mercredi 29 avril 2015

(blog à finir et à corriger)

Bon, mes chers lecteurs, un aperçu de la déclarée candidate à la présidentielle aux Etats-Unis. Elle se veut la chantre de la défense de la classe moyenne aux States, mais, son mari a accentué la domination des banques sur l'économie et l'état et de fait, cette famille se positionne en faveur de ceux qui lui donne (corrompe) des sommes d'argent conséquente.
Le mode électoral aux States est l'un des plus corrompus au monde, ce qui fait que la politique intérieur, sécuritaire, économique, sociale, étrangère n'est  plus que l'expression de la domination sur l'état des banques, de la FED, des multinationales, des milliardaires.
De fait, les Etats-Unis sont devenus un état soumis à ses oligarques, tout comme l'Ukraine ou la Russie.
"Passez à la caisse et vos intérêts seront les miens !" est l'injonction première de tout candidat à une élection américaine. Plus, son trésor de guerre pour sa campagne électoral explose, plus, il est sûr d'arriver dans les deux premiers.
Après, il va servir la soupe aux électeurs, tout en sachant que le soutien de la finance et des multinationales et des milliardaires depuis peu est lié aux propositions de textes de lois ou réglementations qu'ils lui ont d'hors et déjà soumis.
Quitte à lui de les introduire dans des textes de lois farcis de cavaliers parlementaires pour dissimuler au peuple l'objectif réel de la loi our réglementations.
Ainsi, à cause d'un mode électoral corrompu, le peuple américain sera l'éternel dindon de la farce, du fait que le candidat est le représentant de forces qui l'opprime et que lui l'imbécile vote pour lui.
Il serait temps que la société américaine présente des candidats qui le représente et qui fasse surfer leur campagne uniquement sur le net et avec des bénévoles qui travaillent les électeurs maison par maison à la hauteur de leur importance.
Casser le mode électoral américain permettra au peuple de recouvrer sa "liberté" et de faire en sorte que des lois scélérates soient abrogées, en premier lieu, celle qui autorise la FES à imprimer la monnaie et à la vendre à l'état avec un taux d'intérêt.

(source : Observatoire des multinationales)


