâche malgré les 38° ambiant.
Mais, quelle fatigue, mes chers cinq lecteurs, oh, mon dieu, quelle fatigue !
Sauf, que, une fois arrivé à la gare de mon bled à 22 heures, pouf, plus la batterie de la voiture s'était vidé et comme, je ne suis pas très malin, j'avais oublié de la débrancher.
Heureusement que l'épicier reubeu du coin a bien voulu abandonner son commerce pour me ramener chez moi. Autrement, avec ma petite femme, on allait se taper deux heures de marche à pied.
Grand merci à lui !
Bon, cette mise au point faite, voyons ce qui se passe dans le monde.
Eh, bien, la grande distribution plus apte à considérer la réalité de la situation économique que le gouvernement français qui hésite entre une croissance à 1% irréaliste et une à 0, quelque chose, déclare de fait le pays en récession et met en place les outils pour continuer à gagner du fric.
Il est vrai que cela ne fait qu'officiellement que confirmer la tendance des grandes surfaces de diminuer les quantités en les faisant payer aux mêmes prix au consommateur.
Sans oublier les quelques centimes que ces grandes surfaces ou petits supermarchés qui annoncent des prix moindres aux rayons alors qu'à la caisse le prix et plus élevés. Ce qui leur fait faire la culbute car 0, 50 centimes d'euros multipliés par le nombre de clients finit par faire des millions d'euros.
Et, évidemment, le service des fraudes n'a jamais sous aucun gouvernement de droite ou de gauche mis à l'amende ces grandes surfaces pour faire cesser ce scandale.
Ils les ont dénoncés, certes, mais, pas plus.
En tout cas, la tendance est désormais officielle, les quantités seront moindre, mais, le bénéfice au final augmentera.
C'est bien pour cela que les citoyens doivent s'organiser pour la vente directe entre les producteurs et les consommateurs.
Cela se pratique pour les légumes, pour la viande, désormais, mais, peut se faire sur le poisson, sur les coquillages et sur tout le panel occupé par les grandes surfaces.
Il suffit de recréer des produits de lessive ou de beauté naturels, avec une capacité moindre de conservation avec des délais d'utilisation plus courts et surtout biodégradable.
Il y a des activités génératrices de revenu à créer, de cela, je peux vous l'assurer.
A nous, citoyens de nous prendre en charge !

(source : le Monde économie en ligne)


Unilever se prépare à un "retour de la pauvreté" en Europe

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
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Dans un entretien au quotidien allemand Financial Times Deutschland, Jan Zijderveld explique en effet vouloir s'inspirer désormais en Europe des méthodes utilisées par Unilever dans les pays asiatiques en développement.

Adaptation aux contraintes économiques nées de la crise ou coup marketing ? Le responsable pour l'Europe du géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever a affirmé lundi 27 août voir "la pauvreté revenir" sur le continent, et veut adapter en conséquence sa stratégie.

Dans un entretien au quotidien allemand Financial Times DeutschlandJan Zijderveld explique en effet vouloir s'inspirer désormais en Europe des méthodes utilisées par Unilever dans les pays asiatiques en développement, en vendant des produits meilleur marché car en plus petit conditionnement.
DES PAQUETS DE LESSIVE POUR CINQ MACHINES
"Si un Espagnol ne dépense plus en moyenne que 17 euros quand il fait les courses, je ne vais pas lui proposer un paquet de lessive qui coûte la moitié de son budget" explique-t-il. "En Indonésie nous vendons des échantillons individuels de shampoing pour 2 à 3 centimes pièce et pourtant nous gagnons de l'argent", dit le responsable en Europe d'un groupe chapeautant des marques telles que Dove, Magnum, Knorr ou Cajoline.
Le Financial Times Deutschland rapporte qu'Unilever a par exemple commencé àvendre en Espagne de petits paquets de lessive ne permettant de faire que cinq machines. Ainsi, pour M. Zijderveld, "les marchés en Europe sont un peu les Jeux olympiques de la distribution : le plus difficile ! Celui qui s'en sort ici y arrivera partout".



