jeudi 25 décembre 2014

(blog à finir et à corriger)

Les Etats-Unis ou plutôt la Fed et la finance de Wall Street mettent le point final à la colonisation de l'Ukraine. Ils font exactement ce qu'ils accusaient les russes de vouloir faire.
C'est ce qu'ils ont fait avec les pays européens en moins voyant et si, vous ne me croyez pas, dénombrez le nombre de personnalités issus de Goldman Sachs et consorts qui détiennent des postes cruciaux au sein de l'Europe.

George Soros candidat à la présidence de la Banque Nationale ukrainienne

Joyeux Noël!!! Il ne fait plus tomber les banques, il les prend comme hôtel! qu’en pensez vous??
En Ukraine, après le fils de Joe Biden et les ministres-clés aux mains d’étrangers, une autre place forte du pouvoir à Kiev pourrait être administré directement à la mode « coloniale ».
D’après l’agence de presse APA de Bakou (Azerbaidjian) qui cite la télévision ukrainienne « Canale 112 », le prochain chef de la Banque Nationale d’Ukraine pourrait bien être [le milliardaire américain] George Soros lui-même.
Les sources auxquelles se réfère Canale 112 ne sont pas citées, mais l’information proviendrait de collaborateurs directs du président Petro Poroshenko et de sources parlementaires de la Rada ukrainienne.
Soros ne serait cependant pas le seul candidat en lisse. Parmi les noms qui circulent figure aussi celui de l’ancien chef du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, qui avait terminé sa carrière à New York après avoir été accusé de violence sexuelle par une femme de chambre de l’hôtel. L’arrestation qui s’était ensuivie l’avait empêché de participer à la campagne présidentielle dont François Hollande est sorti vainqueur.
En tout – toujours selon les indiscrétions de Canale 112 citée par l’APA – pas moins de cinq candidatures auraient été examinées. Les trois noms toujours inconnus à cette heure seraient ceux de représentants du système de la Réserve fédérale américaine.
D’après KyivPost, l’homme d’affaires américain, George Soros, âgé de 84 ans, d’origine hongroise et émigré à New York en 1956, a financé à hauteur de 82 000 $ la naissance du nouveau pouvoir exécutif ukrainien à travers un processus de chasseur de têtes. C’est ainsi qu’ont été identifiés pour les postes de ministres et de fonctionnaires hautement qualifiés, 185 candidats potentiels parmi les étrangers présents à Kiev et les membres de la communauté ukrainienne qui travaillent au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Ce même Soros – d’après Fareed Zakaria de CNN -, après avoir financé des groupes et des activités de dissidents dans l’Est de l’Europe, en Pologne et en République tchèque pendant les révolutions de 1989 « a contribué à renverser le précédent gouvernement ukrainien en vue de créer les conditions d’une démocratie filo-Occidentale, et a joué un rôle important dans les événements d’aujourd’hui tout comme dans la révolution orange de 2004. »
Source : italian.ruvr.ru
lunedì 22 dicembre 2014 23:11
Traduction : ilFattoQuotidiano.fr

Et, pendant, ce temps Poutine se défend contre le système mis en place par les banquiers américain et londonien de la Fed qui ruine systématiquement les pays en leur imposant leur diktat.

Échec et Mat : le piège en or de Vladimir Poutine (Global Relay Network)

