lundi 25 mai 2015

(blog à finir et à corriger)

Mauvaises nouvelles pour les américains, mes chers cinq lecteurs, mais, malgré tout pour les multinationales américaines, le réchauffement climatique n'existe pas. L'exploitation de gaz de schiste qui consomme des masses d'eau incommensurable tout en restituant de l'empoisonnée n'y est pas responsable. Elle pompe, là, où elle l'achète, dans les fleuves, les nappes phréatiques, elle participe largement à cet assèchement des Etats-Unis, menacé par ailleurs par des catastrophes naturelles majeures.
Par exemple, qui nous dit que la caldera de Yellowstone n'est plus régulé par une masse d'eau assez conséquente dans ses environs proches ?
Au lieu de faire la guerre et la déclencher tout autour de la planète, les Etats-Unis ferait bien mieux de dépenser ses dollars à assurer un environnement propre, une santé normale et une nourriture saine à ses citoyens en corrigeant les méfaits de ses multinationales sur son territoire.

(source : Les Moutons Enragés)

Le niveau du lac Mead qui alimente Las Vegas, la Californie, le Nevada et l’Arizona baisse à un rythme alarmant depuis quelques jours

Entre le 20 mai et aujourd’hui, le graphique montre une baisse dramatique du niveau de l’eau. On peut voir que le niveau d’élévation au-dessus de la mer est passé de 1076 pieds à 1068 pieds en trois jours. Le visuel sur le graphique montre en lui-même que la situation est non seulement critique, mais que cette énorme quantité d’eau disparaît à un rythme foudroyant. Où s’en va toute cette eau? Assèchement ou fuit-elle dans les entrailles de la terre?
lacmead
Selon l’article de zerohedge, le niveau optimal et opérationnel du bassin du lac Mead est de 1229 pieds au dessus du niveau de la mer. En date du 2 mai dernier, le niveau s’est abaissé à 1078.9 pieds: le plus bas niveau jamais enregistré depuis la création du bassin en 1937. Toujours selon l’article, depuis les 36 derniers mois, le niveau d’eau a chuté de 44.8 pieds.
Les trois derniers jours laissent croire que la baisse pourrait non seulement se poursuivre, mais aussi s’accentuer de façon à déclencher un état d’urgence pour plus de 20 millions de personnes.
Traduction: Conscience du peuple
Les images avant/après prises en Californie parlent d’elles-même…. C’est réellement tragique.
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En attendant, il y a des mystères qui demeurent !

(source : Not allowed to)

Triangle des Bermudes : Un Bateau Réapparaît 90 ans après sa Disparition

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Triangle des Bermudes : Un Bateau Réapparaît 90 ans après sa Disparition

bateau-bermudes
La Havane | La Garde Côtière Cubaine a annoncé ce matin avoir intercepté un navire sans capitaine à bord en direction de l’île, et qui est présumé être le SS Cotopaxi, un tramp à vapeur qui avait été porté disparu en Décembre 1925 et qui avait été très rapidement lié à la légende du triangle des Bermudes.
Les autorités cubaines ont repéré le navire pour la première fois le 16 mai, au large d’une zone militaire interdite, à l’ouest de La Havane. Ils ont effectué de nombreuses tentatives de communication infructueuses avec l’équipage et ont mobilisé trois navires de patrouille pour l’intercepter.
Quand ils l’ont rejoint, ils ont été surpris de constater que le navire était en fait un bateau vieux de 100 ans immatriculé en tant que le Cotopaxi, un nom célèbre associé à la légende du Triangle des Bermudes. Il n’y avait personne à bord et le navire semblait être abandonné depuis des décennies, ce qui suggère que cela pourrait bien être le cargo tramp qui a disparu en 1925.
Une recherche exhaustive du navire a conduit à la découverte du journal de bord du capitaine. Il a été, en effet, associé à la Compagnie de Navigation Clinchfield, les propriétaires du SS Cotopaxi, mais n’a pas apporté le moindre indice concernant ce qui est arrivé à bord du navire au cours des 90 dernières années.
cubain
L’Expert cubain, Rodolfo Cruz Salvador, estime que le journal de bord du capitaine est authentique. Ce document contient de précieuses informations concernant la routine de vie de l’équipage avant la disparition du navire, mais les entrées s’arrêtent soudainement le 1er Décembre 1925.
Le 29 Novembre 1925, le SS Cotopaxi a quitté Charleston, en Caroline du Sud et est en route vers la Havane, Cuba. Le navire avait un équipage de 32 marins, sous les ordres du Capitaine W. J. Meyer, et transportait un cargo de 2340 tonnes de charbon. Il a été porté disparu deux jours plus tard et n’a plus jamais été revu durant ces 90 dernières années.
Le Vice Président du Conseil des Ministres, le Général Abelardo Colomé, a annoncé que les autorités Cubaines feront une enquête pour élucider le mystère de la disparition et réapparition du navire.
« Il est très important pour nous de comprendre ce qui s’est passé. » a dit le Général Colomé. « De tels incidents pourraient être vraiment mauvais pour notre économie, donc il faut faire en sorte que ce genre de disparition ne se reproduise plus. Il est l’heure de résoudre le mystère du triangle des Bermudes une fois pour toutes. »
bermudes
Le Triangle des Bermudes est une région difficile à définir qui couvre la zone entre Miami, Puerto Rico et les Bermudes, où des douzaines de navires et avions ont disparu dans d’étranges circonstances.
La culture populaire a attribué les plusieurs disparitions à un phénomène paranormal ou surnaturel, ou à l’activité de vaisseaux extraterrestres. L’une des explications remonte jusqu’à la technologie léguée par la cité perdue de l’Atlantide.
Malgré la popularité de toutes ces théories étranges, la plupart des scientifiques ne reconnaissent pas l’existence du triangle des Bermudes, et pointent du doigt les erreurs humaines et les phénomènes naturels pour les disparitions.
La mystérieuse réapparition du SS Cotopaxi a, cependant, déjà généré beaucoup d’intérêts au sein de la communauté scientifique et pourriat bien inciter certains experts à revoir leurs positions quant à ce sujet.
Source: Not Allowed To, le 20 mai 2015