D'ailleurs, pour reprendre l'agro-alimentaire et les grandes surfaces, nous constatons que l'Europe, toujours à la solde de la grande industrie s'est fendue d'une nouvelle réglementation qui permet aux industriels de l'agro-alimentaire de bénéficier du statut AB, donc bio sans changer leur mode d'élevage en batterie ou sans changer leurs pratiques de cavage des animaux.
L'Europe, ah, là, là !
Heureusement qu'elle est là pour préserver nos gouvernements de toutes envies de servir enfin et honnêtement leurs propres citoyens en préservant et en développant les services publics, en taxant les multinationales et les grandes fortunes, en mettant à l'amende les industries qui pratiquent les ventes bidons entre la société mère et ses filiales nichées dans les paradis fiscaux et j'en passe et des meilleurs.
Oui, je parle de cette Europe là, construite à une époque par les gouvernements socialistes et qui nous ont doré la pilule en nous faisant croire qu'elle représentait un progrès pour tous les peuples européens.
Alors, que de fait, elle ne fait que protéger les banques et les industries qui mettent en danger notre santé.
Cette Europe construite par des experts et des gouvernants soumis à la finance internationale et aux industries prédatrices de l'environnement et de la santé des citoyens européens.
Cet Europe, que jamais le nouveau président français ne contestera puisque ce sont les socialistes qui l'ont mis en place en toute connaissance de cause !
Et, pourtant, "Ce que peuple veut, n'est pas désir de roi".
Bon, d'accord, ceci est un proverbe né de ma fertile cervelle, néanmoins, il reste vrai.

(source : l'Humanité en ligne)



POLITIQUE -  le 27 Août 2012
Éditorial par Patrick Apel-Muller

Ce lundi dans l'Humanité : 72 % des Français veulent un référundum

L’opinion sent bien que la volonté de ratifier ce texte en se passant de son consentement cache de troubles desseins.
Selon notre sondage CSA-L'Humanité, une très large majorité de l'opinion publique souhaite être consultée sur le traité qui imposerait la règle d'or budgétaire à la France. Une question qui fut également longuement débattue lors des "Estivales citoyennes" qui ont eu lieu de week-end. L'éditorial de Patrick Apel-Muller, Sous le manteau pourpre... 
Les résultats de notre sondage CSA sont sans appel. Soixante-douze pour cent des Français souhaitent qu’un référendum soit organisé pour ratifier le traité européen qui instaure 
à l’échelle du continent la règle d’or chère à Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Les électeurs de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle sont les plus nombreux à le souhaiter, mais c’est également le cas 
des deux tiers des électeurs socialistes qui ont en mémoire 
le onzième des soixante engagements de François Hollande qui prévoyait la renégociation du traité."

Et, oui, mes chers cinq lecteurs, mais, cela vient de loin.
Désormais, en France, une certaine classe politique issue des mêmes écoles, l'ENA, Sciences PO et autres avocaillons ont bloqué l'accession aux postes politiques pour les membres de la classe ouvrière et des travailleurs en général.
Ils sont entre-eux et contrôlent l'appareil d'état de bas en haut de la pyramide du pouvoir.
A droite et à gauche, ce sont les mêmes !
Du coup, les représentants de la finance, les grandes fortunes et tous les autres qui ne paient prou ou plus rien à l'état savent que de toute façon, ils sont en sécurité, mise à part des ponction à la marge pour faire croire aux peuples qu'ils sont soumis aux mêmes règles que lui.
En attendant, le gouvernement français ne va sans doute pas appliquer la règle de la taxation à 75% sur les très gros salaires pour les artistes, les footballeurs et quelques autres profession.
Vous me direz, mes chers cinq lecteurs, que lorsque l'on gagne plus d'1 millions d'euros par mois, il ne soit pas nécessaire de participer à l'effort de redressement national.
Et, pour finir, j'attend la date de la grande manifestation parisienne annoncée par Jean-Luc Mélenchon. J'Y SERAIS, NOM DE DIEU !

(source : Rouges et Verts en ligne)


Traité européen : le pari du Front de gauche


Jean-Luc Mélenchon, lors du meeting de clôture de l'université d'été du Front de gauche. Photo Jeff Pachoud/AFP
C'est la priorité de la rentrée. Le Front de gauche entend mobiliser contre le traité budgétaire européen. Dimanche 26 août à Saint-Martin-d'Hères (Isère), en clôture de l'université d'été du rassemblement, Jean-Luc Mélenchon a appelé à une "grande manifestation populaire" pour réclamer l'organisation d'un référendum sur le sujet."Tous à Paris pour montrer la force qui dit non", a-t-il lancé à la tribune.
La date n'est pas encore fixée mais ce rassemblement devrait intervenir fin septembre, avant que le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), qui introduit une règle d'or budgétaire, soit soumis à ratification au Parlement, en octobre.
A bientôt.
René.