poutine échecs 1Par Dmitry Kalinichenko, le 15 novembre 2014
Très peu de gens comprennent ce que fait Poutineactuellement. Et presque personne ne comprend ce qu’il va faire dans les temps à venir.
Tout aussi étrange que cela puisse paraître, mais d’ores et déjà, Poutine ne vend du pétrole et du gaz naturel russes qu’en échange d’or physique.
Poutine ne le crie pas sur les toits. Et bien sûr, il accepte encore les dollars US comme moyen intermédiaire de paiement. Mais il échange illico tous ces dollars obtenus de la vente de pétrole et de gaz naturel pour de l’or physique!
Afin de le comprendre, il suffit de regarder la dynamique de croissance des réserves en or de la Russie et de comparer ces données aux revenus d’échanges monétaires de la Fédération de Russie provenant de la vente de pétrole et de gaz naturel sur la même période.
kalinichenko
En outre, au troisième trimestre les achats par la Russie d’or physique sont au plus haut niveau qu’ils aient jamais atteint. Au troisième trimestre de cette année, la Russie avait acheté une quantité phénoménale d’or, à hauteur de 55 tonnes. C’est plus que toutes les banques centrales de tous les pays du monde au même moment (selon les données officielles)!
Au total, les banques centrales de tous les pays du monde ont acheté 93 tonnes du métal précieux au troisième trimestre de 2014. Cela a été le quinzième trimestre consécutif d’achats nets d’or par des banques centrales. Des 93 tonnes d’achats d’or par des banques centrales autour du monde durant cette période, le montant le plus conséquent d’achats – 55 tonnes – appartient à la Russie.
Il n’y a pas si longtemps, des scientifiques britanniques sont parvenus avec succès à la même conclusion que celle qui fut publiée il y a quelques années dans la Conclusion de l’US Geological Survey. C’est-à-dire: l’Europe ne parviendra pas à survivre sans approvisionnement énergétique provenant de la Russie. Traduit de l’anglais dans n’importe quelle langue cela signifie: « le monde ne parviendra pas à survivre si le pétrole et le gaz naturel russes sont soustraits à la balance globale d’approvisionnement en énergie ».
Ainsi le monde occidental construit sur l’hégémonie du pétrodollar est dans une situation catastrophique, dans laquelle il ne peut survivre sans approvisionnement énergétique venant de Russie. Et la Russie n’est maintenant prête à vendre son pétrole et son gaz naturel à l’Occident qu’en échange d’or physique! Le piège dans le jeu de Poutine, c’est que le mécanisme de vente d’énergie russe à l’Occident uniquement en échange d’or fonctionne déjà, que l’Occident veuille ou non payer pour le pétrole et le gaz naturel russes avec son or artificiellement peu cher.
Puisque la Russie dispose d’un flux constant de dollars de la vente de pétrole et de gaz naturel, elle parviendra à convertir ces dollars pour acheter de l’or au prix actuel, tiré vers le bas de toutes les façons par l’Occident. Ceci équilibre le prix de l’or, qui avait été artificiellement et méticuleusement abaissé par la Fed et l’ESF (Fonds de Stabilisation des Échanges, Exchange Stabilisation Fund, ndlr) à plusieurs reprises… par le pouvoir d’achat artificiellement gonflé du dollar à travers la manipulation des marchés.
Fait intéressant: la manipulation à la baisse des cours de l’or par cette administration spéciale du gouvernement US – l’ESF – en vue de stabiliser la valeur du dollar est devenue une loi aux USA.
Dans le monde financier il est (généralement) considéré que l’or est anti-dollar… c’est-à-dire que le prix de l’or est inversement proportionnel à la valeur du dollar.
  • En 1971, le Président US Richard Nixon avait fermé la « fenêtre de l’or », mettant fin au libre échange de dollars pour de l’or, garanti par les USA en 1944 aux accords de Bretton Woods.
  • En 2014, le Président russe Vladimir Poutine a ré-ouvert la « fenêtre de l’or », sans en demander la permission à Washington.
En ce moment l’Occident dépense une bonne partie de ses forces et de ses ressources à tirer vers le bas les prix de l’or et du pétrole. Ainsi donc, d’une part pour distordre la réalité économique existante en faveur du dollar US… et d’autre part, pour détruire l’économie russe, qui refuse de jouer le rôle de vassal obéissant de l’Occident.
Aujourd’hui des biens tels que l’or et le pétrole semblent proportionnellement affaiblis et excessivement sous-évalués face au dollar US. C’est la conséquence d’un énorme effort économique de la part de l’Occident.
Et désormais Poutine vend les ressources énergétiques russes en échange de ces dollars US, artificiellement soutenus par les efforts de l’Occident. Avec ces dollars produits des ventes Poutine achète immédiatement de l’or, artificiellement dévalué contre le dollar US par les efforts de l’Occident lui-même!
Il y a un autre élément intéressant au jeu de Poutine. C’est l’uranium russe. Une ampoule sur six aux USA dépend de sa fourniture, que la Russie vend aussi aux USA… pour des dollars.
Donc, en échange du pétrole, du gaz naturel et de l’uranium russes, l’Occident paye la Russie avec des dollars US, dont le pouvoir d’achat est artificiellement gonflé vis-à-vis de l’or et du pétrole par les efforts (manipulations) de l’Occident. Cependant, Poutine ne se sert de ces dollars que pour soustraire de l’or physique à l’Occident en échange d’un prix défini en dollars US, artificiellement abaissé par le même Occident.
Cette combinaison économique véritablement brillante de la part de Poutine met l’Occident, emmené par les États-Unis, dans la position d’un serpent dévorant agressivement et diligemment sa propre queue.
L’idée de ce piège économique en or pour l’Occident n’a probablement pas son origine chez Vladimir Poutine lui-même. C’est plus sûrement l’idée du conseiller en affaires économiques de Poutine – le Dr. Sergey Glazyev. Sinon pourquoi le bureaucrate Glazyev, sensiblement sans implication dans le monde des affaires a-t-il été, avec beaucoup d’hommes d’affaires russes personnellement inclus dans la liste des personnes sanctionnées par Washington? L’idée d’un économiste, le Dr. Glazyev, a été brillamment exécutée par Poutine… mais avec tout l’aval de son collègue chinois, Xi Jinping.