Et, toujours en attenant :

(source : le Nouveau Paradigme)



La disparition des abeilles reprend à son paroxisme

25 Mai 2015, 09:25am
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Publié par Le Nouveau Paradigme

Un monde inquiétant où les abeilles disparaissent




La très inquiétante reprise de la disparition des abeilles pollinisatrices. Si l’année passée, on croyait en l’accalmie de la disparition des abeilles, cette année la tendance actuelle nous prouve, un nouvelle fois, l’inverse. Les abeilles sont bel et bien une espèce en voie de disparition. Leur perte entraînerait la fin de l’humanité, prédisait Einstein…
Atlantico : Aux Etats-Unis, la disparition des colonies d’abeilles s’accroît. Entre 2014 et 2015, leur population aurait décru de 42%. En France, la situation est-elle aussi grave?
François Lasserre : En France, la situation est moins grave, mais on note, quand même, une forte baisse du nombre d’abeilles domestiques (abeille de ruches). Cette baisse est relativement récente. Elle tourne autour des 30% dans certains endroits mais dans d’autres, les colonies se portent mieux. Globalement, on remarque une sérieuse baisse du nombre d’abeilles. A titre d’exemple, avant les reines vivaient entre 3 et 5 ans et maintenant, si elles dépassent un an de vie, l’apiculteur sera ravi. Si aux Etats-Unis les abeilles des ruches disparaissent rapidement c’est parce qu’elles sont plus exploitées.
Que ce soit en Amérique du Nord ou en France, l’intensification du business de l’agroalimentaire (celui des entreprises d’apiculture qui en vivent) explique leur raréfaction. Un grand rendement avec les abeilles domestiques ne s’obtient pas seul (par exemple, on utilise des antibiotiques) ce qui explique que les maladies circulent d’avantage. De ce fait, les abeilles sont moins promptes à se défendre et meurent plus facilement. D’autre part, les abeilles libres ingurgitent des produits chimiques du fait de l’actuelle, très large, utilisation des pesticides. Enfin, la nourriture des abeilles s’est également appauvrie, les fleurs sauvages ont, par exemple disparues, ainsi ces insectes s’affaiblissent.
Le fond de l’histoire est simple : la nature est de plus en plus exploitée ! L’abeille est une sorte de signal d’alerte, cela nous indique que nous faisons n’importe quoi avec la nature !
Ce qui semble inquiéter principalement c’est la disparition des abeilles domestiques. Quel serait son impact?
L’abeille domestique est importante car elle nous apporte du miel, du pollen, de la propolice (utilisée comme antibiotique) et de la cire. Pour ces activités, elles participent à la pollinisation des végétaux. Là où elles sont très importantes, c’est lorsqu’il y a des hectares et des hectares où une seule plante est cultivée : les pollinisateurs sauvages ne sont pas assez nombreux pour les polliniser. C’est là le rôle des apiculteurs : leurs abeilles (en grand nombres) peuvent polliniser ces immenses espaces industriels. Leur disparition entraînera donc un certain nombre de changements importants!
Du point de vue de la pollinisation, l’impact serait relatif, l’abeille domestique n’est pas la seule à le faire, de nombreux pollinisateurs existent (les abeilles sauvages ou solitaires dont font partie les bourdons, les mouches, les guêpes, les punaises…).
Aujourd’hui en France, l’abeille domestique n’est indispensable que pour la production de miel. En revanche, aux États-Unis –dans certaines cultures- elles sont devenues totalement obligatoires (par exemple, la culture des amandes en Californie). En France, cette même situation est en chemin. En revanche, si l’on revenait à des exploitations à taille humaine, avec plus de nature sauvage et spontanée autour et dans les champs, l’abeille domestique serait moins indispensable.
La disparition des abeilles (toutes espèces confondues) serait-elle désastreuse pour l’écosystème? Leur disparition aurait-elle aussi une incidence sur l’économie?
Les abeilles sont hyper spécialisées en fleurs, leur disparition entraînerait donc également celle de certaines fleurs. Les fleurs n’existeraient pas sans les insectes et inversement. C’est allé jusqu’au point que certains insectes ne colonisent qu’une fleur, si cet insecte disparaît, la fleur également. La disparition des abeilles accompagnée par celle d’autres insectes causeraient la disparition de fruits qui nécessitent la pollinisation. Disparaîtraient de la même façon : les courgettes, les carottes, les melons,….
Pour qu’il y ait diversité de fleurs et donc de fruits, il faut qu’il y ait une diversité d’insectes. Il n’y aurait pas de fleur, ni de fruits sans insectes pollinisateurs!
En outre, la disparition des abeilles causerait bien sur des coûts économiques (moins de pollinisation, de miel…) : on parle de 100 milliards de dollars.
extrait et source de http://www.atlantico.fr/
Et, en attendant, daech, le califat islamique est déjà installé en Arabie Saoudite alors que l'Arabie Saoudite construit un mur sur sa frontière irakienne pour empêcher les djihadistes de l'envahir.

