jeudi 23 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Bonne nouvelle, mes chers cinq lecteurs, mais constat dérangeant, comme le gaz de schiste, le pétrole bitumineux fait le dos rond en attendant la remontée des cours.

(source : La Press.ca)

Publié le 22 avril 2015 à 20h47 | Mis à jour le 22 avril 2015 à 20h47

Fort McMurray: réveil brutal au coeur de l'eldorado pétrolier

Depuis la chute des cours du pétrole, les... (Photo Alain Roberge, archives La Presse)
Depuis la chute des cours du pétrole, les licenciements se sont abattus en cascades sur les commerces et les petites entreprises de Fort McMurray.
PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
CLÉMENT SABOURIN
Agence France-Presse
FORT MCMURRAY
Au coeur de la forêt boréale, ses salaires mirobolants en faisaient un eldorado fantasmé au-delà des frontières du Canada. Mais avec la dégringolade des cours du pétrole et son corollaire de destins brisés, Fort McMurray se demande si l'âge d'or est révolu.
En sept mois à peine, le baril de pétrole a chuté de 60 dollars canadiens. Subitement, les sables bitumineux qui reposent sous les conifères de cette région du nord de l'Alberta sont devenus moins rentables à exploiter pour les géants de l'industrie, qui ont donc réduit la voilure. Au moins 20 000 emplois ont ainsi été supprimés depuis l'automne dans l'exploitation du pétrole de cette province de l'Ouest canadien.
Symbole du changement d'époque, le camping de Fort McMurray n'affiche plus complet depuis cet hiver. Pour 1500 dollars par mois, les terrains situés le long de l'autoroute qui relie cette ville champignon à Edmonton servaient d'ultimes refuges aux plus pauvres, incapables de s'offrir la location d'un appartement en ville.
Mais ces dernières semaines «ils sont beaucoup, beaucoup à être repartis chez eux» faute de travail, constate Chuck, le propriétaire de ce camping aux allures de bidonville, où des bicoques en bois côtoient des caravanes géantes.
Ici, les employés des complexes pétroliers cohabitent avec des immigrés somaliens - nombreux au Canada - qui survivent en ramassant à longueur de journée des canettes et des bouteilles consignées.
Tous ne voient pas d'un mauvais oeil le marasme ambiant, qui aura au moins eu l'avantage de stopper la spéculation immobilière: «Je vais peut-être enfin pouvoir m'acheter un appartement en ville», confie Bob, un plombier spécialisé, dans sa salopette indigo.
«À toute chose malheur est bon», dit-il avant de s'éloigner dans son vieux pickup bleu vers les raffineries dont les longs panaches de fumées s'élèvent au nord de la ville.
Depuis la chute des cours du pétrole, les licenciements se sont abattus en cascades sur les commerces et les petites entreprises de Fort McMurray.
L'hécatombe se mesure particulièrement à la banque alimentaire locale où le nombre d'usagers a augmenté de 74% depuis janvier, indique sa directrice Arianna Johnson.
«On voit les conséquences des licenciements: familles abandonnées, foyers qui éclatent... les gens n'ont plus les moyens de s'alimenter», explique-t-elle dans le vaste entrepôt rempli de boîtes de conserve.
À un jet de pierre, le long de la rue principale poussiéreuse, le constat est identique au Center of Hope (Centre de l'Espoir, NDLR), un accueil de jour pour sans-abri. «On voit beaucoup de nouveaux visages, des jeunes hommes surtout», note le responsable des lieux, Stephen Bryants. Il y a ceux qui sont arrivés récemment après avoir entendu qu'ici «les rues sont pavées d'or» et ceux «qui n'étaient pas capables de garder leur emploi».
Diversification nécessaire
De même que la ruée vers l'or avait permis le peuplement du Yukon à la fin du XIXe siècle, le mythe de l'argent facile dans le pétrole a fait la légende de Fort McMurray. Au cours de la dernière décennie, sa population a plus que doublé, pour atteindre 80 000 habitants. Des régions sinistrées du littoral atlantique aux quartiers somaliens de Toronto, cet eldorado a fait le rêve d'une génération de Canadiens.
«Gagner 150 000 à 200 000 dollars canadiens par an (brut), c'est courant ici», confie Chris Fitch, un électricien employé dans les raffineries. C'est trois à quatre fois le salaire moyen au Canada.
Face au manque de main-d'oeuvre et aux coûts élevés de la vie dans cette zone reculée, même les chaînes de restauration rapide offrent des salaires deux fois plus cher qu'ailleurs dans le pays.
Attablé au comptoir d'un bar branché de Fort McMurray, Arthur Christensen, vieux routard du Grand Nord, juge que l'impact brutal de la chute des prix du brut sur cette ville n'a rien de surprenant.
«Le problème, c'est que les gens qui travaillent dans les matières premières refusent de voir que ce genre de choses vont arriver, alors ils dépensent tout ce qu'ils gagnent en moto-neiges, quads, gros pickups... jusqu'à ce que la crise arrive», dit ce surveillant de chantier originaire de Colombie-Britannique.
Refusant de céder au pessimisme et convaincue que les prix de l'or noir finiront par repartir à la hausse, la maire Melissa Blake juge le temps venu de diversifier l'économie de sa ville. Comme dans l'événementiel sportif: Fort McMurray dispose du plus grand complexe sportif couvert du pays, flambant neuf et entièrement financé par les groupes pétroliers dont les logos rappellent les largesses.
Cette diversification est saluée par le Français Jean-Marc Guillamot: cet homme d'affaires influent natif de Casablanca (Maroc) dirige sept hôtels et espère ainsi pallier la brusque chute des réservations enregistrée ces derniers mois. Car il prévoit déjà pour cette année «25% de revenus en moins par rapport à 2014» et selon lui, la crise risque de durer.
La maire Melissa Blake reconnaît qu'«il est nécessaire que certaines personnes s'interrogent sur leur avenir ici».
Et pour l'électricien Chris Fitch, nul doute qu'«un jour on parlera du boom du début du siècle». «L'âge d'or est derrière nous», dit-il."







































































































































