Dans ce contexte, la déclaration en novembre du premier Président Adjoint de la Banque Centrale de Russie (BCR) Ksenichina-russiaa Yudaeva semble particulièrement intéressante. Elle a souligné que le cas échéant, la BCR pouvait se servir de l’or dans ses réserves pour payer ses importations. Il est évident qu’au regard des sanctions du monde occidental, cette déclaration est adressée aux pays des BRICS, en premier desquels la Chine. Pour la Chine, la disposition de la Russie à payer des biens avec de l’or occidental est très commode. Et voici pourquoi:
La Chine a récemment annoncé qu’elle allait cesser d’augmenter ses réserves d’or et de monnaie sous la dénomination de dollars US. Prenant en considération le déficit commercial croissant entre les USA et la Chine (la différence actuelle est d’un facteur de cinq fois en faveur de la Chine), alors cette déclaration traduite depuis le jargon financier signifie: « la Chine arrête de vendre ses marchandises pour des dollars ». Les médias mondiaux ont choisi de ne pas prêter attention à ce plus marquant des événements monétaires historiques récents. Le sujet n’est pas que la Chine refuse littéralement de vendre ses marchandises pour des dollars US. La Chine, bien entendu, continuera à accepter des dollars US comme moyen intermédiaire de paiement pour ses marchandises. Mais, ayant pris les dollars, la Chine s’en débarrassera immédiatement et les remplacera par autre chose, dans la structure de ses réserves en or et en monnaie. Sinon la déclaration faite par les autorités monétaires chinoises perd son sens: « nous arrêtons l’augmentation de nos réserves d’or et de monnaie, sous la dénomination de dollars ». Cela veut dire que la Chine n’achètera plus de bons du Trésor US avec des dollars acquis via le commerce avec n’importe quel pays, comme elle le faisait auparavant.
Ainsi, la Chine remplacera tous les dollars qu’elle recevra dorénavant pour ses marchandises non seulement des USA mais du monde entier par quelque chose d’autre, pour ne pas augmenter ses réserves d’or et de monnaie définies en dollars. Et voici une question intéressante: avec quoi la Chine va-t-elle remplacer tous les dollars issus de son commerce? Avec quelle monnaie ou quel bien? L’analyse de la politique monétaire chinoise actuelle démontre certainement que les dollars venant du commerce, ou une portion substantielle d’entre eux, la Chine va les remplacer discrètement et de facto le fait déjà, par de l’or.
De ce point de vue, la partie de solitaire des relations russo-chinoises est extrêmement profitable à la fois pour Moscou et pour Beijing. La Russie achète des marchandises à la Chine directement pour de l’or à son prix actuel. Tandis que la Chine achète des ressources énergétiques russes pour de l’or à son prix actuel. Dans ce festival de la vie russo-chinoise, il y a de la place pour tout: des marchandises chinoises, des ressources énergétiques russes, de l’or – comme moyen de paiement mutuel. Seul le dollar US n’a aucune place dans ce festival de la vie. Et ce n’est pas surprenant. Parce que le dollar US n’est pas un produit chinois, ou une ressource énergétique russe. Ce n’est qu’un moyen intermédiaire de règlement – et un intermédiaire superflu. Et il est de coutume d’exclure les intermédiaires superflus des interactions entre deux partenaires commerciaux indépendants.
Il importe de noter par ailleurs que le marché global pour l’or physique est extrêmement petit en comparaison du marché mondial des ressources pétrolières physiques. Et surtout le marché global pour l’or physique est microscopique en comparaison de la totalité des marchés mondiaux de livraison de pétrole, de gaz naturel, d’uranium et de marchandises.
L’accent est mis sur les mots « or physique » parce qu’en échange de ses ressources énergétiques physiques, pas « sur le papier », la Russie soustrait aujourd’hui de l’or à l’Occident mais seulement sous son aspect physique, pas « sur le papier ». La Chine accomplit la même chose en recevant de l’Occident de l’or physique artificiellement dévalué comme paiement pour la livraison de marchandises réelles à l’Occident.
Les espérances entretenues par l’Occident que la Russie et la Chine veuillent bien accepter comme paiement pour leurs ressources énergétiques et marchandises  de la… « monnaie de singe » ou « or sur le papier » sous quelque forme que ce soit, n’ont pas prospéré. La Russie et la Chine ne sont intéressées que par de l’or tangible, et seulement le métal physique, comme moyen final de paiement.
Pour référence: le turnover du marché d’or sur le papier, ou uniquement d’options sur l’or, est estimé à $360 milliards par mois. Mais la livraison physique d’or ne représente que $280 millions par mois. Ceci donne un ratio d’échange d’or sur le papier face à l’or physique de 1000 pour 1.
En utilisant le mécanisme de retrait actif du marché d’un bien financier (l’or) artificiellement dévalué par l’Occident en échange d’un autre bien financier (USD) artificiellement surévalué par l’Occident, Poutine a ainsi démarré le compte à rebours qui mène à la fin de l’hégémonie planétaire du pétrodollar. De cette manière, Poutine a placé l’Occident dans un étau, en l’absence de perspectives économiques saines.
L’Occident ne peut dépenser que tant d’efforts et de ressources à augmenter artificiellement le pouvoir d’achat du dollar, abaisser les prix du pétrole et artificiellement dévaluer le pouvoir d’achat de l’or. Le problème de l’Occident est que les stocks d’or physique en sa possession ne sont pas inépuisables. Par conséquent, le plus l’Occident dévalue le pétrole et l’or contre le dollar US, le plus rapidement il perd de l’or dévalué de ses réserves qui ne sont pas infinies.
