mardi 28 septembre 2021

 (Il est vrai que pfizer va sortir un médicament à prendre 2 fois tous les deux jours, pour ne pas dire 1 par jour. Il faut donc que le virus soit éternel. A croie qu'ils nous ont fait un cinoche sur la difficulté à sortir un "vaccin" et que les états doivent financer pour les aider à faire les recherches. Non, sans rire, la thérapie génique existait depuis des années en expérimentation dans les hôpitaux sur les maladies auto-immunes, ils l'ont simplement fait basculer sur la lutte anti-covid, ça ne leur a rien coûté.  note de rené)


Le PDG de Pfizer affirme que la « vie normale » ne reviendra pas sans des vaccinations régulières


« Je ne pense pas que cela signifie que nous devrions pouvoir vivre notre vie sans nous faire vacciner ».

Le PDG du géant pharmaceutique Pfizer déclare que la vie normale reviendra d’ici un an, mais pas pour ceux qui ne se font pas vacciner régulièrement contre le COVID-19.

Lors d’une apparition sur ABC This Week avec George Stephanapoulos, Albert Bourla a été interrogé sur le moment où il prévoyait la fin de la pandémie.

« D’ici un an, je pense que nous pourrons revenir à une vie normale », a répondu M. Bourla, tout en précisant que cette affirmation ne s’applique qu’à ceux qui sont prêts à se faire régulièrement vacciner contre le coronavirus.

« Je ne pense pas que cela signifie que les variants ne continueront pas à venir », a ajouté M. Bourla. « Et je ne pense pas que cela signifie que nous devrions pouvoir vivre notre vie sans nous faire vacciner, en gros. »

Bourla a déclaré que le « scénario le plus probable » était « des re-vaccinations annuelles » en raison de l’émergence de « nouveaux variants ».

Les commentaires du PDG de Pfizer sur les vaccinations annuelles sont intéressants étant donné que la FDA n’a jusqu’à présent approuvé les rappels que pour les personnes âgées et les « individus à haut risque ».

La rhétorique de M. Bourla est similaire à celle de Stéphane Bancel, PDG de Moderna, qui a déclaré la semaine dernière que même les personnes plus jeunes devront recevoir des rappels de vaccins au moins une fois tous les trois ans.

Cela souligne une fois de plus la création d’une société à deux vitesses, où seuls ceux qui se soumettent à des injections régulières pourront mener une vie relativement normale.

Pour ceux qui refusent toujours de se faire vacciner, les voyages, l’emploi et peut-être même les activités de loisirs de base continueront d’être limités, les laissant de facto dans un état de confinement indéfini.

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