Kissinger, 93 ans, veut laisser son empreinte sur l’avenir du monde avec la Russie, l’ et le Donbass et intervient encore dans la diplomatie entre les Etats-Unis et la Russie. Kissinger, le conseiller des nombreuses  américaines, ami de McCain, de Merkel… l’invité régulier de la fondation Bertelsmann, qui a provoqué des millions de morts au Vietnam en conseillant Nixon, au Chili et dans d’autres pays en soutenant des dictatures, a été ressorti par l’élite mondialiste pour organiser un plan pour l’ et pour donner des ordres au peuple libre et souverain du Donbass ! «La Crimée contre le Donbass», propose Kissinger à Poutine !
Une élite mondiale à l’agonie.
Pendant que les Etats-Unis s’enfoncent dans une société  tiers-mondiste avec les mouvements Black Lives Matter comme en Afrique du Sud (où les infrastructures de la civilisation sont détruites) le Pentagone et ses experts sont allés sortir de son tombeau , lui qui a mené la politique de  des Etats-Unis depuis qu’il est employé comme conseiller auprès des présidents américains. Kissinger est aussi un grand ami de la fondation Bertelsmann qui fait la pluie et le beau temps en Allemagne et qui a organisé la grande politique d’import de migrants en Allemagne et qui soutient le régime de Porochenko pour massacrer les russophones et les enfants dans le Donbass.
Master-Plan.
«Kissinger doit organiser un plan pour l’Ukraine», explique le journal Bild ! A 93 ans Kissinger doit donner son avis et marquer la politique future en Ukraine et pour l’avenir du monde ! La presse anglo-saxonne nous explique que Kissinger a évoqué une nouvelle course à l’armement avec la Russie et que Kissinger est devenu le conseiller de  auprès de Poutine. Il faut rappeler que si Bild reste un tabloïd, c’est avant tout un journal officiel du pouvoir qui montre les directives officielles du gouvernement actuel de Berlin.
Le Donbass en échange de la Crimée.
Kissinger, qui conseillerait à Trump de reconnaître la Crimée, demande à Poutine de livrer le Donbass au régime de Porochenko contre la  de la Crimée. Le marchandage vient de commencer. «La Russie retire ses aides et son soutien au Donbass, Washington devrait reconnaître la Crimée comme étant un territoire russe», explique Kissinger. Mais, Kissinger oublie que la Crimée est russe et que la Russie n’a pas à accepter un tel marchandage de marchand de tapis. La Crimée est, par les faits historiques, russe et c’est par un référendum que les habitants de la Crimée ont décidé de faire sécession ce qui est un acte légal du droit international. Même l’expert  du droit international, Karl Albrecht Schachtschneider, explique dans ses écrits que la Crimée est russe et que l’action de la Russie avec la Crimée n’a rien à voir avec une . Ce sont les Etats-Unis et leurs alliés qui bafouent le droit international en refusant de reconnaître la Crimée comme étant un territoire russe. Le plan de Kissinger sent la déroute des Etats-Unis ou encore le piège. Les Etats-Unis sont en train de tenter de trouver des solutions en tentant de caresser dans le sens du poil l’ours russe. Est-ce que Poutine va accepter le marchandage proposé par Kissinger et livrer la population du Donbass à la politique de génocide antirusse de Kiev ? Pourquoi Trump, qui se présente comme l’ami de la Russie pour un monde meilleur vient d’employer Kissinger qui n’est qu’un homme du passé ?
Olivier Renault