Dans cette combinaison économique brillamment jouée par Poutine, l’or physique des réserves de l’Occident afflue rapidement vers la Russie, la Chine, le Brésil, le Kazakhstan et l’Inde (c’est-à-dire les pays des BRICS). Au rythme actuel de réduction des réserves d’or physique, l’Occident n’a tout simplement pas le temps de faire quoi que ce soit contre la Russie de Poutine jusqu’à l’effondrement de tout le monde occidental du pétrodollar. Aux échecs la situation dans laquelle Poutine a placé l’Occident, emmené par les USA, est celle du « problème de temps ».
Le monde occidental n’a jamais affronté des événements et phénomènes économiques comme ceux qui se produisent en ce moment. L’ancienne URSS a rapidement vendu de l’or pendant la chute des prix de l’or. Aujourd’hui, la Russie achète rapidement de l’or pendant la chute des prix du pétrole. Ainsi, la Russie pose une réelle menace au modèle états-unien de domination du monde par le pétrodollar.
Le principe essentiel du modèle du monde selon le pétrodollar est de permettre aux pays occidentaux, emmenés par les États-Unis, de vivre aux dépens du labeur et des ressources d’autres pays… sur la base du rôle de la monnaie US, dominante dans le Système Monétaire International (SMI). Le rôle du dollar US dans le SMI est qu’il est le mode ultime de paiement. Ceci signifie que la monnaie nationale des USA dans la structure du SMI est l’ultime accumulateur de biens, en face duquel l’échange de n’importe quel autre bien n’a pas de sens.
Emmenés par la Russie et la Chine, ce que font actuellement les BRICS est en réalité de changer le rôle du dollar US dans le SMI. De l’ultime mode de paiement et d’accumulation de biens, la monnaie nationale des USA, par le biais des actions conjointes de Moscou et de Beijing, ne devient rien de plus qu’un moyen intermédiaire de paiement, dont l’usage n’est entendu que pour l’échange de ce moyen de paiement intermédiaire pour un autre et le bien financier ultime – l’or. Ainsi, le dollar US perd en réalité son rôle comme mode ultime de paiement et d’accumulation de biens, cédant ces deux rôles à un autre bien monétaire reconnu, dénationalisé et dépolitisé – L’OR!
Traditionnellement, l’Occident a utilisé deux méthodes pour éliminer la menace à l’hégémonie du modèle du pétrodollar dans le monde, et aux privilèges excessifs pour l’Occident qui en ont découlé:
L’une de ces méthodes est celle des révolutions colorées. La seconde méthode qui est habituellement employée par l’Occident si la première échoue, c’est l’agression militaire et les bombardements.
Mais dans le cas de la Russie ces deux méthodes sont soit impossibles soit inacceptables pour l’Occident.
Parce que tout d’abord la population russe, contrairement aux populations de beaucoup d’autres pays, ne désire pas échanger sa liberté et l’avenir de ses enfants pour de la kielbasa occidentale (saucisse à la viande). Ceci est évident vu les taux d’approbation records de Poutine, régulièrement publiés par les plus éminentes agences de sondages occidentales. L’amitié personnelle du protégé de Washington Navalny (opposant politique de Vladimir Poutine, ndlr) avec le SénateurJohn McCain a joué pour lui un rôle particulièrement néfaste. Ayant appris ce fait des médias, 98% de la population russe ne perçoit désormais Navalny que comme un vassal de Washington et un traître aux intérêts nationaux russes. Donc les professionnels occidentaux, qui n’ont pas encore perdu l’esprit, ne peuvent rêver d’une quelconque révolution colorée en Russie.
Pour ce qui est de la seconde méthode traditionnelle d’agression militaire directe, la Russie n’est sûrement pas la Yougoslavie, l’Irak ou la Libye. Dans toute opération militaire non-nucléaire contre la Russie, sur le territoire de la Russie, l’Occident emmené par les USA est condamné à la défaite. Et les généraux du Pentagone, qui exercent le vrai commandement des forces de l’OTAN, en sont conscients. Tout aussi désespérée est une guerre nucléaire contre la Russie, y compris le concept d’une prétendue « frappe nucléaire préventive ». L’OTAN n’est tout simplement pas techniquement capable de livrer un coup qui désarme le potentiel nucléaire de la Russie dans toutes ses manifestations. Une frappe de représailles nucléaires massives contre l’ennemi ou un éventail d’ennemis serait inévitable. Et sa puissance totale suffira pour que les survivants envient les morts. C’est-à-dire, un échange de frappes nucléaires avec un pays comme la Russie n’est pas une solution pour le problème imminent de l’effondrement du monde du pétrodollar. C’est, dans le meilleur des cas, une dernière note et le dernier point de l’histoire de son existence. Dans le pire des cas – un hiver nucléaire et la ruine de toute vie sur la planète, à l’exception des bactéries qui auront muté à case des radiations.
L’establishment économique occidental peut voir et comprendre l’essence de la situation. Des économistes occidentaux éminents sont certainement conscients de la gravité du problème et du désespoir de l’impasse dans laquelle se trouve le monde occidental, dans le piège doré de Poutine. Après tout, depuis les accords de Bretton Woods, nous connaissons tous la règle d’or en vigueur: « celui qui a plus d’or impose les règles ». Mais tout le monde en Occident reste silencieux là-dessus. Silencieux parce qu’aucun ne sait comment sortir de cette situation.
Si vous expliquez au public occidental tous les détails du désastre économique à venir, le public posera aux promoteurs du monde du pétrodollar les plus horribles questions, qui ressembleront à ceci:
- Combien de temps l’Occident pourra-t-il acheter du pétrole et du gaz naturel à la Russie en échange d’or physique?
- Et qu’arrivera-t-il au pétrodollar US, après que l’Occident aura épuisé tout son or physique pour payer du pétrole, du gaz naturel et de l’uranium russes, ainsi que pour payer pour des marchandises chinoises?
Aujourd’hui, personne en Occident ne peut répondre à ces questions, qui semblent simples.
Et cela, Mesdames et Messieurs, cela s’appelle « Échec et Mat ». La partie est finie.
Auteur : Dmitry Kalinichenko
Traduction : Will Summer
Source : Global Relay Network