PS : (source : Les Moutons Enragés en ligne)


Festival Kokopelli Pacha-Mama : conférence de Vandana Shiva…

Les semences anciennes sont notre patrimoine, il est universel, PERSONNE n’a le droit de se l’ approprier pour faire du fric!
Vandana Shiva, en Inde, se bat depuis 25 ans pour préserver les semences et lutter contre les multinationales qui tentent de s’en emparer en brevetant le vivant. Invitée par l’association Kokopelli pour le festival, elle a donné le ton dès ce premier jour.
« Je suis heureuse d’être là avec vous aujourd’hui, dans ce paysage magnifique de montagnes. J’ai la chance et l’honneur d’être accompagnée ici par mon fils Kota, dont le nom signifie dans ma langue « le dieu des guerriers » et qui voyage très rarement avec moi.
Depuis que mon fils est entré dans ma vie, j’ai compris une leçon fondamentale : l’amour le plus profond permet de mener les batailles les plus féroces.
C’est parce que nous aimons profondément notre terre que nous nous battons pour la défendre et défendre la vie.
La semence est à l’origine de la vie. Or, la semence est actuellement menacée par la colonisation.
Nous devons défendre la semence libre pour rester libres nous-mêmes.
Deux éléments ont déclenché ma prise de conscience de cette colonisation de la semence.
C’était en 1984.
Le premier élément fut la catastrophe de Bhopal, en Inde, un accident dans une usine chimique qui a fait 3000 morts au moment de l’explosion et qui continue à tuer depuis. 30 000 personnes sont encore en train de mourir des suites de cette catastrophe et des enfants mal formés continuent à naître.
Les violences dans le Penjab, une province indienne, furent le second élément déclencheur. C’est dans cet « état des 5 rivières » qu’a eu lieu la grande « révolution verte » récompensée par un prix Nobel de la Paix en 1970 : cette « révolution verte » a consisté en l’introduction massive d’intrants chimiques et de semences « modernes » et a finalement été responsable, en 1984 aussi, année de la catastrophe de Bhopal, d’une véritable guerre responsable de 30 000 morts.
On a voulu nous faire croire que les semences modernes étaient « magiques ». Or, ces 25 dernières années, nous nous sommes rendu compte qu’au contraire, ce sont nos semences ancestrales, traditionnelles, indigènes qui produisent le plus, avec la meilleure qualité nutritionnelle et qui sont génératrices de plus de revenus pour les agriculteurs. Seules ces semences peuvent être à la base d’une agriculture responsable et durable. J’ai toute la documentation prouvant que la biodiversité de nos semences anciennes permet de produire plus et mieux que leurs semences modernes.
On assiste actuellement à deux grands mensonges
1/ Les graines industrielles sont censées être supérieures aux autres. Elles ne le sont que parce qu’elles donnent plus de pouvoir aux industries chimiques (qui sont les anciennes industries de l’armement reconverties) ; mais elles sont responsables de maladies et détruisent la planète. Ce ne sont pas des semences du futur, mais d’un passé que l’on voudrait voir derrière nous.
2/ Cette industrie de guerre qui fabrique les semences modernes distille un second mensonge : elle aurait « créé » et « inventé » des semences et utilise comme outil le dépôt de brevet qui la rend propriétaire du début de la chaîne alimentaire. C’est ce sur quoi nous devons lutter.
Les semences ne sont pas l’invention de Monsanto. La seule chose que Monsanto a inventé, c’est un gène de toxicité ; cette entreprise devrait être punie pour ça au lieu d’être récompensée.
Il faut être un véritable psychopathe pour prétendre être l’inventeur des semences, introduire la toxicité et s’ériger au-dessus de tous. À tous les niveaux, Monsanto a déclaré la guerre à la vie.
(…)
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Auteur : Sophie Lacoste
Article relayé par : geof pour Sauve-la-Terre

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