(source : France 24)


Attentat contre une mosquée : Riyad dit avoir identifié le kamikaze, lié à l’EI

© Husein Radwan, AFP | Des fidèles de la mosquée du village d'Al Kadih après l'attentat, le 22 mai 2015.
Texte par FRANCE 24 
Dernière modification : 24/05/2015

L'Arabie saoudite a indiqué samedi avoir identifié l'auteur de l'attentat- suicide commis vendredi contre une mosquée chiite, lors duquel 21 personnes sont mortes. Riyad a confirmé les liens du tueur avec l'EI.

L'Arabie saoudite a affirmé, samedi 23 mai, avoir identifié l'auteur de l'attentat-suicide commis la veille contre une mosquée chiite de l'est du royaume, dans lequel 21 personnes sont mortes. Le Royaume a confirmé ses liens avec l'organisation de l'État islamique (EI), qui a revendiqué l'attaque.
"Son nom était Saleh ben Abdulrahmane Saleh al-Ghishaami, de nationalité saoudienne. Il était recherché par les services de sécurité pour appartenance à une cellule terroriste et recevait des ordres de Daesh (acronyme arabe de l'EI) depuis l'étranger", selon un communiqué du ministère de l'Intérieur diffusé par l'agence officielle SPA.
En revendiquant l'attentat contre la mosquée du village d'Al-Kadih, dans la province du Qatif, l'EI avait identifié le kamikaze comme Abou Amer al-Najdi.
Selon le communiqué du ministère de l'Intérieur, la cellule "a été découverte le mois dernier, et jusqu'à présent 26 de ses membres, tous Saoudiens, ont été arrêtés".
Avec AFP
Et, pendant ce temps, l'accaparement des terres continuent en Afrique !

(source : Agenceecofin.com)

Mozambique : un gigantesque projet agricole divise l’opinion

Mozambique : un gigantesque projet agricole divise l’opinion
 
 
(Agence Ecofin) - Selon les modalités d’un plan de développement de l’agriculture du Mozambique récemment dévoilé, 240 000 hectares de terres arables devraient être cédées à des investisseurs étrangers qui y pratiqueront des cultures destinées à l’exportation.
L’initiative qui nécessitera un investissement de 4,2 milliards de dollars devrait permettre de produire du coton, du maïs, du sucre, de l’éthanol, du bétail ainsi que de l’électricité grâce à la réalisation de deux barrages hydroélectriques.
Le problème, avec ce projet qui cible la vallée du fleuve Lurio dans le nord-est du pays, est qu’il ne se fera pas sans dommages collatéraux. En effet, estiment des universitaires et des activistes des droits de l’Homme, 500 000 personnes seront affectées par ce plan et 100 000 d’entre elles devront être déplacées. Selon Clemente Ntauazi, une chercheuse, «cette zone regroupe certaines des meilleures terres arables du pays et les fermiers vivent là depuis plus de 30 ans.».
De son côté, Tim Wise qui dirige l’insitut pour le développement mondial de l’université de Tufts dénonce le secret qui entoure ce projet à propos duquel les informations n’ont été rendues disponibles que grâce à des fuites. «Selon les lois du Mozambique, le gouvernement est obligé de consulter les communautés locales, même si elle ne possèdent pas la propriété formelle des terres qu’elles exploitent.» a confié Clemente Ntauazi à la fondation Thompson Reuters. Pour Tim Wise, le pays devrait plutôt prendre le pari d’investir sur les producteurs locaux en améliorant leur accès aux semences de qualité et aux machines agricoles.
Aaron Akinocho

vvvv

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