Et, la Russie se défend avec un allié de poids, la première puissance économique mondiale, la Chine !

(source : Histoireetsociété)


La Chine s’engage à aider la Russie à surmonter les difficultés économiques

Publié le temps : 22 décembre 2014 09:51 
 Au vu des incidences de l’attaque menée contre le rouble et l’économie russe, la Chine a plusieurs options, elle prend ses distances mais ce serait à courte vue étant donné que la première économie du monde sait bien qu’elle est visée… La Chine va être prudente et les mesures concernant l’encadrement des métaux précieux et de l’Or pris par les Etats-Unis sont destinées à l’inciter à ne pas tabler sur les réserves d’or russes et donc à vendre du rouble ou ne pas en acheter. (Danielle Bleitrach)
Russia's President Vladimir Putin (L) and his Chinese counterpart Xi Jinping. (AFP Photo/How Hwee Young)
Le Président Vladimir Poutine (L de la Russie) et son homologue chinois Xi Jinping. (AFP Photo/comment Hwee Young)
Le Ministre des affaires étrangères de la Chine a promis le soutien à la Russie car celle-ci est  confrontée à un ralentissement économique en raison des sanctions et une baisse des prix du pétrole. Stimuler les échanges d’yuan est une solution proposée par le ministre du commerce de Pékin.
« La Russie a la capacité et la sagesse pour surmonter les difficultés actuelles dans la situation économique, » a déclaré aux journalistes le  ministre des affaires étrangères Wang Yi , propos que China Daily a rapporté lundi. «Si la partie russe a besoin de nous, nous fournirons l’assistance nécessaire au prorata de notre capacité.« 
La demande d’aide intervient alors que les russes sont encore sous le choc du pire accident subi par le  rouble depuis des années, mardi dernier, quand il perdu plus de 20 pour cent contre le dollar US et l’euro. La monnaie russe a rebondi le lendemain, mais il a tout de même perdu  près de la moitié de sa valeur  depuis mars. 
Dans sa conférence de presse annuelle fin de l’année jeudi, Vladimir Putin a reconnu  que le rouble a dégringolé ainsi que le prix du pétrole et  a estimée que les   sanctions occidentales entraient  pour 25 à 30 % de la crise économique russe. Toutefois, les prévisions économiques du Président sont que la crise ne sera pas un durable.
Ministre chinois du Commerce Gao Hucheng proposé samedi d’étendre l’utilisation du yuan dans le commerce avec la Russie.
Reuters/Carlos Barria
Reuters/Carlos Barria
Il dit que l’utilisation de la monnaie chinoise a augmenté depuis plusieurs années, mais les sanctions occidentales sur la Russie ont accéléré  la tendance  Reuters citant Phoenix TV de Hong Kong .
GAO a déclaré  que le commerce cette année entre la Chine et la Russie pourrait atteindre $ 100 milliards, environ 10 % de croissance par rapport à l’année précédente. 
 On  ne s’attend pas à ce que la coopération sur l’énergie et la fabrication des projets avec la Russie puissse être grandement affectés par la crise actuelle, a déclaré le ministre.
« Beaucoup de chinois ont toujours vu la Russie  comme le grand frère,  et les deux pays sont stratégiquement importants d’une manière réciproque, » Jin Canrong, doyen associé de la School of International Studies à l’Université Renmin de Pékin, a déclaré à Bloomberg. «Pour le bien des intérêts nationaux, la Chine devrait approfondir la coopération avec la Russie lorsqu’une telle coopération est nécessaire.»
Gazprom’s Power of Siberia pipeline – to deliver 4 trillion cubic meters of gas to China over 30 years – construction commencing September 2014. (RIA Novosti/Aleksey Nikolskyi)
Pipeline de puissance de Sibérie de Gazprom – d’offrir 4 billions de mètres cubes de gaz en Chine plus de 30 ans – construction commençant septembre 2014. (RIA Novosti/Aleksey Druginyn)
La Chine cherche de plus en plus à avancer sa propre monnaie pour contester la domination du dollar sur le marché international.
Et Pékin n’est pas seul pour tenter de contrer l’influence des institutions prêteuses basé dans l’Ouest et de la monnaie américaine.
BRIC, le groupe d’économies émergentes qui comprend le Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud, représentent un cinquième de la production économique mondiale, a poursuivi le même objectif. Les cinq nations ont convenu en juillet d’augmenter les échanges mutuels de monnaies locales et également de créer une banque de développement du BRIC avec investissement équivalent à $ 100 milliards comme alternative à la Banque mondiale sous contrôle occidental."