DROITS SYNDICAUX

L’accord de commerce Colombie-États-Unis et les droits des travailleurs 

du secteur pétrolier


Il n’est pas toujours facile d’être syndicaliste en Colombie, particulièrement dans le secteur pétrolier. Alors que la question des libertés syndicales menaçait l’accord de libre échange entre États-Unis et Colombie en 2011, le patron de la firme pétrolière Pacific Rubiales a injecté plusieurs millions de dollars dans la Fondation Clinton, provoquant un brusque changement de position de la Secrétaire d’État d’alors et candidate démocrate aux présidentielles de 2016, Hillary Clinton. Pacific Rubiales est une entreprise extrêmement controversée aussi bien pour ses atteintes aux droits des travailleurs que pour ses pratiques vis-à-vis de l’environnement et des populations indigènes.
Trois journalistes révèlent les détails de l’affaire dans les colonnes de l’’International Business Times :
Pour les militants syndicaux de Colombie, les risques s’accentuaient. Selon les organisations de défense des droits de l’homme, lorsque les ouvriers de la plus grande entreprise pétrolière indépendante du pays se mirent en grève en 2011, l’armée colombienne les encercla fusil au poing et les menaça de recourir à la violence s’ils ne se dispersaient pas. Ce genre de tactique d’intimidation, racontent les leaders syndicaux, étaient quotidienne.
Vu des États-Unis, il s’agissait précisément du genre d’histoires qui devaient ne pas avoir lieu en Colombie grâce à la clause sociale accompagnant le récent accord de libre-échange libéralisant la circulation des marchandises entre les deux pays. De Washington à Bogota, les dirigeants avaient vanté cet accord comme un gain pour tous - un accord censé stimuler le commerce tout en renforçant les droits des militants syndicaux colombiens. Une promesse que de nombreux démocrates, y compris Hillary Clinton, avaient cependant considéré avec scepticisme.
Pourtant, lorsque des syndicalistes et des militants des droits de l’homme signalèrent ces événements au Secrétaire d’État d’alors, Hillary Clinton, lui demandant de faire pression sur le gouvernement colombien pour protéger les leaders syndicaux, elle se contenta d’un silence assourdissant. Le Département d’État loua publiquement les progrès de la Colombie en matière de droits humains, permettant le déblocage de millions de dollars d’aide américaine pour l’armée colombienne - celle-là même qui avait cherché à intimider les ouvriers.
Au moment même où le Département d’État dirigé par Clinton vantait le bilan de la Colombie en matière de droits humains, sa famille nouait une relation financière avec Pacific Rubiales, la tentaculaire compagnie pétrolière canadienne au centre de ce conflit social en Colombie. Les Clintons développaient aussi des liens commerciaux avec le fondateur du géant pétrolier, l’homme d’affaires canadien Frank Giustra, lequel a désormais un siège au conseil d’administration de la Fondation Clinton, l’empire philanthropique global de la famille.
Le détail de ces transactions financières reste flou, mais voici ce que l’on sait : après que la firme pétrolière a promis des millions de dollars à la Fondation Clinton - complétés par quelques millions de plus de la part de Giustra lui-même - Hillary Clinton changea abruptement de position, en tant que Secrétaire d’État, sur l’accord de commerce entre Colombie et États-Unis. Après s’être opposée à cet accord, le qualifiant de néfaste pour les droits syndicaux, lorsqu’elle était candidate à la nomination démocrate en 2008, elle en fit désormais la promotion, déclarant qu’un tel accord était « fortement dans les intérêts à la fois des États-Unis et de la Colombie ». Ce changement... favorisa le passage au Congrès d’un accord de libre-échange dont les experts considèrent qu’il a surtout favorisé les investisseurs étrangers comme Giustra.
Lire l’intégralité de l’article (en anglais).
Pacific Rubiales est un partenaire des « juniors » françaises Perenco et Maurel & Prom sur des concessions très controversées au Pérou (lirenotre enquête).
Sur les violations des droits des travailleurs sur les sites de Pacific Rubiales en Colombie, lire Les damnés du pétrole.

Et, si, Shakespeare était toujours parmi nous, il écrirait sur qui ?

(source : Tribune de Genève)

Kim Jong-un a fait exécuter 15 responsables

Corée du NordIls ont été exécutés car ils s'étaient plaints des directives 

du jeune dirigeant nord-coréen.

D'après le NIS, Kim Jong-un ne fait qu'imiter son père et son grand-père.
D'après le NIS, Kim Jong-un ne fait qu'imiter son père et son grand-père.Image: Keystone 
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a ordonné l'exécution de 15 dignitaires du régime cette année, dont certains pour s'être plaints des politiques mises en œuvre par le numéro un, ont annoncé mercredi 29 avril les services de renseignements sud-coréens.
Parmi eux figuraient deux personnalités qui avaient le rang de vice-ministres, a rapporté l'agence sud-coréenne Yonhap, qui cite des députés ayant assisté à une réunion d'information des services de renseignements nationaux (NIS).
Ils ont été exécutés car ils s'étaient plaints des directives du jeune dirigeant nord-coréen, ont expliqué les députés. La dynastie communiste au pouvoir règne d'une main de fer sur ce pays hermétique et secret depuis plus de six décennies et le culte de la personnalité y est abondamment pratiqué.
Discipline et fidélité
D'après le NIS, Kim Jong-un ne fait qu'imiter son père et son grand-père et mène régulièrement des purges et des exécutions pour s'assurer discipline et fidélité.
A la fin de 2013, il avait fait exécuter son oncle et ancien mentor, Jang Song-thaek, accusé entre autres de corruption et de trahison. Jang avait aidé le dirigeant nord-coréen, qui était alors inexpérimenté, à consolider son pouvoir lorsqu'il avait succédé à son père Kim Jong-il en décembre 2011.
D'après les analystes, Kim Jong-un pourrait avoir pris ombrage au bout d'un moment de son influence.
(afp/Newsnet)
(Créé: 29.04.2015, 12h41)

vvv

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