Et, la cabane au Canada, mes chers lecteurs y avaient rêvé ?
Ben, maintenant, vous pouvez avoir la cabane avec l'électricité, sympa, non ?

(source : Tout vert)



Autosuffisance énergétique : une hydrolienne domestique


La start-up québécoise, Idénergie vient de commercialiser une hydroliennedomestique qui permet d’alimenter une maison en continu !

Cette entreprise spécialisée dans lestechnologies propres et renouvelables a réussi le défi de créer une hydrolienne domestique facilement utilisable et efficiente. Ses inventeurs sont partis du constat que l’homme s’est toujours servi de l’eau comme source d’énergie (avec les moulins par exemple) et que bon nombre de personnes qui vivent isolées n’ont as accès à l’électricité.
L’ hydrolienne domestique d’Idénergie se place dans n’importe quelle rivière, au débit suffisant selon la taille de l’appareil. Elle est ensuite reliée par un long câble au lieu qu’elle doit alimenter. Elle peut donc par exemple fournir de l’électricité 24h/24 à un chalet canadien isolé dans la forêt.
L’avantage de l’hydrolienne est l’absence d’intermittence et donc la régularité en comparaison d’autres sources d’énergie, comme l’éolien. Idénergie assure aussi qu’elle est inoffensive pour la faune et flore de la rivière.
Cette hydrolienne domestique s’adresse à toute personne trop éloignée du réseau électrique pour y être raccordée et suffisamment proche d’une rivière. Mais ses concepteurs imaginent aussi qu’elle pourrait être très utile dans des pays défavorisés où l’accès à l’électricité est une problématiquede chaque jour.
Le seul bémol est son prix : il faut compter environ 10 000 euros pour le modèle le moins cher. C’est pour cela qu’Idénergie a créé un programme de soutien d’accès à l’électricité pour les populations les plus pauvres visant à recueillir les fonds nécessaires à l’implantation d’hydroliennes.
EN SAVOIR PLUS : http://idenergie.ca
Et, dans la rubrique, "Attention santé !"

(source : Sain et Naturel)


Le Nutella renferme le phtalate le plus nocif le DEHP


Le Nutella renferme le phtalate le plus nocif : le DEHP . La France est championne du monde de consommation de Nutella  avec les trois quarts des familles qui en consomment !

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 Le Nutella renferme le phtalate le plus dangereux le DEHP
 [1] Non satisfait d’être un aliment très gras et très sucré (voir article ici), le Nutella contient également le phtalate le plus dangereux qui soit : le DEHP. Ferrero reconnait que ce phtalate est présent dans le Nutella mais affirme que la quantité est trop faible pour pouvoir avoir un impact sur la santé.

Qu’est-ce que le phtalate DEHP ?

Le phtalate DEHP est une substance chimique qui permet d’augmenter la flexibilité des matières plastiques. On retrouve les phtalates dans les emballages plastiques souples comme les barquettes alimentaires, sachets, films plastiques etc. Ils migrent de l’emballage dans le produit, affirme une toxicologue de l’Office fédéral de l’environnement en Allemagne. C’est ainsi que nous en retrouvons sur nos tartines lorsque nous mangeons du Nutella.
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Nutella renferme le phtalate : Quels sont les effets des phtalates comme le DEHP ?

Les phtalates sont des perturbateurs hormonaux qui provoquent des dérèglements induisant notamment la stérilité chez l’homme. Il est estimé que, dans les pays industrialisés, un homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que n’en produisait son grand père au même âge. Les phtalates sont également soupçonnés d’être cancérigènes.
En 2008, après avoir fait une étude sur le développement de testicules in vitro, l’INSERM a affirmé que les phtalates étaient « délétères pour la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l’espèce humaine ». Cette substance agit même avant la naissance sur le développement du fœtus de la femme enceinte.
L’Office fédéral de l’environnement allemand a fait une étude sur 600 enfants et constate que 100% d’entre eux présentent des traces de phtalates dont 5 importants. L’étude rajoute que chez 20% d’entre eux les phtalates sont en quantités toxiques. Elle estime que si l’on prends en compte « l’effet cocktail » de ces différentes substances, 80% des enfants en absorberaient en trop grande quantité.
La Comission européenne a déjà interdit l’usage du DEHP dans la composition des jouets pour enfants depuis 1999 et prévoit son interdiction totale en 2012.
Il existe plusieurs autres pâtes à tartiner au chocolat, sans huile de palme, déjà disponibles dans le commerce. Et bio, en prime.
Sources:[1] Nutella, 40 ans de plaisir de Gigi Padovani
Reportage L’emballage qui tue (Arte)
Source Le Nutella renferme le phtalate le plus nocif le DEHP Dangers alimentaires
Frédérique Dumont

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