Et, les effets collatéraux de la crise russe.

(source : Blog finance)


Israël victime des difficultés économiques de la Russie, effet boomerang inattendu d’une alliance avec les USA ?


Conséquence inattendue, voire effet boomerang ? Alors que les Etats-Unis semblent se régaler à plomberl’économie russe en plombant tout à la fois ses ressources pétrolières – via la baisse du prix du baril – en faisant appliquer des sanctions économiques pour la réprimander face à sa politique menée en Ukraine, et  en oeuvrant pour faire chuter  le rouble (nous y reviendrons), son allié israélien pourrait pâtir de la situation.
En effet, alors que les Russes représentent 80% à 85% des touristes médicaux en Israël, la crise financière qui frappe actuellement la Russie pourrait impacter à son tour l’Etat hébreu, via ricochet.
La baisse de la fréquentation touristique ayant pour origine la population russe se traduit en effet par une diminution de 153 millions de dollars de chiffre d’affaires pour le tourisme israélien. Le tourisme médical est même fortement menacé, si l’on en croit la presse israélienne. Il faut dire que la Russie est le deuxième plus grand vivier de touristes étrangers en Israël après les Etats-Unis.
Le ministère israélien du Tourisme a récemment estimé que le nombre de touristes en provenance de Russie devrait diminuer de 20% en 2015. Le cas échéant, cette situation
entraînerait une baisse de dépenses de 600 millions de shekels (153 millions de dollars).
Principale raison de ce phénomène : la véritable dégringolade du rouble, la monnaie russe ayant perdu en 2014 plus de 45% par rapport au dollar américain.
Si jusqu’à présent, la possibilité pour les ressortissants russes de rentrer en Israël sans devoir s’acquitter d’un visa avait renforcé l’attractivité touristique de l’État, les difficultés auxquelles l’économie russe doit faire face cette année, conjugué à une guerre de 50 jours entre Israël et le Hamas dans la Bande de Gaza, ont causé une véritable inversion de la tendance.
Ainsi, pour les 11 premiers mois de l’année 2014, 528 000 touristes russes ont séjourné en Israël, c’est 6% de moins qu’à la même période en 2013.
“Il est clair que les répercussions seront importantes”, a d’ores et déjà prévenu Amir Halevy, Directeur Général du ministère du Tourisme.
Oleg Shulman, qui dirige l’Association Israélienne des Entreprises de Tourisme Médical, a signalé quant à lui une baisse de 60% à 70% du nombre de réservations effectuée par les touristes médicaux en provenance de Russie pour les mois de décembre et janvier.
Sources : presse israélienne, Ministère tourisme Israël
Elisabeth Studer – 24 décembre 2014 – www.leblogfinance.com

Et, quand l'Espagne donne l'exemple aux salariés des multinationales en provoquant une solidarité nationale.

(source : Bastamag)



ESPAGNE

Licenciements massifs : une campagne de boycott fait plier Coca Cola

PAR 

C’est l’histoire d’une campagne de boycott réussie contre la filiale espagnole du géant états-unien. En janvier 2014, Coca-Cola Iberian Partners annonce la fermeture de quatre de ses onze usines d’embouteillage à Madrid, Palma de Majorque, Alicante et Colloto (Asturies). Ces fermetures inattendues sont assorties d’un plan social qui prévoit le licenciement de 1 253 travailleurs sur 4 200 employés au total. Avec plus d’un quart de la population nationale au chômage, l’annonce suscite un véritable tollé populaire. D’autant plus que les bénéfices nets obtenus par Coca Cola Iberian Partners (60,57 millions d’euros en 2013 [1]), justifient difficilement les licenciements pour des raisons économiques [2].

« Si Madrid ne produit pas, Madrid ne consomme pas »

Coca Cola explique sa décision par une « surcapacité d’embouteillage » : la production de bouteilles et de canettes de soda ne serait plus suffisante pour justifier le fonctionnement de ces usines [3]. L’argument ne convainc pas les employés touchés par les fermetures. La voie judiciaire est d’abord explorée par leurs syndicats. Dans le même temps, à Fuenlabrada, dans la banlieue de Madrid, des travailleurs licenciés commencent à camper devant les portes closes de l’usine, multipliant les manifestations dans la rue et appelant au boycott de tous les produits Coca Cola. « Si Madrid ne produit pas, Madrid ne consomme pas », peut-on lire sur les pancartes des manifestants et jusque sur les tracts distribués à la sortie des supermarchés de la capitale pour sensibiliser les consommateurs à la situation précaire des travailleurs de Coca Cola.
Des personnalités s’associent par solidarité à cette campagne de boycott à l’instar du cinéaste Fernando Trueba. C’est aussi le cas de figures politiques comme Javier Couso (Izquierda Unida) et Pablo Iglesias (Podemos), co-auteurs du documentaire « Una mosca en una botella de Coca Cola » (Une mouche dans une bouteille de Coca Cola) qui critique le lobbying des grands groupes industriels sur les médias. Selon Juan Carlos Asenjo, du syndicat Comisiones Obreras et porte-parole du campement de Fuenlabrada, cette campagne a permis de faire baisser la consommation de Coca Cola de 17 % en moins d’un an rien que dans la région de Madrid.

Poursuite du bras de fer

Face à cette pression sociale, l’Audiencia nacional – la plus haute juridiction du pays – prononce le 13 juin la nullité des licenciements des travailleurs des quatre usines fermées par Coca Cola. Ce 21 novembre, un deuxième verdict vient de contraindre Coca Cola à payer les salaires de tous les employés licenciés, à compter du 13 juin et durant le délai requis par les juges pour examiner le pourvoi en cassation déposé par la multinationale. « Pour nous c’est une victoire historique, se réjouit Juan Carlos Asenjo. Celle d’avoir réussi à récupérer nos emplois en luttant aussi bien dans la rue que devant les tribunaux ».
La bataille n’est pas pour autant gagnée. Sur injonction de l’Audiencia nacional, Coca Cola doit décider d’ici le 28 novembre si elle réintègre les employés licenciés ou si elle se contente de leur payer les salaires jusqu’au résultat du pourvoi en cassation. Coca Cola a déjà déclaré que si elle doit rouvrir des postes de travail, elle ne le fera que dans les usines demeurées ouvertes. De leur côté, les travailleurs restent mobilisés.« Nous ne lèverons le campement de Fuenlabrada et la campagne de boycott des produits Coca Cola que lorsque l’usine sera rouverte et que nous récupèrerons nos postes de travail », a averti Juan Carlos Asenjo.
Nathalie Pedestarres
Photo : CC / FlickR


Notes

[1D’après les données comptables de l’entreprise auxquelles a eu accès l’agence de presse espagnole EFE.
[2Cobega, la compagnie catalane qui détient la licence pour mettre en bouteille et commercialiser la boisson Coca Cola sur le territoire espagnol, a fait une percée spectaculaire en Afrique ces trois dernières années (avec une croissance annuelle de 8 % en moyenne), à travers sa filiale Equatorial Coca-Cola Bottling Company, atteignant 75 % des parts de marché. Cette politique d’expansion sur de nouveaux marchés africains – qui contrebalance la maturité de la consommation en Espagne – n’est pas étrangère à la fermeture des usines en Espagne.
[3« L’ensemble des lignes d’embouteillage ne fonctionne qu’à 50% de sa capacité, ce qui n’est viable pour aucune entreprise », déclare un porte-parole de l’entreprise en mars 2014.



A part cela une bonne nouvelle pour Madagascar concernant le pétrole et les terres rares;


(source : blog finance)

Tout le monde se lève pour le pétrole de Madagascar : la peste ou le choléra ?

Suite à notre article précédent, laissant pointer quelques bizarres coïncidences, le retour de la peste à Madagascar arrivant juste au moment où l’île voit se développer son secteur pétrolier de l’île, il n’est pas in-intéressant de lister – à la faveur de la carte illustrant l’article – les listes des pays et compagnies pétrolières d’ores et déjà attirés par les richesses énergétiques du pays.
Le seul examen de la carte nous fournit d’amples éléments que nous allons préciser ici. Sur les lieux, dès la première heure, observons la présence des sociétés présentées ci-après :
. Tullow Oil, compagnie britannique, basée à Londres qui s’occupe de prospection et d’exploitation de gisements pétroliers et gaziers. Cotée à Londres et Dublin, elle fait partie des cent entreprises de l’indice FTSE 100.
. Essar : conglomérat indien, dont le siège social est situé à Bombay dans le Maharashtra en Inde. Essar est présent dans la sidérurgie, l’énergie, les communications, la logistique et la construction.
. Sunpec : compagnie chinoise  rachetée en juin 2011  par la société Yanchang Petroleum Group  .
Cette dernière est active principalement dans l’exploration et l’exploitation du pétrole et du gaz naturel. Elle détient 100 % des parts du Block 3113 et 2104 de la République de Madagascar.
. Varun : Connu pour avoir été, avec le sud-coréen Daewoo logistics, à l’origine des polémiques sur l’octroi de vastes terrains sous le régime de l’ancien Président malgache Ravalomanana, Varun group a désormais changé de cap.
En mars 2014, lors du show pour la promotion de partenariats entre opérateurs indiens et malagasy, le country head de Varun group, Tapas Kumar Bodak a expliqué : « Nous ne sommes plus dans l’investissement agricole, mais nous investissons dans l’exploration pétrolière et gazière à Tambohorano (Ouest).
Si le groupe estimait alors être à la moitié des travaux », il considère que face à des géants comme Exxon mobil et Total, que l »’essentiel est de faire son travail, c’est-à-dire l’exploration ».
Madagascar figure sur la carte des futurs pays producteurs de pétrole en Afrique de l’Est. Mais plus encore, selon la presse malgache, les batailles pourraient être rudes pour s’adjuger les gisements, les majors n’étant pas les seules à y trouver intérêts. Ainsi, en dehors du pétrole, Varun group explore aussi de l’ilménite et des métaux lourds dans le Sud de Madagascar. Il projette aussi de faire du commerce de l’or dans l’océan Indien. Autre élément notable :  dès 2015, Madagascar pourrait obtenir une part de marché de  8 %  dans le  secteur des terres rares.
http://www.leblogfinance.com/2014/11/tout-le-monde-se-leve-pour-le-petrole-de-madagascar-la-peste-ou-le-cholera.html
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com – 29 novembre 2014
A lire également :

Et, concernant l'or "confié" à la FED, c'est plutôt la panique. (rappel)

(source : idem)

Les Pays-Bas rapatrient une partie de leurs réserves d’or des Etats-Unis

Etranges mouvements ces derniers jours concernant les réserves d’or de plusieurs pays européens. Tandis que des rumeurs persistantes circulent autour de l’Ukraine, le journal belge l’Express.be nous apprend que la banque centrale des Pays-Bas (DNB) a rapatrié la semaine dernière – certes en toute discrétion – 120 tonnes des réserves d’or du pays stockées jusqu’à présent aux États-Unis. La valeur totale des volumes transférés dépasserait 4 milliards d’euros. L’information est notamment reprise parallèlement par le site goldcore.com.
Elément notable : seule la partie des réserves détenues aux Etats-Unis auraient été rapatriées, la DNB ayant en toute vraisemblance maintenu inchangées les réserves d’or néerlandaises conservées au Canada et à Londres.
Désormais, près d’un tiers de l’or néerlandais (31%) serait entreposé à Amsterdam. La répartition des avoirs en or de la Banque centrale des Pays-Bas serait désormais la suivante : un autre tiers de ses réserves à New York, 20% au Canada et 18% au Royaume-Uni.
Dans un communiqué, la DNB précise ses objectifs : obtenir une meilleure répartition de ses stocks d’or, tout en souhaitant que cette opération puisse avoir « un effet positif sur la confiance du public ». Ce qui signifie en clair que la banque centrale des Pays-Bas estime que l’or des Pays-Bas se trouve plus en sécurité sur le territoire néerlandais qu’aux Etats-Unis.
Reste à savoir si le rapatriement ne pourrait pas susciter la méfiance des citoyens qui pourraient alors être tentés de réclamer le rapatriement de tout l’or conservé à l’étranger.
A noter que les premières opérations de rapatriement des réserves en or ont début lors de l’époque Chavez, lequel a souhaité dès 2011 que les réserves aurifères du Venezuela retournent à Caracas. Un mouvement suivi par pays et banques centrales détenteurs d’importantes réserves en or, tels que l’Allemagne.
Sources : L’Express.be, goldcore.com
Elisabeth Studer – 25 novembre 2014 – www.leblogfinance.com

ccc

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